Une dizaine de militaires ont été tués et plusieurs ont été blessés vendredi soir par un « groupe terroriste » qui a attaqué leur poste de surveillance à Azazga (140 km) à l’est d’Alger, a indiqué samedi le quotidien El Watan sur son site internet.
Le président algérien Abdelaziz Bouteflika a prononcé, vendredi soir, un discours à la nation attendu depuis plusieurs semaines. Il s’est engagé à entreprendre une série de réformes « visant à renforcer la démocratie » et à effectuer une révision constitutionnelle.
Plusieurs milliers d’étudiants ont marché, mardi, à Alger, bravant l’interdiction imposée par les pouvoirs publics. Organisée par la Coordination nationale autonome des étudiants, la manifestation intervient dans un contexte de forte tension marqué par la dévalorisation des diplômes.
Multinationales et groupes locaux sont devenus en dix ans des rouages essentiels du commerce au Maghreb. Une nouvelle donne avec laquelle les industriels ont pris l’habitude de composer.
Taboue et méconnue à Alger et à Tunis, la franc-maçonnerie n’en est pas moins présente en Afrique du Nord depuis des décennies. À Rabat, les « frères » sont plus visibles.
Depuis son arrivée au poste de Premier ministre du gouvernement provisoire, les esprits se sont apaisés et le pays s’est progressivement remis au travail. Sa mission : mener à bien la transition en évitant la chasse aux sorcières, tout en veillant à ce que justice soit faite.
Solidarité avec les insurgés, dénonciation du caractère néocolonial des frappes, louvoiements entre l’UA et l’ONU… Qu’il s’agisse des chefs d’État, des opinions publiques ou des intellectuels, l’intervention militaire divise et embarrasse les Africains.
La promesse de réformes politiques faite par le président algérien Abdelaziz Bouteflika en réponse à l’opposition qui demandait un « changement de système », dans la foulée des révolutions en Tunisie et en Égypte, commence à susciter des doutes sur sa sincérité de la part des commentateurs algériens.
L’insurrection en Libye inquiète de plus en plus les pays du Sahel, convaincus qu’une partie de l’armement du colonel Mouammar Kadhafi est désormais entre les mains d’Al-Qaïda au Maghreb Islamique (Aqmi). Une situation qui pourrait faire de la région une véritable poudrière.
Les Algériens ne savent toujours rien ou presque des réformes politiques que le pouvoir compte engager. Le président Abdelaziz Bouteflika, qui a entrepris mardi une visite d’inspection dans la ville de Tamanrasset, est resté encore une fois silencieux sur le sujet. Et les rumeurs vont bon train.
Didier Drogba pourrait quitter Chelsea à la fin de la saison. Mais d’autres joueurs africains (Youssef el-Arabi, André Ayew, Madjid Bougherra) pourraient animer le prochain marché des transferts.
Cette sénatrice d’origine algérienne, passée du militantisme à la politique, mène plusieurs combats de front – dont celui pour le boycott des produits israéliens…
En remportant leur match très attendu face au Maroc, les Fennecs se relancent dans la course à la qualification pour la CAN 2012. Dans leur groupe, toutes les équipes sont à égalité de point.
Comme chaque samedi depuis plusieurs semaines, l’opposition algérienne et plusieurs associations ont commencé à défiler dans les rues de la capitale, avant d’être bloquées par les autorités.
Dimanche 27 mars au soir, l’Algérie et le Maroc s’affrontent à Annaba dans ce qui ressemble à un match de la dernière chance pour les Fennecs. Avec un seul point en deux matchs, l’équipe d’Abdelhak Benchikha n’a pas le droit de perdre si elle veut continuer à croire à une qualification pour la CAN 2012.
Hormis le Maroc et l’Algérie, les pays du sud et de l’est de la Méditerranée ont connu une forte hausse des Investissements directs à l’étranger (IDE). L’année qui vient s’annonce plus difficile.
L’Algérie et le Maroc s’affronteront pour la vingt-troisième fois dimanche à Annaba. Les statistiques sont largement favorables aux Lions de l’Atlas qui en 22 confrontations ont obtenu neuf victoires contre cinq défaites et ont concédé huit matchs nuls.
Plusieurs dizaines de jeunes Algériens se sont opposés aux autorités pour protester contre le projet de destruction d’un bidonville, dans le quartier d’Oued Koreich.
Walid Regragui faisait partie des cadres de l’équipe marocaine qui avait éliminé l’Algérie (3-1 après prolongation) en quart de finale de la CAN 2004, lors de la dernière confrontation entre les deux pays. Il confie à jeuneafrique.com son optimisme sur la rencontre entre les Lions de l’Atlas et les Fennecs, le 27 mars à Annaba, en éliminatoires de la CAN 2012.
Quelques jours avant le match Maroc-Algérie du 27 mars à Annaba, comptant pour les éliminatoires de la CAN 2012, Rabah Saadane livre ses impressions. Et se remémore la précédente rencontre entre les Fennecs et les Lions de l’Atlas, en quart de finale de la CAN 2004.
Malgré les rumeurs sur son état de santé et son relatif silence, le chef de l’État algérien semble avoir gardé la main. Mais sa succession n’est plus un sujet tabou.
Les velléités du Front de libération nationale (FLN, ancien parti unique) exprimées, en décembre 2010, par son secrétaire général, Abdelaziz Belkhadem, d’investir Abdelaziz Bouteflika pour la prochaine présidentielle algérienne prévue en 2014 sont à présent compromises. L’agitation chez les voisins et la brutale intrusion de la jeunesse algérienne dans le débat politique ont changé la donne. Outre l’ancien Premier ministre, Ali Benflis, qui est indéniablement appelé à jouer un rôle malgré son éviction du FLN et son entrée en dissidence, voici quelques autres successeurs putatifs. En tout cas, ceux dont on parle…
La rançon astronomique réclamée par Aqmi pour la libération de quatre otages français – 90 millions d’euros – a été refusée par la diplomatie française. D’autant que les djihadistes exigent également la libération de certains de leur frères d’armes.
En Algérie, les causes du mécontentement sont les mêmes qu’en Tunisie ou en Égypte : chômage, corruption, jeunesse marginalisée, système politique verrouillé… Mais si l’embryon de révolte n’a pour l’instant pas pris, de profondes et rapides réformes sont plus que jamais indispensables.
Au lendemain de la révolution en Égypte, qui a vu l’énorme patrimoine culturel de ce pays exposé à des risques de pillage, l’Unesco a fait le bilan des quarante années d’existence de la Convention pour la lutte contre le trafic des biens culturels mise en place en 1970.
Grosse désillusion pour les organisateurs de la marche de la jeunesse du 19 mars, initiée via Facebook, qui a rassemblé très peu de participants. Même scénario pour la manifestation de la Coordination nationale pour le changement démocratique et celle des anciens combattants de la Coordination nationale des enfants de moudjahidines en cette date anniversaire de la fin de la guerre d’Algérie.