Absent de la scène politique pendant huit mois, celui qui a cumulé à la fois la présidence de l’Union patriotique libre (UPL) et celle du prestigieux Club africain (CA), a dû démissionner de ces deux postes suite à des démêlés avec la justice. Acquitté dans plusieurs affaires, il fait son retour sur la scène politique.
Deux semaines après avoir démissionné de son poste de sélectionneur de la Libye, l’Algérien Adel Amrouche (50 ans) a été nommé, lundi 22 octobre, entraîneur du prestigieux Mouloudia club d’Alger (MCA), où il succède à Bernard Casoni.
La compagnie entend doubler sa flotte d’ici à cinq ans et multiplie les ouvertures de lignes intercontinentales. Sans condition de profitabilité pour le moment.
Avec l’ouverture du ciel marocain, la compagnie à bas coût émiratie concurrence Royal Air Maroc sur les liaisons vers l’Europe. Et conquiert le marché intérieur.
Le gouvernement burundais a annoncé qu’il serait absent de la dernière session du dialogue de sortie de crise au Burundi, prévue à partir de mercredi 24 octobre à Arusha, en Tanzanie. L’objectif affiché de ces discussions était l’organisation d’élections « inclusives » en 2020.
Le conducteur du train dont le déraillement a fait sept morts et 125 blessés, mardi 16 octobre entre Rabat et Kénitra, a été inculpé mardi 23 octobre pour « homicide et blessures involontaires », a annoncé le parquet, mettant en cause un excès de vitesse.
La compagnie burkinabè a réduit ses pertes. Mais le faible trafic en Afrique de l’Ouest interroge sur la pertinence pour les États de disposer de leur propre pavillon national.
Au moins quatre personnes ont été légèrement blessées mardi 24 octobre à Bamako lors d’une bousculade au siège de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), au lendemain de la destitution contestée du président de cette institution chargée de veiller au bon déroulement des élections au Mali par des frondeurs.
La principale coalition de l’opposition togolaise accuse le pouvoir de « violer » les décisions de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao) portant le processus électoral au Togo et dénonce des « irrégularités ».
Une édition enrichie de l’ouvrage référence de Sid Ahmed Semiane sur les événements d’octobre 1988 paraît à la fin du mois. En voici, en exclusivité, les bonnes feuilles.
Dans l’édition enrichie de l’ouvrage de Sid Ahmed Semiane, le général-major Larbi Belkheir, chef de cabinet de la présidence, revient sur le contexte politique dans lequel se trouvait le pays, lors des émeutes d’octobre 1988.
Chef du commandement terrestre, le général-major Khaled Nezzar était chargé de maintenir l’ordre pendant l’état de siège, lors des révoltes d’octobre 1988. Extrait de son témoignage qui apparaît dans l’édition enrichie de l’ouvrage de Sid Ahmed Semiane.
Dans l’édition enrichie de l’ouvrage de Sid Ahmed Semiane, le général-major Lakehal Ayat, patron du renseignement (DGPS), affirme que le FLN n’était pas en mesure de s’opposer au chef de l’État, lors des révoltes d’octobre 1988 en Algérie.
Les députés algériens se réunissent mercredi 24 octobre pour élire un nouveau président de l’Assemblée populaire nationale bien que l’actuel, poussé depuis trois semaines à la démission par la majorité, refuse de quitter ses fonctions.
Le chef de l’opposition zimbabwéenne, Nelson Chamisa, a préconisé mardi 23 octobre la formation d’un gouvernement transitoire d’urgence pour résoudre la crise politique et économique qui s’aggrave dans le pays.
Alors qu’une réunion doit se tenir le 24 octobre pour décider de l’avenir du président de l’Assemblée nationale, Karim Meckassoua, la tension est montée d’un cran dans le quartier du PK5, à Bangui, où des habitants ont manifesté contre la pétition réclamant sa destitution.
Un important forum international sur l’investissement s’est ouvert devant une assistance clairsemée, mardi 23 octobre à Riyad. Face au tollé mondial suscité par le meurtre du journaliste Jamal Khashoggi, les conséquences économiques sont déjà lourdes pour l’Arabie saoudite.
Plus encore que la victoire de Paul Biya, l’élection présidentielle camerounaise a consacré un homme, Maurice Kamto, de fait propulsé à la tête de l’opposition.
L’écrivain et chercheur camerounais Éric Essono Tsimi défend le caractère démocratique de l’élection qui a vu la réélection de Paul Biya pour un septième mandat.
Plusieurs centaines de manifestants et des forces de l’ordre se sont affrontés le 23 octobre à Conakry, au début d’une manifestation de l’opposition guinéenne interdite par les autorités.
Une confusion règne au Mali autour des groupes armés qui sévissent dans le centre du pays. Pour Dougoukolo Alpha Oumar Ba-Konaré, il faut déconstruire l’image d’un conflit entre des « peuls armés » – assimilés à des jihadistes – et des « chasseurs dozo ».
Récompensé début octobre par le prix Nobel de la paix, le gynécologue-obstétricien congolais Denis Mukwege sera incarné par l’acteur Djimon Hounsou dans un long-métrage qui sera inspiré de « Panzi », son ouvrage coécrit avec Guy-Bernard Cadière en 2014.
Rached Ghannouchi, le président du mouvement islamiste Ennahdha, et Hamma Hammami, le porte-parole du Front populaire, qui regroupe des partis d’extrême gauche, se rendent coup pour coup.
L’éviction de Kèlèfa Sall de ses fonctions de président de la Cour constitutionnelle a créé des remous entre l’opposition et le camp au pouvoir. Le haut magistrat revient pour Jeune Afrique sur les conditions de son limogeage, dont il attribue l’origine à ses relations difficiles avec Alpha Condé.
Les représentants de 41 pays se sont exprimés à propos du Sahara occidental lors de la dernière session de la 4e commission de l’ONU chargée des questions de décolonisation, qui s’est tenue à New York du 10 au 18 octobre.
Mahamadou Djéri Maïga est décédé dans la nuit du lundi 22 au mardi 23 octobre à Bamako. Membre fondateur du MNLA, il en était une figure historique et œuvrait au sein du comité de suivi de l’Accord de paix d’Alger depuis 2015.