Un meeting de soutien à Ali Benflis a été interrompu mardi par une centaine de manifestants à M’Chedallah, dans la région majoritairement kabyle de Bouira, à l’est d’Alger. Ceux-ci militaient pour la non-tenue de l’élection présidentielle du 17 avril.
L’an dernier, Kamal Benkoussa a quitté Londres et sa vie de trader pour faire de la politique à Alger. Il s’apprête à créer un parti, ainsi qu’un think tank de prospective économique.
Les heurts entre jeunes arabes et berbères ont repris depuis samedi soir à Ghardaïa, dans le sud algérien. En deux jours, trente-cinq personnes, dont dix-sept policiers, ont été blessées.
Soupçonnée d’avoir menti sur son patrimoine, l’ex-ministre française de la Francophonie,Yamina Benguigui, a fait les frais du remaniement gouvernemental.
Le 19 mars, Mostefa Bouchachi, député d’Alger sur la liste Front des forces socialistes (FFS, opposition) a donné sa démission, mettant au jour de graves dysfonctionnements au sein de la chambre basse du Parlement algérien. Interview.
Incapable de faire campagne en raison de sa santé fragile, Abdelaziz Bouteflika a chargé ses proches de sillonner le pays pour convaincre les Algériens de lui confier un quatrième mandat présidentiel. Retour sur un périple loin d’être de tout repos.
Amara Benyounès, le ministre algérien de l’Industrie, a déclaré dimanche que la santé du président Abdelaziz Bouteflika « s’amélior[ait] régulièrement » et que « sa tête fonctionn[ait] très bien ».
La santé du président algérien Abdelaziz Bouteflika, candidat à un quatrième mandat, « s’améliore régulièrement » et « sa tête fonctionne très bien », a affirmé dimanche sur TV5 le ministre algérien du Tourisme Amara Benyounès.
Le camp du président Abdelaziz Bouteflika a annulé samedi un meeting électoral en Kabylie, dans le cadre de la présidentielle du 17 avril, en raison de violences, a annoncé le directeur de campagne Abdelmalek Sellal sur la chaine En-Nahar TV.
La télévision publique algérienne a diffusé jeudi soir des images de la réception du secrétaire d’État américain John Kerry par Abdelaziz Bouteflika à Alger. Les Algériens peuvent même y entendre leur président lancer une pique à John Kerry.
Depuis que deux comédiens ont révélé, au cour d’une émission de Dzaïr TV, qu’ils avaient été payés pour leur participation au clip de campagne d’Abdelaziz Bouteflika, la chaîne de télévision est dans le viseur du clan présidentiel. Deux de ses émissions phares ont été suspendues en trois jours.
L’arrivée de Christian Gourcuff (Lorient) à la tête de l’équipe de l’Algérie après la Coupe du monde est donnée comme certaine par plusieurs médias algériens. Pourtant, les choses sont loin d’être aussi évidentes.
Le secrétaire d’État américain John Kerry était attendu mercredi après-midi à Alger pour une visite de deux jours portant principalement sur la question du Sahel et de la lutte contre le terrorisme. En pleine campagne présidentielle algérienne, sa venue suscite les interrogations de la presse algérienne.
Des personnalités participant à la chanson de soutien au président-candidat Bouteflika ont été remunérées. Lundi soir, deux chroniqueurs ont confié avoir été rétribués pour prendre part au clip décrié.
Largement défait au scrutin présidentiel de 2004, l’ex-chef du gouvernement algérien Ali Benflis est de nouveau candidat à la magistrature suprême. Et recroisera le fer avec l’actuel chef de l’État le 17 avril. Interview exclusive.
Les élections municipales françaises ont vu dimanche une très forte poussée du Front national : d’une soixantaine de conseillers municipaux en 2008 à plus de mille aujourd’hui. Le parti d’extrême-droite prend une nouvelle dimension, et séduit même chez les Français issus de l’immigration. Explications de l’un d’entre eux, d’origine algérienne, musulman et « patriote » français.
Plus de soixante personnalités algériennes, parmi lesquelles Cheb Khaled, Smaïn, ou encore Kenza Farah ont poussé la chansonnette pour soutenir la candidature d’Abdelaziz Bouteflika à un quatrième mandat.
La candidature de Bouteflika à la présidentielle algérienne du 17 avril n’est pas vraiment du goût de tous au sein de la puissante Organisation nationale des moudjahidine (ONM).
Plusieurs dizaines de manifestants du mouvement Barakat !, opposés à un quatrième mandat d’Abdelaziz Bouteflika, ont investi jeudi les abords de la faculté d’Alger.
En Espagne, pays marqué par l’héritage d’Al-Andalus, la Française d’origine algérienne Sabrina Amrani a ouvert une galerie d’art contemporain consacrée aux artistes du Maghreb et du Moyen-Orient.
Le président candidat à l’élection présidentielle algérienne peut-il faire campagne sans apparaître dans les rencontres électorales, au risque de confirmer les rumeurs sur son état de santé précaire ? Quelques stratagèmes pourraient aider Abdelaziz Bouteflika à être plus visible. Florilège.
Selon le dernier rapport du Sipri, les achats en Afrique de tanks, avions de combat, hélicoptères ont augmenté de 53 % ces dernières années. Principal acquéreur du continent : l’Algérie.
Le Forum des chefs d’entreprise s’est prononcé en faveur d’un quatrième mandat du dirigeant. Mais derrière l’accord de façade, trois tendances s’affrontent.
Ce n’est sans doute pas sur internet que se jouera l’élection présidentielle algérienne. Certes les opposants à un quatrième mandat d’Abdelaziz Bouteflika tentent de s’y mobiliser, mais la campagne 2.0 ne décolle pas, en partie du fait de l’absence de stratégie numérique chez les candidats.