Réforme constitutionnelle, budget du gouvernement, situation sécuritaire… la convalescence du président atteint du Covid-19 ralentit l’activité de l’État.
Soutien à Tebboune, vision du Hirak, déclaration sur l’Algérie rurale… Plusieurs éléments de l’interview du président français dans Jeune Afrique ont agacé les Algériens. Décryptage.
L’organisation Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) a nommé un de ses cadres à sa tête pour succéder à l’Algérien Abdelmalek Droukdel, tué en juin par les forces armées françaises dans le nord du Mali, rapporte samedi l’agence américaine SITE, spécialisée dans la surveillance des groupes jihadistes.
Pour espérer voir les espoirs suscités par le Hirak se concrétiser en Algérie, la démocratisation de la culture politique, plus encore que celle des institutions, est cruciale.
Depuis la libération de centaines de jihadistes au Mali, en octobre, les autorités s’inquiètent de l’identité de certains de ces éléments, qui pourraient menacer sa sécurité.
Depuis début novembre, l’Algérie est confrontée à une forte reprise de la circulation du virus. Les autorités sont accusées d’avoir fait preuve de légèreté et de sous-estimer le nombre de cas.
Dix-neuf jours après le début de l’hospitalisation du chef de l’État algérien dans une clinique allemande, la présidence a livré le 15 novembre un nouveau bulletin médical sur son état de santé.
« Le Maghreb face aux catastrophes écologiques » (3/5) Industrialisation, eaux usées, surexploitation des rivières… le militant Karim Tedjani rassemble sur son site activistes écologistes et scientifiques pour dénoncer les pollutions.
Condamné dans plusieurs affaires de corruption, l’ancien chef du gouvernement algérien est toujours incarcéré à la prison de Koléa, à une trentaine de kilomètres d’Alger. Voici son quotidien derrière les barreaux.
Après plusieurs mois de report, le film « Heliopolis » a enfin fait sa première en Algérie… mais seulement pour la presse, Covid-19 oblige. Son réalisateur, Djaffar Gacem, espère maintenant séduire l’Académie des Oscars.
L’absence de visibilité sur l’état de santé du président algérien n’est pas sans rappeler l’épisode de l’AVC de Bouteflika, en 2013. Et interroge sur la capacité du chef de l’État à assumer pleinement ses fonctions.
Plus d’un an après sa nomination, le garde des Sceaux a largement perdu en popularité, alors que les tensions entre différents corps de métiers paralysent le système judiciaire.
Transféré mercredi dans une clinique en Allemagne « pour des examens médicaux approfondis », Abdelmadjid Tebboune est officiellement atteint de Covid-19, selon un communiqué de la présidence. Le chef de l’État entame sa deuxième semaine d’hospitalisation dans une clinique à Cologne.
Condamné en première instance à dix-huit ans de prison, l’ancien patron des patrons a écopé en appel d’une peine de douze ans ferme, assortie d’une amende de 8 millions de dinars.
Plus qu’un rejet, c’est un désaveu cinglant que les électeurs algériens ont réservé à la révision constitutionnelle proposée par le président Abdelmadjid Tebboune, actuellement hospitalisé en Allemagne.
Près de 25 millions d’Algériens sont appelés dimanche à se prononcer sur une révision constitutionnelle censée fonder une « Algérie nouvelle », et à plébisciter son promoteur, le président Abdelmadjid Tebboune.
Alors que le président algérien a été transféré en Allemagne le 28 octobre pour des « examens médicaux approfondis », JA reconstitue le fil des événements qui ont mené à son transfert.
Dans son nouveau long-métrage survitaminé « ADN », dont la sortie en salles en France est prévue ce 19 mai, la réalisatrice et actrice Maïwenn réussit à métamorphoser un drame familial en comédie.
Ali Haddad, Mahieddine Tahkout, Abdelkader Zoukh… l’Algérie dite « nouvelle » est marquée par une série de condamnations des figures de l’ancien régime. Bilan d’étape des procès en cours.
Si, soucieux de préserver la souveraineté nationale, Alger a jusque-là exclu tout financement de l’institution multilatérale, ses déficits croissants pourraient ne plus lui laisser le choix.
La société publique est très active dans le milieu du ballon rond algérien. Une omniprésence critiquée par certains acteurs, qui pointent des conflits d’intérêts.
Révision constitutionnelle, prérogatives du président et de l’armée, rôle des services : la réorganisation des institutions algériennes cause des frictions entre les deux hommes.