Le 18 mars 1962, Français et Algériens signaient au bord du lac Léman les accords d’Evian. Après cent trente-deux années de colonisation, dont huit d’une guerre sans pitié, ce texte était beaucoup plus qu’un cessez-le-feu entré en application le lendemain puisqu’il posait les bases de l’indépendance proclamée le 5 juillet. Un demi-siècle plus tard, les relations entre Paris et Alger restent marquées par ce douloureux passé.
Rompu à la supervision des scrutins, ce membre de l’opposition réputé pour son intégrité a été élu à la tête de la commission chargée de veiller au bon déroulement des législatives de mai prochain.
Quatre morts, dont trois enfants. La fusillade qui a eu lieu lundi 19 mars devant un collège juif de Toulouse a ému le monde entier. L’hypothèse d’un tueur en série étant privilégiée, l’heure est à la traque du suspect et à l’union nationale, notamment pour les candidats à l’élection présidentielle qui ont presque tous suspendu leur campagne. Hors de France cependant, les langues sont plus déliées.
À l’occasion du cinquantenaire des accords d’Évian, qui mirent fin à la guerre d’indépendance algérienne, Jeune Afrique met au jour ses archives. Publié dans son n° 78 (26 mars- 2 avril 1962), l’article qui suit présente le fonctionnement de l’Organisation de l’armée secrète (OAS), du moins en l’état des connaissances de l’époque.
À l’occasion du cinquantenaire des accords d’Évian, qui mirent fin à la guerre d’indépendance algérienne, Jeune Afrique met au jour ses archives. Publié dans son n° 77 (19-26 mars 1962), l’article qui suit a été écrit par Aziz Maarouf, envoyé spécial à Rabat, dans les heures qui ont suivi la signature des accords d’Évian.
Invaincu depuis qu’il est le sélectionneur de l’Algérie (juillet 2011), Vahid Halilhodzic attend les trois matches de juin pour se faire une idée plus précise de son équipe. Le technicien franco-bosnien, rassuré sur la motivation de son groupe, attend de lui qu’il monte en puissance.
Le 18 mars 1962, le ministre d’État français chargé des Affaires algériennes, Louis Joxe, et le chef de la délégation du Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA), bras politique du Front de libération national algérien (FLN), le colonel Belkacem Krim, signaient les accords d’Évian, mettant fin à la guerre d’Algérie.
À l’occasion du cinquantenaire des accords d’Évian, qui mirent fin à la guerre d’indépendance algérienne, Jeune Afrique met au jour ses archives. Publié dans son n° 78 (26 mars – 2 avril 1962), quelques jours après la signature des Accords d’Évian, l’entretien qui suit a été réalisé avec Jean Daniel, fondateur de l’hebdomadaire français Le Nouvel Observateur.
Un groupe de dirigeants africains s’est réuni samedi à Cotonou pour tenter de dégager une solution pour le choix du prochain président de la Commission de l’Union africaine (UA), après l’échec d’un sommet en janvier, a constaté un journaliste de l’AFP.
Trois partis politiques algériens qui forment une alliance islamiste ont menacé dimanche à Alger de se retirer des élections législatives du 10 mai en Algérie, s’il y a des des preuves concrètes de fraude avant la tenue du scrutin.
Cinquante ans après l’entrée en vigueur du cessez-le-feu entre la France et le FLN, qui a conduit à la fin de la guerre d’indépendance algérienne, Jeune Afrique propose dans son n° 2671 un dossier spécial sur les accords d’Évian. Pour tout savoir sur les coulisses de ces pourparlers et mieux comprendre les raisons des difficultés entre Paris et Alger.
Le 50e anniversaire des accords d’Évian entre la France et l’Algérie ne sera pas commémoré dans l’Hexagone. Une décision ignorée par la Fédération nationale des anciens combattants d’Algérie, Maroc et Tunisie (Fnaca) qui appelle à un grand rassemblement, lundi 19 mars à Paris.
À l’occasion du cinquantenaire des accords d’Évian, qui mirent fin à la guerre d’indépendance algérienne, Jeune Afrique met au jour ses archives. Publié dans son n° 77 daté du 19 au 26 mars 1962, l’article qui suit a été rédigé par Mohamed Masmoudi, homme politique et journaliste algérien.
Dans une interview accordée mardi 13 mars à un site internet algérien, le chef du gouvernement marocain, Abdelilah Benkirane, s’est exprimé sur sa vision de l’avenir politique commun de l’Algérie et du Maroc.
Le procès des 18 accusés pour la série d’attentats meurtriers du 11 avril 2007 à Alger s’est achevé mercredi avec pas moins de 16 condamnations à mort. Deux d’entre elles ont été prononcées contre Abdelmalek Droukdel et Fateh Bouderbala, des hauts responsables d’Aqmi.
L’Algérie peine à maitriser l’économie informelle, qui engendre des pertes conséquentes sur le Produit intérieur brut du pays. Le montant des fraudes s’élèverait, au minimum, à 10 milliards d’euros.
À l’occasion des 50 ans des accords d’Évian, qui mirent fin à la guerre d’indépendance algérienne, Jeune Afrique met au jour ses archives. Publié dans son n° 77 daté du 19 au 26 mars 1962, l’entretien qui suit a été réalisé avec Germaine Tillion, la célèbre résistante, ethnologue et militante anticolonialiste, qui s’est éteinte le 19 avril 2008 à l’âge de 100 ans.
Abdelmalek Droukdel, un chef d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), ainsi que huit autres accusés, ont été condamné mardi à Alger à la peine capitale par contumace. Ils étaient accusés d’avoir participé à l’élaboration des attentats qui avaient touché le Palais du gouvernement le 11 avril 2007.
Rester aux côtés du fantasque et redoutable Mouammar Kadhafi pendant quarante ans, Safia l’a fait. En silence et en donnant au « Guide » libyen sept enfants. L’infirmière devenue milliardaire se trouve à présent à Alger avec les survivants d’une famille emportée par le vent de l’Histoire.
L’ancien ministre français chargé de la Promotion de l’égalité des chances, Azouz Begag, publie le 2 avril son deuxième roman, Salam Ouessant, aux éditions Albin Michel.
Le Premier ministre libyen des autorités de transition, Abderrahim el-Kib, a plaidé dimanche à Tripoli pour un « renforcement de la coopération régionale » afin de lutter contre la montée de la criminalité.
Un jour viendra « où la France s’excusera » pour ce qu’elle a fait à l’Algérie, a déclaré samedi le ministre d’État algérien et chef du Front de Libération national (FLN, parti présidentiel) Abdelaziz Belkhadem, en réponse aux récentes déclarations du président Nicolas Sarkozy.
En visite à Nice dans le sud de la France, le président et candidat à la présidentielle française Nicolas Sarkozy s’est adressé aux Harkis et aux rapatriés d’Algérie, à quelques jours du 50e anniversaire de la signature des accords d’Évian. Interrogé par le journal « Nice Matin », le chef d’État avait donné dans la matinée un avant-goût de son discours… plutôt éloquent.