Le procès d’Al Hassan, accusé de crimes de guerre et crimes contre l’humanité, reprend le 8 septembre devant les juges de La Haye. Mais d’autres responsables présumés d’exactions n’ont toujours pas été inquiétés par la justice.
Investi dimanche 6 septembre par son parti, l’UFDG, Cellou Dalein Diallo a expliqué avoir été confronté à un dilemme, et assure que, s’il a décidé d’aller à l’élection, son parti continuera tout de même de participer aux manifestations.
Désormais confrontée à la menace terroriste, l’armée va devoir rapidement adapter son dispositif. Un défi d’autant plus difficile à relever qu’elle est toujours en phase de reconstruction.
Pour la troisième fois consécutive, Cellou Dalein Diallo sera candidat à la présidentielle en Guinée. Son parti, l’UFDG, prônait pourtant jusque-là le boycott du scrutin dans le cas où Alpha Condé briguerait un troisième mandat.
La Bourse des matières premières agricoles (BMPA) est prête à démarrer ses activités. En structurant le marché, cette plateforme devrait révolutionner le secteur du premier producteur mondial d’anacarde.
Dans « Le Syndrome de la dictature », le romancier égyptien Alaa El Aswany décortique les conditions de mise en place et de maintien des systèmes politiques oppressifs.
Plusieurs ex-membres déçus du Parti démocratique sénégalais (PDS) ont déposé la demande officielle de création de leur parti jeudi. C’est Oumar Sarr, l’ancien numéro deux du parti d’Abdoulaye Wade, qui en est désormais le président.
[2/5] Ils sont au pouvoir depuis la démission forcée d’Ibrahim Boubacar Keïta, le 18 août 2020. Qui sont les leaders de la junte ? Comment se sont-ils réparti les rôles ? Plongée au cœur du dispositif des nouveaux hommes forts du Mali.
Fathi Bachagha a pu sauver in extremis son siège de ministre. Après sa suspension, le Premier ministre Fayez al-Sarraj a subi les remontrances de Washington et d’Ankara. Explications.
Lors des funérailles de l’ancien président congolais Pascal Lissouba, célébrées le 31 août à Perpignan, en France, sa fille Mireille a évoqué son parcours et son héritage. « Jeune Afrique » publie le texte lu à cette occasion.
Construction d’hôpitaux, mise en place de la couverture médicale universelle… Si l’accès aux services de santé s’est amélioré, les déserts médicaux et le manque de matériel rappellent le besoin de poursuivre la politique d’investissements massifs dans le secteur.
Cet ancien banquier, qui cumule les portefeuilles de l’Économie, des Finances et du Soutien à l’investissement, doit stopper d’urgence l’hémorragie des deniers publics.
Discret chef de file de l’opposition à l’Assemblée nationale, l’homme d’affaires Mamadou Sylla entend porter les couleurs de l’Union démocratique de Guinée (UDG) lors de la présidentielle du 18 octobre. Il assure vouloir battre Alpha Condé dans les urnes, et dénonce la stratégie du boycott.
Alors que les tensions géostratégiques attirent tous les regards en Libye, le sort des migrants, dont les départs pour l’Europe ont fortement repris, reste dramatiquement opaque.
Candidat à l’élection présidentielle du 31 octobre en Côte d’Ivoire, l’ancien ministre des Affaires étrangères estime qu’Alassane Ouattara ne devrait pas briguer un troisième mandat et s’inquiète du regain de tension constaté ces dernières semaines. Interview.
Alors que le coronavirus semble ralentir en Afrique, le royaume enregistre une hausse préoccupante des cas. Les Marocains doivent changer leurs comportements pour enrayer la propagation du virus.
L’ancien président malien a quitté jeudi soir la clinique où il était hospitalisé depuis le 1er septembre. Il pourrait être évacué rapidement vers Dubaï, aux Émirats arabes unis.
Outre la discrétion, Saïd Rkaïbi, Saïd Alj et Mohamed Tazi ont en commun un portefeuille solide et diversifié à la Bourse marocaine. Zoom sur leurs sociétés de prédilection.
Opposant, puis président de la République du Sénégal, il est aussi le plus ancien avocat ayant exercé dans son pays avant l’indépendance. Retour sur une part oubliée de l’histoire d’Abdoulaye Wade.
Avec « La Proie », l’auteur de polars Deon Meyer signe l’un de ses livres les plus politiques. Car son personnage principal n’est autre qu’un homme de pouvoir corrompu qui a trahi les idéaux de son parti et bafoué l’héritage de Nelson Mandela. Une ressemblance avec la réalité tout à fait volontaire.
Toujours entre les mains du Rwanda Investigation Bureau, dans l’attente d’être présenté à la justice, l’ancien directeur de l’Hôtel des Mille collines a été transféré de Dubaï vers Kigali dans des conditions encore obscures. Le mandat d’arrêt international qui le visait, consulté par JA, expose une longue liste de griefs liés au terrorisme.