Les Malgaches ont commencé à voter le 7 novembre, pour le premier tour de la présidentielle, où trois anciens chefs de l’État font figure de favoris dans ce pays à l’histoire politique mouvementée.
Le roi du Maroc a appelé mardi 6 novembre l’Algérie à un dialogue « direct et franc » en proposant la création d’un « mécanisme politique conjoint de dialogue et de concertation » pour « dépasser les différends » entre les deux voisins.
Entre 3 et 5 milliards d’euros. C’est le montant qui a disparu des comptes belges appartenant à la Libyan Investment Authority, selon une enquête de la RTBF. La justice du royaume vient de se saisir de l’affaire.
Petites escarmouches sans conséquences entre membres du même gouvernement ou guerre à coups tirés ? Lundi 5 novembre, en déplacement à Oran où il a fait les éloges du bilan du président Bouteflika, le ministre de la Justice a critiqué avec virulence son Premier ministre.
Le député congolais Sam Bokolombe, membre de l’équipe de l’opposant Moïse Katumbi, s’est déclaré lundi favorable à une nouvelle « rallonge » de la date de la présidentielle en RDC, prévue le 23 décembre. Une prise de position avec laquelle le parti de Katumbi prend ses distances.
La présidence tunisienne a annoncé le 6 novembre la prolongation de l’état d’urgence jusqu’au 6 décembre, en vigueur dans le pays depuis désormais trois ans, à la suite d’une série d’attaques jihadistes débutée en 2015.
L’Algérie, le Maroc puis la Tunisie se sont relayés à Nouakchott ces derniers jours, avec pour objectif de renforcer leurs liens avec leur voisin méridional. Échanges commerciaux, diplomatie, relations bilatérales… retour sur les motivations de chacun.
Le durcissement des conditions d’accès au crédit bancaire pourrait conduire certains négociants locaux à faire défaut sur leurs contrats d’exportation, faisant planer le risque d’une crise sur la filière cacao.
L’influence grandissante de la Russie en Centrafrique inquiète Paris. Après Jean-Yves Le Drian, c’est Florence Parly qui a mis en garde lundi 5 novembre contre toute « manipulation intéressée de puissance opportuniste » en République centrafricaine, dans une allusion à peine voilée à la Russie.
49 intellectuels de la diaspora et de la société civile congolaise appellent le prix Nobel de la paix 2018, Denis Mukwege, à assurer le leadership d’une transition citoyenne en RDC sans le président Joseph Kabila.
Un sommet international sur la Libye s’ouvre le 12 novembre à Palerme, dans le sud de l’Italie. Les principaux acteurs libyens et étrangers s’assiéront à la même table pour chercher un compromis difficile à la crise qui secoue le pays depuis sept ans. La présence de la France reste encore incertaine.
Le statut des Subsahariens – travailleurs, étudiants ou réfugiés – obéit à une politique migratoire lacunaire en Algérie. Une porte ouverte à certaines dérives.
Paul Biya a prêté serment mardi 6 novembre à l’Assemblée nationale pour son septième mandat. Le président camerounais réélu à l’issue du scrutin du 7 octobre, a notamment affiché sa « détermination » face aux sécessionnistes des régions anglophones.
L’opposant Maurice Kamto, qui revendique la victoire au scrutin présidentiel, a été interpellé et brièvement assigné à résidence à son domicile de Yaoundé, mardi 6 novembre, jour de la prestation de serment de Paul Biya. La mesure a été levée en fin d’après-midi.
Les petits commerçants montrent les muscles face à l’enseigne française qu’ils accusent de dumping et de concurrence déloyale. Si le gouvernement a publié un décret visant à réglementer l’activité des supermarchés, celui-ci a été jugé insatisfaisant et les discussions se poursuivent.
Ce docteur en économie s’est donné pour mission de transmettre le virus de l’entrepreneuriat à ses concitoyens. Avec un rêve : décrocher le prix Nobel.
Le remaniement ministériel présenté lundi 5 novembre par le chef du gouvernement tunisien, Youssef Chahed, ne met pas fin à la crise politique mais précise les nouvelles alliances.
À l’approche des législatives de décembre, la classe politique s’égare en querelles byzantines sur le mode de scrutin, le nombre de mandats présidentiels et la composition de la Ceni.
Médiateur incontournable, l’Egypte est plus que jamais à la manoeuvre avec Israéliens et Palestiniens pour négocier une trêve dans les violences qui secouent Gaza depuis des mois, tout en demeurant d’une discrétion absolue.
Le président camerounais Paul Biya, 85 ans, dont 36 au pouvoir, prête serment le 6 novembre pour un septième mandat dans un climat de tension, au lendemain de l’enlèvement de 79 élèves en zone anglophone frappée par un conflit armé.
Au pouvoir depuis juillet 2009, réélu en 2014, le président mauritanien s’est engagé à ne pas modifier la Constitution pour s’ouvrir le droit à briguer un troisième mandat en 2019. Cet ancien général accorde très peu sa confiance, si ce n’est à son tout premier cercle, qu’il sollicite quotidiennement.
Le cinquième Forum international de Dakar sur la Paix et la Sécurité en Afrique s’est ouvert lundi 5 novembre à Dakar, en présence notamment du président Macky Sall, de la ministre française des Armées, Florence Parly, et en l’absence remarquée de chefs d’État, en dehors du président gambien, Adama Barrow.
Attendu depuis plus de six mois, le remaniement ministériel voulu par le chef du gouvernement, Youssef Chahed, a été annoncé lundi 5 novembre après une journée de tergiversations et de conjectures.
Au moins 81 personnes, dont 79 élèves, ont été enlevées dans la nuit de dimanche 4 à lundi 5 novembre sur le campus du Collège presbytérien de Nkwen dans la ville de Bamenda (région du Nord-Ouest). Les auteurs du rapt n’ont pas encore été identifiés.
La fin de la campagne pour l’élection présidentielle malgache du 7 novembre a été marquée par des accusations de fraudes de la part d’une partie des candidats. Certains assurent même avoir des preuves de l’existence d’électeurs fictifs.
La succession d’Aboudramane Sangaré, membre fondateur du Front populaire ivoirien (FPI) et président par intérim de la branche dissidente, décédé le 3 novembre, révèle des rivalités internes au sein du parti de Laurent Gbagbo.
Les cinq généraux-major qui avaient été placés sous mandats de dépôt le 14 octobre dernier notamment pour « corruption », « biens mal acquis » ont été remis en liberté lundi 5 novembre.