L’ancien ministre de la Défense, Soumeylou Boubèye Maïga, excellent connaisseur du Nord-Mali, devrait prochainement être nommé à un nouveau poste, pour mieux lutter contre Aqmi.
Le vice-Premier ministre algérien ne s’est pas rendu au Conseil des ministres du 28 septembre pour défendre son « code de la commune ». Une illustration de la dégradation de ses relations avec le président ?
À l’initiative de la Fondation Anna Lindh, l’institut Gallup a mené une vaste enquête auprès de 13 000 citoyens des trois rives de la méditerranée afin de mieux cerner les valeurs qui les animent et la perception qu’ils ont de leurs voisins.
L’Algérienne Assia Djebar serait l’une des favorites pour le prix Nobel de littérature. Selon certains indices, celui-ci sera décerné jeudi à une femme, poète, africaine… Mais rien n’est sûr : comme chaque année, le mystère enveloppant le lauréat est complet à Stockholm. Et tous les moyens sont bons pour en dresser un portrait robot.
Les deux ouvriers chrétiens qui avaient été arrêtés pour n’avoir pas respecté le jeûne du ramadan ont été relaxés mardi. Ils étaient poursuivis pour « atteinte à un précepte de l’islam ».
Après l’enlèvement des sept expatriés au Niger, le Mali s’est retrouvé, bien malgré lui, au cœur de l’offensive contre Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi). Retour sur une semaine qui secoué Bamako, en pleines festivités du cinquantenaire de l’indépendance.
« La France n’a pas demandé officiellement l’aide du Mali » dans le dossier des sept otages enlevés au Niger mi-septembre a affirmé le président Amadou Toumani Touré dans un entretien au quotidien français « Le Figaro ».
Environ 7 500 islamistes auraient rendu les armes et plus de 1 300 ont été tués depuis la mise en œuvre de la Charte pour la réconciliation nationale, a affirmé un haut responsable algérien dimanche.
Paris s’est de nouveau dite prête à négocier avec Aqmi, qui a envoyé des preuves de vie des sept otages d’Areva et de Satom enlevés au Niger. Areva s’est engagé à travailler au renforcement de la sécurité de ses employés dans la région, où l’inquiétude gagne les expatriés.
Alors que la présidente d’Areva Anne Lauvergeon se rend au Niger, et qu’un centre de renseignement dédié à la lutte contre Aqmi a été créé à Alger, le groupe terroriste « communique ». En diffusant des images et un enregistrement des sept otages…
Pour le général Rondot, ancien agent du renseignement français, ce sont bien les hommes du Groupe islamique armé (GIA) qui sont responsables de l’enlèvement des moines de Tibéhirine. Il dit en revanche n’avoir « aucune information » sur une possible bavure de l’armée algérienne concernant la mort des religieux.
Les directions des services de sécurité de l’Algérie, de la Mauritanie, du Niger et du Mali, doivent se réunir mercredi à Alger pour mettre en place un centre commun de renseignement en matière de lutte contre le terrorisme, a-t-on appris de source diplomatique à Bamako.
Grâce à des capitaux américains, l’industrie pharmaceutique algérienne espère moins dépendre des importations et entend favoriser la production locale.
L’étude du projet de loi sur la criminalisation du colonialisme a été reportée par les députés algériens. Le récent rapprochement entre les deux pays y a sans doute contribué.
Les cinq Français, le Malgache et le Togolais enlevés le 16 septembre dans le nord du Niger sont en vie d’après une source malienne proche du dossier qui en a informé Paris.
Les Cafés d’Oran, une série de concerts raï programmés dans le cadre du Festival d’Ile de France, ont lieu du 24 au 26 septembre dans le Cirque d’Hiver Bouglione, à Paris. Avec pour thème cette année : l’ivresse.
Après celui d’Ulysse, l’écrivain algérien Salim Bachi réinterprète le mythe de Sindbad le Marin. Dans une écriture poétique et incandescente qui tient en haleine jusqu’à la dernière ligne.
Bamako est souvent accusé de laxisme, par Alger notamment. Mais la réalité est un peu plus compliquée. Si Bamako laisse agir la Mauritanie au nord de son territoire, c’est en partie par crainte de voir resurgir la rébellion touarègue.
Craignant un scénario à la somalienne au Sahel, le chercheur français spécialiste du monde musulman et de l’Afrique pointe les limites de la lutte contre le terrorisme lancée par l’Occident.
Parmi les chefs de l’Aqmi, on retrouve des terroristes qui s’étaient déjà distingués au sein de son ancêtre, le Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC).