Formats variés, séries originales, réalisations bien léchées… Jawjab, filiale digitale de la société de production du cinéaste Nabil Ayouch, s’impose comme la boîte à idées la plus créative du web marocain.
Accusée par différentes ONG de malversations, la Gécamines a rendu un rapport intitulé « la vérité sur les mensonges des ONG en RD Congo ». Albert Yuma, le patron de l’opérateur minier national, a qualifié ces attaques de « malhonnêtes et scandaleuses ».
Nommé à la tête de l’Office national du tourisme à la fin de juin, Adel El Fakir devrait bientôt dévoiler sa feuille de route pour mieux vendre la destination Maroc.
Opérationnelles depuis 2017, les premières banques participatives commencent à voir leurs activités décoller, même s’il leur reste encore de nombreux produits « charia-compatibles » à lancer.
Sept ans après son accession à la tête du gouvernement, le PJD peine à s’imposer comme leader de l’exécutif. Contraint de composer avec une majorité hétéroclite et fragilisé par des dissensions internes, il en est réduit à laisser au Palais le soin de conduire les indispensables réformes.
Sept ans déjà… Arrivé au pouvoir à l’issue d’élections anticipées et dans la foulée d’un mouvement de contestation auquel il n’avait pas pris part, le Parti de la justice et du développement (PJD) a-t-il atteint l’âge de raison ?
Le président gabonais Ali Bongo Ondimba, qui était hospitalisé en Arabie saoudite, a quitté Riyad mercredi soir, a rapporté l’agence officielle saoudienne SPA, sans préciser sa destination.
Avec cet ancien bâtiment, le Dar Center for Architectural Heritage, qui milite pour la préservation du patrimoine de Dar es-Salaam, a trouvé son repaire.
Pour la troisième année consécutive, la Banque africaine de développement va soutenir le budget de l’État gabonais, à hauteur de 100 millions d’euros cette fois, faisant le constat d’un redressement économique « difficile mais progressif ».
La Fondation EuroMedA, dont plusieurs membres sont favorables aux positions marocaines sur le Sahara occidental, est accusée par une ONG d’être un outil de lobbying au service des intérêts marocains à l’Union européenne. Ses responsables s’en défendent.
Même génération – 53 et 59 ans -, intérêt partagé pour la culture : a priori, tout aurait dû rapprocher le ministre des Affaires culturelles, Mohamed Zine el-Abidine, du producteur Habib Bel Hedi. Mais l’ancien laudateur de Ben Ali et l’homme de gauche sont à couteaux tirés.
Le président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC), Maurice Kamto, a invité les populations des régions francophones à observer une demi-journée sans activité par semaine, afin d’amener le gouvernement à prendre des « mesures significatives » pour la résolution de la crise anglophone.
Décidément, en politique, le fauteuil de zaïm semble si confortable qu’une fois dessus personne n’accepte de céder sa place. Ce qui n’est pas pour servir la démocratie.
À 48 ans, le Camerounais Georges Wega supervise depuis juillet 2018 les huit filiales de Société générale en Afrique de l’Ouest. Sa mission : renforcer le leadership du groupe français dans la région.
L’ancien patron du Fonds monétaire international (FMI) conseille plusieurs pays africains, dont le Congo-Brazzaville qu’il aide notamment à restructurer sa dette auprès de la Chine.
Conduite par la princesse Astrid de Belgique, la sœur du roi Philippe, une délégation de plus 450 responsables et opérateurs économiques belges sillonne le Maroc. Au menu : inaugurations et signature d’accords.
Le président nigérian Muhammadu Buhari, en campagne pour sa réélection et qui fait face à une forte pression après des attaques très violentes de Boko Haram a déclaré mercredi que le groupe jihadiste devait être « éliminé de la surface de la terre ».
Au troisième jour de sa comparution dans le procès du putsch manqué de 2015 au Burkina Faso, le général Gilbert Diendéré a mis en cause les chefs de l’armée qui ont témoigné contre lui le 28 novembre devant le tribunal militaire de Ouagadougou.
La violence s’est une fois encore invitée à Duékoué, dans le centre-ouest de la Côte d’Ivoire. Au cœur de cette nouvelle déflagration : une curieuse vendetta, conduite lundi 26 novembre par un gang de syndicats de transporteurs contre des élèves, dans le lycée de la ville.
Abidjan, Tema, Kribi… Les terminaux modernes se multiplient, mais ce développement se heurte au manque d’infrastructures sur terre, qui ralentit l’acheminement des marchandises.
Le groupe français a mis en place en début d’année une offre de barges sur la lagune de Lagos, afin de décongestionner son terminal. La méthode s’avérant payante, il cherche désormais à la dupliquer, notamment à Abidjan, où la problématique est similaire.
Entré en Bourse en 2016, l’opérateur portuaire public profite de la forte hausse du trafic de conteneurs et souhaite conquérir d’autres terminaux hors du royaume, affirme son président.
La première « NBA Academy Africa » a été officiellement lancée lundi 26 novembre à Saly, au sud de Dakar. Amadou Gallo Fall, vice-président de la ligue américaine, explique à Jeune Afrique pourquoi le choix du Sénégal était « logique », et détaille les objectifs de ce centre de formation.
Le néerlandais NileDutch est le dernier armateur spécialiste du continent à résister aux poids lourds mondiaux et à leurs navires de plus en plus gros.
Les entreprises publiques algériennes, en partenariat avec le conglomérat chinois, ont annoncé un investissement de 6 milliards de dollars dans un méga-projet d’exploitation et de transformation de phosphate. Objectif : faire passer le niveau de production nationale de 1 à 10 millions de tonnes par an.
L’enquête de RFI, Le Monde, Foreign Policy, Süddeutsche Zeitung et la télévision suédoise SVT, après une fuite de documents internes de l’ONU, met en évidence les embûches placées sur le chemin des enquêteurs onusiens suite à la disparition de deux de leurs experts, l’Américain Michael Sharp et la Suédo-Chilienne Zaida Catalan.
La cybercriminalité connait une progression fulgurante au Maghreb. Chaque année, ce sont des milliers d’entreprises, d’institutions publiques et d’individus qui sont victimes d’une criminalité numérique, de plus en plus sophistiquée et coûteuse, alors que l’écosystème digital demeure fragile.
Le deuxième groupe bancaire russe, VTB, a attribué par erreur un prêt de plus de 800 milliards de roubles (10,5 milliards d’euros) à la Centrafrique, a fait savoir la banque en réponse aux révélations de plusieurs médias.