La Tunisie a annoncé qu’elle souhaitait organiser prochainement une réunion à huis clos avec ses homologues maghrébins. Une énième tentative de réenclencher la coopération régionale et de réconcilier le Maroc et l’Algérie, renforçant l’optimisme du secrétaire général de l’UMA.
L’Union européenne ne doit pas lever les sanctions qui pèsent sur Emmanuel Ramazani Shadary, candidat à la présidentielle du 23 décembre et dauphin de Joesph Kabila. C’est l’appel que lance un collectif d’organisations congolaises affiliées à la Fédération internationale des droits de l’homme (FIDH).
Avec « Toutes les couleurs de mon drapeau », notre collaborateur Mabrouck Rachedi pointe le manque de dialogue autour de la guerre d’indépendance et de ses suites.
Le président gabonais Ali Bongo Ondimba est arrivé dans la matinée du 29 novembre à Rabat afin d’y poursuivre sa convalescence, après plus d’un mois passé dans un hôpital de Riyad.
Dans un communiqué diffusé le 19 novembre, la commission Internationale Afrique de La France insoumise, le parti de Jean-Luc Mélenchon, a invité « à répondre favorablement » à l’appel au rassemblement de Jean Ping.
Maurice Kamto, le candidat arrivé en deuxième position à la présidentielle du 7 octobre, avait espéré que le quotidien « Mutations », détenu par Protais Ayangma, une figure du patronat, se mettrait au service de sa campagne.
Si Nana Konadu Rawlings, l’épouse de l’ancien président ghanéen Jerry Rawlings, est moins impliquée dans le débat national depuis sa défaite à la présidentielle de 2016, elle conserve néanmoins des partisans au sein du principal parti d’opposition.
Désigné à la tête de l’institution panafricaine pour un an, le pays des pharaons, souvent qualifié de « trop arabe », veut profiter de cette présidence pour avancer ses pions sur le continent. Sans proposer une véritable vision pour l’Afrique.
Dans l’entourage d’Abdel Fattah al-Sissi, trois personnalités sont centrales lorsqu’il est question des dossiers « Afrique » : les ministres Mohamed Chaker et Sahar Nasser et Mohamed Salem, le PDG de Silicon Industries Corporation.
Asma Lamrabet, démissionnaire en mars 2018 de la Rabita des oulémas pour sa position en faveur de l’égalité sur l’héritage, qui dérangeait les conservateurs, analyse pourquoi la condition féminine est malmenée aujourd’hui au Maroc.
Formats variés, séries originales, réalisations bien léchées… Jawjab, filiale digitale de la société de production du cinéaste Nabil Ayouch, s’impose comme la boîte à idées la plus créative du web marocain.
Accusée par différentes ONG de malversations, la Gécamines a rendu un rapport intitulé « la vérité sur les mensonges des ONG en RD Congo ». Albert Yuma, le patron de l’opérateur minier national, a qualifié ces attaques de « malhonnêtes et scandaleuses ».
Nommé à la tête de l’Office national du tourisme à la fin de juin, Adel El Fakir devrait bientôt dévoiler sa feuille de route pour mieux vendre la destination Maroc.
Opérationnelles depuis 2017, les premières banques participatives commencent à voir leurs activités décoller, même s’il leur reste encore de nombreux produits « charia-compatibles » à lancer.
Sept ans après son accession à la tête du gouvernement, le PJD peine à s’imposer comme leader de l’exécutif. Contraint de composer avec une majorité hétéroclite et fragilisé par des dissensions internes, il en est réduit à laisser au Palais le soin de conduire les indispensables réformes.
Sept ans déjà… Arrivé au pouvoir à l’issue d’élections anticipées et dans la foulée d’un mouvement de contestation auquel il n’avait pas pris part, le Parti de la justice et du développement (PJD) a-t-il atteint l’âge de raison ?
Le président gabonais Ali Bongo Ondimba, qui était hospitalisé en Arabie saoudite, a quitté Riyad mercredi soir, a rapporté l’agence officielle saoudienne SPA, sans préciser sa destination.
Avec cet ancien bâtiment, le Dar Center for Architectural Heritage, qui milite pour la préservation du patrimoine de Dar es-Salaam, a trouvé son repaire.
Pour la troisième année consécutive, la Banque africaine de développement va soutenir le budget de l’État gabonais, à hauteur de 100 millions d’euros cette fois, faisant le constat d’un redressement économique « difficile mais progressif ».
La Fondation EuroMedA, dont plusieurs membres sont favorables aux positions marocaines sur le Sahara occidental, est accusée par une ONG d’être un outil de lobbying au service des intérêts marocains à l’Union européenne. Ses responsables s’en défendent.
Même génération – 53 et 59 ans -, intérêt partagé pour la culture : a priori, tout aurait dû rapprocher le ministre des Affaires culturelles, Mohamed Zine el-Abidine, du producteur Habib Bel Hedi. Mais l’ancien laudateur de Ben Ali et l’homme de gauche sont à couteaux tirés.
Le président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC), Maurice Kamto, a invité les populations des régions francophones à observer une demi-journée sans activité par semaine, afin d’amener le gouvernement à prendre des « mesures significatives » pour la résolution de la crise anglophone.
Décidément, en politique, le fauteuil de zaïm semble si confortable qu’une fois dessus personne n’accepte de céder sa place. Ce qui n’est pas pour servir la démocratie.
À 48 ans, le Camerounais Georges Wega supervise depuis juillet 2018 les huit filiales de Société générale en Afrique de l’Ouest. Sa mission : renforcer le leadership du groupe français dans la région.
L’ancien patron du Fonds monétaire international (FMI) conseille plusieurs pays africains, dont le Congo-Brazzaville qu’il aide notamment à restructurer sa dette auprès de la Chine.
Conduite par la princesse Astrid de Belgique, la sœur du roi Philippe, une délégation de plus 450 responsables et opérateurs économiques belges sillonne le Maroc. Au menu : inaugurations et signature d’accords.
Le président nigérian Muhammadu Buhari, en campagne pour sa réélection et qui fait face à une forte pression après des attaques très violentes de Boko Haram a déclaré mercredi que le groupe jihadiste devait être « éliminé de la surface de la terre ».
Au troisième jour de sa comparution dans le procès du putsch manqué de 2015 au Burkina Faso, le général Gilbert Diendéré a mis en cause les chefs de l’armée qui ont témoigné contre lui le 28 novembre devant le tribunal militaire de Ouagadougou.