Le Front des Forces Socialistes (FFS), le plus vieux parti d’oppositon algérien, éloigné des urnes depuis près de 15 ans, est revenu dans l’arène électorale pour les législatives du 10 mai, notamment encouragé par le Printemps arabe, a déclaré à Alger vendredi son secrétaire national, Ali Laskri.
Le 26 avril, 11 chefs d’État de la Cedeao se sont réunis à Abidjan afin d’apporter une solution aux crises que traversent le Mali et la Guinée-Bissau. Non sans divergences, les membres de la Cedeao se sont accordés sur un déploiement militaire, dont le coût s’élevera à 577 millions de dollars. Retour sur un huis-clos mouvementé.
Pour la première fois, Jeune Afrique publie un classement des athlètes les mieux payés de chaque pays africain. En Algérie, il s’agit du footballeur Nadir Belhadj.
40 % pour Hollande, 34% pour Sarkozy. La compilation des résultats du vote des Français en Afrique, le 22 avril, lors du premier tour de la présidentielle, donne un ordre d’arrivée des 10 candidats sensiblement différent du résultat global. Notamment dans le quinté de tête.
Khaled Lemmouchia, qui vient d’effectuer un mini-stage avec la sélection nationale à Sidi Moussa (seuls les locaux étaient concernés), a évoqué pour Jeune Afrique l’avenir des Fennecs, mais aussi celui de l’USM Alger, un club ambitieux où il a signé l’été dernier et avec qui il n’a pas renoncé à être champion.
Le Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao) a annoncé lundi 23 avril que les sept otages algériens enlevés au début du mois à Gao, dans le nord du pays, pourraient être relâchés très prochainement. Selon plusieurs sources, ils sont en « bonne santé ».
Le peloton de la 7e édition de la course cycliste gabonaise « Tropicale Amissa Bongo » s’élancera mardi 24 avril, à Fougamou (centre-ouest), pour six jours de course où se côtoieront stars du circuit international et amateurs africains.
En une du quotidien de référence El Watan, dimanche 22 avril 2012, les portraits des dix candidats au premier tour de l’élection présidentielle française avec un titre sur quatre colonnes : « La France retient son souffle ». L’Algérie aussi, a-t-on envie d’ajouter.
Une semaine après le début de la campagne électorale pour les élections législatives du 10 mai en Algérie, les candidats peinent encore à séduire les électeurs davantage préoccupés par les problèmes sociaux que par leurs discours.
Les activités des groupe armés qui contrôlent le Nord du Mali sont une « source d’inquiétude » pour l’Algérie qui déplore la séparation entre le nord et le sud de ce pays, a indiqué samedi à Alger le ministre algérien de l’intérieur Daho Ould Kablia.
Deux anciens ministres français, Hervé de Charette et Charles Millon, ont témoigné en janvier devant le juge Marc Trévidic, en charge de l’enquête sur le meurtre des moines de Tibéhirine.
En refusant de se représenter à la tête du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), Saïd Sadi a signé l’action politique la plus marquante de ce début 2012 en Algérie.
Ces derniers mois, l’appareil diplomatique algérien a été mobilisé pour expliquer aux partenaires occidentaux comment le pays veut et peut changer sans révolution.
Les manuels scolaires n’ont retenu de la présence africaine en Europe que l’épisode tragique de la traite négrière. Pourtant, sur le Vieux Continent ou en Asie, l’Histoire s’est construite avec des Africains au destin hors du commun. Il est temps de leur rendre hommage !
La tendance dans les pays voisins laisse présager une alternance en faveur des mouvements religieux en Algérie. Réponse lors des législatives du 10 mai.
L’organisation, le contrôle et, donc, la crédibilité du processus électoral relèvent désormais du seul pouvoir judiciaire. L’opinion est à moitié rassurée.
Alors que 75 personnes sont jugées depuis le 17 avril en Égypte pour les violences meurtrières dans le stade de Port-Saïd, l’Algérie est elle aussi touchée par le hooliganisme. Le 14 avril à Saïda, des joueurs et des dirigeants de l’USM Alger ont été agressés physiquement, certains à l’arme blanche. Une situation qui ne surprend pas Youcef Fates, politologue français d’origine algérienne, et maître de conférences à Paris-X. Interview.
Face aux nationalistes et aux conservateurs, dont les islamistes, le pôle des républicains doit s’organiser pour les législatives du 10 mai en Algérie. Pour le moment, ni accord ni projet commun ne semblent se concrétiser.
Pour le secrétaire général du Mouvement populaire algérien, Amara Benyounes, les modernistes doivent travailler ensemble. Il appelle même à la formation d’une alliance démocratique au Maghreb.
Si elle est restée en marge du Printemps arabe, l’Algérie a mis en marche en avril 2011 un sérieux train de réformes. Les élections législatives du 10 mai apparaissent comme une étape majeure dans ce processus. D’autant que la future Assemblée nationale devra débattre de la révision constitutionnelle.
En visite à Alger, le chef du Conseil national de transition (CNT) libyen Mustapha Abdeljalil a rencontré le président algérien Abdelaziz Bouteflika le lundi 16 avril.
L’épineuse question sahraouie, qui empoisonne les relations entre Alger et Rabat depuis près de 40 ans, a ressurgi lors des obsèques d’Ahmed Ben Bella, vendredi 13 avril. Outrée de voir que le dirigeant du Polisario, Mohamed Abdelaziz, avait rang de chef d’État, la délégation marocaine s’est retirée précipitamment. De quoi remettre en cause le processus de réconciliation entre le Maroc et l’Algérie ? Officiellement, non…
Quarante-quatre partis politiques se sont lancés officiellement dimanche dans la course électorale en Algérie pour les élections législatives du 10 mai, suite aux ouvertures de la présidence destinées à éviter un Printemps arabe dans ce pays encore meurtri par une guerre civile sanglante.
Le président français Nicolas Sarkozy a officiellement reconnu samedi la « responsabilité historique » de la France dans « l’abandon » des harkis, combattants musulmans au service de la France, après la fin de la guerre d’Algérie en 1962.
Le vendredi 13 avril, vers 14 heures, le premier président algérien a été enterré à Alger. Sous une météo capricieuse, avec des voisins présents et des lointains absents.
Premier président de l’Algérie et héros de la guerre d’indépendance, Ahmed Ben Bella est décédé à l’âge de 95 ans, le mercredi 11 avril 2012, à son domicile d’Alger. À cette occasio, l’historien Omar Carlier a rédigé pour Jeune Afrique une biographie de cet homme qui a marqué l’histoire de l’Algérie contemporaine. Il s’intéresse ici à la personalité de Ben Bella, réservé et pudique.
Premier président de l’Algérie et héros de la guerre d’indépendance, Ahmed Ben Bella est décédé à l’âge de 95 ans, le mercredi 11 avril 2012, à son domicile d’Alger. À cette occasio, l’historien Omar Carlier a rédigé pour Jeune Afrique une biographie de cet homme qui a marqué l’histoire de l’Algérie contemporaine. Il relate ici la dernière période de la vie politique de Ben Bella, depuis 1979.
Premier président de l’Algérie et héros de la guerre d’indépendance, Ahmed Ben Bella est décédé à l’âge de 95 ans, le mercredi 11 avril 2012, à son domicile d’Alger. À cette occasio, l’historien Omar Carlier a rédigé pour Jeune Afrique une biographie de cet homme qui a marqué l’histoire de l’Algérie contemporaine. Il relate ici les années où Ben Bella est au sommet, dès septembre 1962, lorsqu’il devient chef du gouvernement.