À quelques heures de la proclamation officielle des résultats de l’élection présidentielle et parlementaires au Nigéria, Situation Room – un groupement de la société civile qui assure la surveillance du scrutin – a annoncé qu’au moins 39 personnes ont été tuées dans des violences liées au scrutin.
À 48 ans, cette proche de Guillaume Soro a coordonné la défense du député Alain Lobognon, condamné par la justice ivoirienne à six mois de prison avec sursis le 13 février.
Le Niger veut mobiliser 60 milliards de F CFA (91,5 millions d’euros) sous forme d’obligations sur le marché de l’UEMAO afin de financer son programme d’investissement 2019.
Après un séjour de 48 heures, l’ancien président de l’Assemblée nationale Guillaume Soro a quitté Daoukro, le fief d’Henri Konan Bédié, président du PDCI. Une deuxième visite en moins de trois mois, durant laquelle ils ont dessiné les contours de leur nouvelle alliance, malgré les mises en garde du chef de l’État Alassane Ouattara.
Entre processus individuels de radicalisation et choix tactiques dans une logique d’insurrection armée, il existe une dimension sous-étudiée de la diffusion du jihadisme armé au Sahel : l’interaction collective entre les mouvements armés et leur environnement social immédiat.
La direction de la compagnie grecque Aegean a annoncé la montée en puissance de son réseau international avec l’ouverture de nouvelles lignes directes depuis Athènes vers Casablanca, Tunis et Marrakech.
John Mahama, ancien président du Ghana, a été désigné candidat du principal parti d’opposition à la présidentielle de 2020 lors des primaires du Congrès national démocratique (NDC), samedi.
La série de manifestations contre le cinquième mandat d’Abdelaziz Bouteflika ne semble pas avoir dérouté le chef de l’État, qui a assuré rester candidat à la prochaine présidentielle et qui bénéficie du soutien de nombreux politiques.
La désignation de Mohamed Bazoum comme candidat du PNDS (au pouvoir) pour la présidentielle de 2021 doit être confirmée lors d’un congrès d’investiture le 31 mars.
S’il fallait encore une preuve de la supériorité du degré de maturité démocratique du Sénégal par rapport à celui de la quasi-totalité des autres pays francophones du continent (et même de beaucoup de pays anglophones), la campagne pour l’élection présidentielle du 24 février vient de la fournir.
La question du cinquième mandat du président Abdelaziz Bouteflika, contre lequel un « nombre important » d’Algériens ont manifesté ces derniers jours, sera tranchée par les urnes, a affirmé lundi le Premier ministre algérien Ahmed Ouyahia, dans une première réaction officielle à ces protestations massives.
L’ancien ministre camerounais de la Défense, Mebe Ngo’o, est dans le collimateur de la justice qui le soupçonne notamment de détournement et de surfacturation. Lui affirme faire l’objet de « persécutions ».
L’ancien président français Nicolas Sarkozy a rencontré le président guinéen Alpha Condé à Conakry, le 21 février. Au cœur de leurs échanges : l’affaire Beny Steinmetz, l’homme d’affaires franco-israélien en conflit avec Conakry depuis 2008, qui a fini par renoncer à ses droits sur l’exploitation du gisement de fer de Simandou. Il obtient en revanche l’exploitation du gisement de Zogota.
Antoine Gizenga, compagnon du tout premier chef du gouvernement de la République démocratique du Congo, Patrice Lumumba, et ex-Premier ministre nommé par l’ancien président Joseph Kabila, est décédé dimanche 24 février à l’age de 93 ans, à Kinshasa.
Au Sénégal, 6,6 millions d’électeurs étaient appelés aux urnes ce dimanche. Premières tendances, réactions, analyses… Retour sur une soirée électorale tendue, alors que les chiffres officiels ne sont pas encore connus.
En 2004 et en 2014, l’ancien Premier ministre était le candidat principal de l’opposition à l’élection présidentielle face à Abdelaziz Bouteflika. Le sera-t-il à nouveau dans moins de deux mois ? Interview.
« J’ai été enlevé par des séparatistes », raconte encore choqué à l’AFP Macmillan Ambe Awa, un journaliste camerounais kidnappé par des séparatistes anglophones jeudi et libéré vingt-quatre heures plus tard.
Malgré un important dispositif policier, plusieurs centaines de manifestants étaient réunis dimanche en milieu d’après-midi dans le centre d’Alger pour s’opposer à un 5e mandat du président Abdelaziz Bouteflika.
Ils ne disposent pas de mandat, ni de poste officiel mais pèsent sur des dossiers internationaux hautement sensibles. La crise libyenne, qui se prolonge notamment du fait de la rivalité entre leaders politiques, a donné matière à agir à ces hommes d’influence, affairistes, lobbyistes, intermédiaires et autres consultants.
Le décompte des voix entre les deux favoris de la présidentielle, le chef de l’État sortant Muhammadu Buhari et l’opposant Atiku Abubakar, se poursuivaient dimanche au Nigeria, sans qu’aucun résultat officiel ne soit annoncé, même si les deux camps se proclamaient déjà vainqueur d’un scrutin généralement calme.
Meetings réglés au millimètre, militants convoyés par bus entiers, prises de paroles enflammées ou improvisations de débutant… Retour en images sur la campagne présidentielle sénégalaise, avec le photoreporter Sylvain Cherkaoui.
La 19e édition du Marché international du cinéma et de la télévision africains (Mica), rendez-vous entre producteurs, distributeurs, diffuseurs et porteurs de projets, s’est ouverte dimanche 24 février à Ouagadougou en marge du Fespaco.
Idrissa Seck, candidat de la coalition « Idy2019 », a voté en fin de matinée dans une école élémentaire de Thiès, sa ville natale et son bastion électoral, à une soixantaine de kilomètres à l’est de Dakar.
La dirigeante de la branche féminine du principal parti d’opposition tanzanien, le Chadema, a été arrêtée pour propos « séditieux », ont affirmé dimanche des membres de cette formation.
Le président sortant a voté dimanche matin peu après 9h dans sa ville natale de Fatick, à environ 150 kilomètres au sud-est de Dakar. Il a salué la « forte mobilisation » de ses compatriotes, qui se rendent aux urnes ce dimanche pour le premier tour de l’élection présidentielle.
De nouveaux rassemblements, à l’appel d’un mouvement « citoyen », sont prévus dimanche en Algérie, dont un à Alger, pour s’opposer à un 5e mandat du président Abdelaziz Bouteflika, qui doit s’envoler dans la journée pour des examens médicaux en Suisse.
Le président soudanais Omar el-Béchir a procédé samedi à des changements dans les hautes sphères du pouvoir au lendemain de l’annonce de l’état d’urgence et du limogeage des gouvernements fédéral et provinciaux, après deux mois de contestation antigouvernementale.
Après trois semaines de campagne animée, plus de six millions de Sénégalais sont attendus aux urnes dimanche pour départager le président sortant Macky Sall de ses quatre autres adversaires : Idrissa Seck, Ousmane Sonko, Madické Niang et Issa Sall.
Au cours des trois dernières décennies, le Sénégal a connu sept élections présidentielles pluralistes. Si la réélection au premier tour du président sortant a été la règle, les rares scrutins à deux tours ont été synonymes d’alternance.