Après plusieurs reports, Moïse Bibalou Koumba, président du nouveau Centre gabonais des élections (CGE), a annoncé lundi que les élections législatives et locales se tiendront le 6 octobre prochain.
La réussite éclatante de la filiale du groupe singapourien Olam est celle de son directeur général. Grand architecte logistique du pays, il suscite l’admiration autant que la jalousie et les critiques.
L’accord conclu entre l’ancien ministre ivoirien Adama Bictogo et Gagan Gupta a permis à Olam Gabon d’obtenir la construction et la gestion du terminal industriel polyvalent de San Pedro en Côte d’Ivoire.
C’est un référendum en forme de plébiscite qu’a remporté le chef de l’état comorien. Le scrutin, contesté par l’opposition, lui offre la possibilité de diriger tout l’archipel jusqu’en 2029.
Des militaires burundais ont été la cible d’une embuscade dans la nuit de dimanche à lundi dans les marais de la Rukoko, à une quinzaine de kilomètres de Bujumbura. Au moins trois soldats ont été tués, et cinq blessés.
Arrêté le 3 août, le principal informateur dans l’affaire Saber Laajili, ayant conduit à l’arrestation de ce haut responsable sécuritaire en juin 2017, pour atteinte à la sûreté de l’État, a reconnu implicitement ses mensonges.
Le chef de l’État ivoirien a déclaré avoir signé ce lundi une ordonnance portant amnistie de 800 détenus poursuivis pour des crimes en lien avec la crise post-électorale de 2010-2011. Parmi eux, l’ancienne Première dame, Simone Gbagbo.
La très influente Eglise catholique est sortie de sa réserve, lundi 6 août, pour exhorter les autorités congolaises à laisser entrer Moïse Katumbi dans le pays. De son côté, le pouvoir est resté silencieux à moins de 48 h de la date-butoir de dépôt des candidatures à l’élection présidentielle.
Dix-huit candidats ou leurs représentants ont dénoncé ce 6 août les conditions liées à la présidentielle. Ils ont posé un certain nombre de points, dont la démission de Mohamed Ag Erlaf, chargé du scrutin, avant le second tour qui oppose Ibrahim Boubacar Keïta à Soumaïla Cissé.
La police congolaise a dispersé, ce lundi 6 août, plusieurs marches pro-Katumbi dans la capitale provinciale du Katanga. Les manifestants réclamaient le retour de l’opposant en République démocratique du Congo.
Après s’être vu refuser à deux reprises l’entrée en RDC, l’opposant Moïse Katumbi entend saisir des instances internationales pour faire valoir ses droits. Mais le temps presse, à mesure que s’approche la date limite de dépôt des candidatures à l’élection présidentielle.
L’ancien président de la Transition, Andry Rajoelina, candidat à la présidentielle prévue fin 2018, présente ses objectifs pour Madagascar et affirme être « prêt ».
Mahamadou Issoufou a participé le 5 août au lancement du programme Compact Niger, financé à hauteur de 437 millions de dollars par les États-Unis. Une aide pourtant surveillée de près par plusieurs sénateurs américains.
Les intenses tractations menées par l’Égypte et l’ONU semblent porter leurs fruits. Mais le président palestinien Mahmoud Abbas menace de torpiller tout accord qui ne rétablirait pas son autorité à Gaza.
L’ancien chef du gouvernement Habib Essid a été nommé lundi ministre conseiller spécial auprès du président de la République en charge des affaires politiques. Un atout pour Béji Caïd Essebsi, en pleine crise politique avec le gouvernement Chahed.
Ancien cadre de l’Unita, Abel Chivukuvuku a fondé une coalition pour en finir avec la domination des ex-groupes armés. Son objectif : fédérer l’opposition pour les élections locales de 2020.
Réélu dès le premier tour avec 50,8% des voix, le président zimbabwéen Emmerson Mnangagwa fait face à la colère des partisans de Nelson Chamisa, candidat du MDC-Alliance arrivé second (44,3%), qui conteste les résultats du scrutin. Mark Stevens, chef adjoint de la mission d’observation de l’Union européenne, livre son analyse.
Riyad a expulsé ce lundi 6 août l’ambassadeur canadien et suspendu les échanges commerciaux entre les deux pays, à la suite de critiques sur des arrestations de défenseurs des droits de l’homme.
L’entrée très sélective dans certains établissements scolaires tunisiens publics, lycées et collèges, se veut une garantie pour former les élites de demain. Mais ce système peine désormais à porter ses fruits, juge Abdelajij Akkari, professeur à l’Université de Genève.
Révoqué le 1er août, en Conseil des ministres, de son poste de maire du Plateau qu’il occupait depuis dix-sept ans, Noël Akossi Bendjo envisage de ne pas briguer un nouveau mandat à la tête de la commune du centre d’Abidjan à l’occasion des municipales du 13 octobre.
Épinglé par un rapport de la Commission nationale de lutte contre la corruption, la concussion et la fraude, rendu public le 31 juillet par son président, Lamyr Nguelé, pour des détournements présumés survenus au sein de son ministère des Hydrocarbures, Jean-Marc Thystère-Tchicaya n’est pas le seul sur la sellette.
Cet ingénieur marocain des Ponts et Chaussées connaît bien la filiale du holding royal Al Mada puisqu’il a été à sa tête entre 2001 et 2003 après six ans à différents postes de direction. Nommé président du conseil d’administration, il dirige en parallèle son propre cabinet de conseil dans l’industrie et les infrastructures.
Diplômée en gestion des politiques économiques de l’université Félix-Houphouët-Boigny d’Abidjan et titulaire d’un MBA de l’université canadienne de Sherbrooke, cette Mauritanienne a rejoint l’institution en tant qu’économiste en 2002. Elle est nommée représentante résidente au Togo.
Le match retour tant attendu aura donc lieu. Comme en 2013, Ibrahim Boubacar Keïta et Soumaïla Cissé se retrouveront au deuxième tour de l’élection présidentielle, prévu le 12 août.
Le gouvernement de Juba et les rebelles du Soudan du Sud ont signé dimanche à Khartoum un accord final sur le partage du pouvoir, le président Salva Kiir appelant à l’unité dans un pays ravagé par une guerre civile meurtrière.