Au moins 6 000 armes ont été déposées depuis l’entrée en vigueur le 28 février 2006 de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale, a annoncé à Alger le secrétaire général du Front de libération nationale (FLN), principal parti au pouvoir en Algérie.
Le marché publicitaire progressera de plus de 10 % dans les trois pays en 2009. Les grandes marques locales montent en puissance malgré la flambée des tarifs.
Le très discret président-directeur général d’Arcofina, un groupe algérien diversifié, sort de l’ombre pour vendre son colossal projet immobilier d’Alger Medina, qui doit remodeler le visage de la capitale d’ici à 2011.
Son destin se confond avec l’histoire de l’Algérie. Ministre flamboyant sous Boumédiène, tombé en disgrâce au temps de Chadli Bendjedid, chef de l’État depuis 1999, il brigue aujourd’hui un troisième mandat. Enquête sur l’homme le plus connu et… le plus mystérieux du pays.
L’Algérie a été durement frappée cette semaine par des intempéries qui ont fait au moins quatre morts et détruit des milliers d’habitations, suivies d’une tempête qui a perturbé le chargement de navires pétroliers et gaziers à partir de ports près d’Oran (ouest).
L’ex-chef et fondateur du Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC) Hassan Hattab, appelle de nouveau les islamistes armés en Algérie à rendre les armes et bénéficier de la charte pour la réconciliation nationale, dans un message dont l’AFP a obtenu copie.
Le dirigeant du Front de libération nationale (FLN, nationaliste) Abdelaziz Belkhadem a déclaré que le président Abdelaziz Bouteflika « annoncerait sa candidature » à la présidentielle d’avril après la convocation du corps électoral, a rapporté l’agence APS.
Alger devrait disposer d’un nouveau centre-ville, avec une véritable cité des affaires, baptisée « Alger médina » d’ici 2011, sous l’impulsion d’un investisseur atypique, longtemps expatrié, qui veut promouvoir l’image de l’entrepreneur algérien.
Avec le plus riche matelas de pétrodollars de son histoire, le pays peut résister à une courte récession mondiale. Confronté à la baisse importante des cours du brut, il pourrait en profiter pour enfin engager la diversification de son économie. Et préparer l’avenir.
Jeune, fougueux, soucieux d’incarner une autre manière de faire de la politique, le premier secrétaire national du FFS a toute la confiance de son président-fondateur. Qui voit en lui son successeur naturel.