En marge de la conférence d’Alger sur le terrorisme au Sahel, le ministre algérien Abdelkader Messahel a une nouvelle fois affirmé que son gouvernement souhaitait travailler avec le CNT libyen. Même si l’ambassade d’Algérie à Tripoli a été saccagée par des rebelles furieux de l’accueil réservé par Alger à plusieurs membres de la famille de Mouammar Kadhafi.
Durant deux jours, Alger accueille une conférence internationale sur la lutte contre le terrorisme au Sahel. Objectif : renforcer la coopération entre ses participants face à une menace grandissante. Pourtant, derrière la volonté commune, chacun privilégie ses intérêts.
Patron d’Ival, distributeur de Fiat, Iveco et Mazda, le président de l’association des concessionnaires a vu venir très tôt l’essor du marché automobile en Algérie.
La crise libyenne a créé une menace supplémentaire au Sahel, déjà confronté au terrorisme et au crime organisé, avec la circulation d’armes et l’exode massif des ressortissants provenant de ce pays, selon un ministre algérien, Abdelkader Messahel. Une conférencerégionale de deux jours est organisée à Alger les 6 et 7 septembre sur ce problème.
Le Burkina et le Sénégal se sont qualifiés samedi pour la Coupe d’Afrique des nations, tandis que le triple tenant du titre, l’Egypte, ne participera pas à l’édition 2012 après s’être incliné 2-1 samedi en Sierra Leone, le Cameroun se relançant dans ces qualifications.
Des incidents ont opposé samedi dans deux quartiers d’Alger les forces de l’ordre à des manifestants qui réclamaient de meilleurs logements, ont indiqué des habitants. Il y a au moins trois blessés.
Les internationaux marocains et algériens ont particulièrement fait bouger le mercato estival, qui s’est achevé mercredi à minuit. Petit tour d’horizon des ultimes transferts.
Syrte, le dernier grand bastion pro-Kadhafi où l’ex-dirigeant libyen pourrait se trouver, est désormais dans le viseur de la rébellion. Alors que l’ultimatum fixé par le CNT pour la reddition des forces loyalistes court jusqu’à samedi, les insurgés se préparent à leur dernière grande bataille.
Après l’accueil de quatre membres de la famille de Mouammar Kadhafi sur son territoire, l’Algérie risque de voir ses relations avec les rebelles libyens se dégrader encore, au moment où ces derniers prennent le pouvoir à Tripoli.
Alors que se profile le cinquantenaire de l’indépendance, en 2012, les plaies de la guerre de libération sont loin d’être refermées. Comme en témoignent les tiraillements qui traversent les nombreux romans et essais présents en librairie.
Alors que la mort de Mouammar Kadhafi a été annoncée par le CNT, jeuneafrique.com vous propose de (re)lire « L’Afrique sans Kadhafi », un article de François Soudan paru dans les colonnes de Jeune Afrique (n° 2642 du 28 août au 3 septembre 2011). Jusqu’au bout, à de rares exceptions près, les chefs d’État africains, mais aussi une bonne partie de l’opinion et des intellectuels du continent, auront manifesté à l’égard de Mouammar Kadhafi un mélange de solidarité et de compassion.
Tandis que les rebelles avancent difficilement vers Syrte, dernier grand bastion pro-régime sur la côte, plusieurs membres de la famille de Mouammar Kadhafi se sont réfugiés en Algérie, dont sa seconde épouse, Safia Farkash, et Hannibal, réputé pour ses frasques internationales. L’ex-dirigeant libyen pourrait quant à lui être réfugié dans sa tribu, à 100 km au sud-est de Tripoli, avec ses autres fils Saadi et Seif el-Islam.
Le groupe Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) a revendiqué dimanche le double attentat suicide qui a fait 18 morts deux jours plus tôt à l’Académie militaire de Cherchell, en Algérie.
Deux officiers syriens figurent parmi les 18 morts du double attentat suicide perpétré vendredi contre l’Académie militaire de Cherchell, à une centaine de kilomètres à l’ouest d’Alger, a-t-on appris dimanche de source diplomatique.
Les rebelles libyens, nouveaux maîtres de Tripoli, ont commencé à remettre la ville en état de marche, tout en progressant rapidement dans l’ouest du pays, mais butent sur une résistance marquée dans leur marche vers Syrte, dernier grand bastion de Mouammar Kadhafi.
Le double attentat suicide contre l’Académie militaire de Cherchell, à une centaine de kilomètres à l’ouest d’Alger, a fait 18 morts, 16 officiers et deux civils, a annoncé samedi le ministère de la Défense dans son propre bilan revu à la hausse.
L’Algérie a démenti samedi de la manière la plus catégorique des informations relatives au passage en Algérie d’un convoi de Mercedes blindées en provenance de Libye rapportées par l’agence égyptienne Mena.
Les liens probables entre la secte islamiste nigériane Boko Haram et Aqmi inquiètent les observateurs. L’arc du terrorisme est-il en train de se consolider de la Mauritanie à la Somalie, en passant par l’Algérie et le Nigeria ?
Le double attentat suicide contre l’Académie militaire de Cherchell, à une centaine de kilomètres à l’ouest d’Alger, a fait 11 morts, neuf officiers et deux civils, a annoncé samedi le ministère de la Défense. Une source hospitalière avait fait état la veille de 18 morts.
18 morts dans un attentat devant une école militaire : il s’agit là de la première attaque contre l’armée depuis l’apparition du terrorisme dans les années 90 en Algérie.
La réunion du comité central du Front de libération nationale (FLN) du 31 juillet dernier est loin d’avoir apaisé les tensions qui agitent le parti. Abdelaziz Belkhadem est accusé de jouer une carte un peu trop personnelle.
Capitale de la culture islamique 2011, la « perle du Maghreb » a vu plusieurs hôtels ouvrir récemment leurs portes. La ville d’art et d’histoire profite de l’événement pour promouvoir la région.
Sous l’impulsion de la Turquie, l’organisation de coopération islamique (OCI) s’est engagée mercredi à Istanbul à fournir 350 millions de dollars aux victimes de la famine en Somalie. Mais les ONG et l’ONU attendent encore de la communauté internationale un effort de plusieurs centaines de millions de dollars.
Trois personnes dont un militaire et un policier, ont été tuées au cours de deux attentats attribués à Aqmi. Les régions frappées sont encore celles de Boumerdès et de Tizi Ouzou.