Le groupe public de BTP était au bord du gouffre à la fin des années 1990. Aujourd’hui, son carnet de commandes déborde et son chiffre d’affaires s’envole. Avec le soutien actif de l’État.
Un président absent depuis plus de deux mois ? Pas de quoi empêcher l’État de fonctionner. Mais alors que la succession de Bouteflika se profile et que les revendications de la population algérienne se font plus pressantes, le régime va devoir s’adapter pour perdurer.
Un nouvel accord a été conclu, mercredi 3 juillet, entre le Maroc, le Front Polisario, l’Algérie, la Mauritanie et le HCR pour permettre à davantage de familles séparées par le conflit du Sahara Occidental de pouvoir se retrouver.
Alors que les rumeurs sur son retour s’étaient multipliées ces dernières semaines, l’ancien président algérien Liamine Zeroual a réfuté, le 3 juillet, toute velléité de succéder à Abdelaziz Bouteflika.
Dans un communiqué, le groupe Orascom Telecom admet avoir surestimé la base de clients de sa filiale algérienne de 1,4 million d’utilisateurs lors des résultats publiés en mars dernier.
Instabilité régionale, crise économique européenne, difficultés de la filière : l’ambitieux projet européen cumule les handicaps et peine à faire émerger ses centrales solaires et éoliennes des sables du Sahara. Mais la relève s’organise.
Après d’âpres négociations entre l’État et le géant de la sidérurgie Arcelor Mittal, un accord devrait intervenir courant juillet. L’Algérie passera à 51 % du capital contre 30 % actuellement.
Le maire d’Alger centre, Abdelhakim Bettache, se démène pour que ses concitoyens sortent à nouveau le soir et regagnent l’espace public perdu pendant la guerre civile des années 90. Un objectif appuyé par le gouvernement, qui paraît cependant davantage à la portée des hommes que des femmes.
Leader en Algérie, le fabricant de groupes électrogènes et de centrales électriques veut se positionner sur le reste du continent. Avec l’appui de son nouvel actionnaire, Tuninvest.
Opaque et complexe, ce que les Algériens appellent le « nidham » (« système ») n’est pas un cabinet de l’ombre. Mais un mode d’exercice du pouvoir qui implique tous les rouages de l’État.
Ses chorégraphies ressemblent à son itinéraire écartelé entre une Afrique natale et une France d’adoption. On y danse la rencontre, l’authenticité, la violence et le chaos.
En raison d’importants travaux d’extension de la grande mosquée de La Mecque, l’Arabie saoudite a réduit de 20% le nombre de visas accordés aux pèlerins étrangers pour le Hadj 2013. Des milliers de Marocains, Algériens et Tunisiens qui se préparaient au pèlerinage vont devoir ranger leur valise au placard.
Le journaliste algérien Hichem Aboud paie-t-il ses propos au sujet de la santé de Bouteflika devant les médias étrangers, au mois de mai ? Alors qu’il attend toujours d’être convoqué par un juge, il s’est vu refuser, mercredi 26 juin, l’autorisation de quitter le territoire.
« Directeur du football » du Real Madrid depuis 2011, Zinédine Zidane va rejoindre le staff du nouvel entraîneur du club espagnol, l’Italien Carlo Ancelotti. L’ancien coach du Paris Saint Germain (PSG) l’a annoncé, mercredi 26 juin, lors de sa présentation à la presse au stade Santiago Bernabeu de Madrid.
L’Algérie est en retard par rapport à ses voisins en matière de commerce moderne. Conscients du potentiel, les groupes étrangers et locaux multiplient les projets.
Depuis le 17 mai, la France autorise le mariage entre deux personnes de même sexe. Une victoire pour la communauté homosexuelle française mais également pour les ressortissants étrangers, autorisés à se marier avec un citoyen de l’Hexagone. À condition toutefois qu’ils ne soient pas Algériens, Marocains ou Tunisiens.
Londres a fini par céder. Plusieurs milliers de rescapés de l’insurrection Mau Mau au Kenya, dans les années 1950, vont être indemnisés. Une décision qui rouvre le dossier sensible des crimes commis par les anciennes puissances coloniales.
L’Institut mondial des fonds souverains (SWF) a publié un recensement des fonds nationaux. L’Afrique ne pèse que 3% des volumes collectées par les Etats dans le monde.
Dans un communiqué officiel, le Mujao a proposé de relâcher un des diplomates algériens qu’il retient en otage contre la libération de trois de ses combattants détenus en Algérie.
Une cinquantaine de contractuels travaillant pour la fonction publique ont une nouvelle fois manifesté dimanche à Alger pour dénoncer la précarité de leur contrat, et leur rassemblement a été rapidement dispersé par les autorités.
La Caric doit pallier les retards dans la mise sur pied de la FAA, en tant que force africaine de stabilisation sur le continent. Mais pour l’instant seuls six pays sont volontaires.
On n’avait pas vu Abdelaziz Bouteflika depuis quarante-sept jours. Pour couper court aux rumeurs, les premières images du chef de l’État algérien ont été diffusées le 12 juin. Retour sur les dessous de cette opération.