Le Front de libération nationale peine à retrouver son envergure d’antan. Et la pandémie de Covid-19 ne l’aide pas à se restructurer : la réunion du comité central prévue fin avril a été reportée.
Des propos prêtés à un diplomate marocain dans une vidéo devenue virale a déclenché la colère du ministère des Affaires étrangères algérien. Une réaction qui n’a suscité aucune réaction officielle de Rabat pour le moment.
Docteur en sciences politiques, chercheuse résidente au Carnegie Middle East Center de Beyrouth, Dalia Ghanem voit dans le projet de réforme constitutionnelle « une récupération politique » qui manque sa cible, à savoir satisfaire les revendications du Hirak.
Décédé samedi 2 mai à l’hôpital Bichat d’une fibrose pulmonaire, le chanteur kabyle Idir a été inhumé dans l’après-midi du mercredi 13 mai au cimetière du Père Lachaise, à Paris, lors d’une cérémonie simple, à l’image de ce qu’a toujours été l’artiste.
L’avant-projet de réforme constitutionnelle promet de rééquilibrer les pouvoirs, sans proposer un changement de régime. Et peine à convaincre opposition, juristes et société civile.
Une semaine après le décès d’Idir, Jeune Afrique retrace l’histoire de « A Vava Inouva », le tube qui a fait connaître le chanteur amazigh dans le monde entier.
La dernière demeure d’Idir, en France ou en Algérie, fait débat parmi les proches et le public de l’artiste. Certains membres de sa famille ont sollicité les autorités algériennes.
Annoncée par Emmanuel Macron en septembre 2018, l’ouverture d’une centaine d’archives sur les « disparus » de la guerre d’Algérie a été publiée au Journal officiel français le 12 avril, en toute discrétion.
Le chanteur algérien Idir, l’un des principaux ambassadeurs de la chanson kabyle à travers le monde et l’interprète du célèbre « A Vava Inouva », est mort samedi soir à Paris à l’âge de 70 ans, a annoncé sa famille.
L’Algérie a exclu de contracter des prêts auprès du Fonds monétaire international (FMI) et des organismes financiers internationaux en dépit de la crise financière qui menace le pays en raison de l’affaiblissement des cours du pétrole, a affirmé le président algérien Abdelmadjid Tebboune.
Télétravail, achats sur internet, soutien scolaire en ligne, médecine 2.0… La pandémie de Covid-19 a accéléré la transformation numérique de l’Algérie, où les habitants sont confinés depuis plus d’un mois dans certaines wilayas.
L’ancien ministre algérien des Finances, Abderrahmane Benkhalfa, a intégré le panel des personnalités africaines chargées par l’Union africaine (UA) de mobiliser des financements internationaux pour aider l’Afrique à faire face aux effets de la pandémie.
Les craintes étaient de voir le coronavirus frapper les camps de réfugiés de Tindouf, en Algérie, où la vie est déjà précaire. Mais ce sont les conséquences économiques de la pandémie qui suscitent désormais l’inquiétude.
Combat contre les fake news, contrôle des médias et des partis… Eclipsées par la lutte contre le coronavirus, les nouvelles dispositions pénales ont été présentées devant un Parlement presque vide, et adoptées sans débat politique.
Écarté en mars 2019, le général-major Mohamed Bouzit, très discret conseiller d’Abdelmadjid Tebboune sur le dossier libyen, reprend les rênes de la Direction de la documentation et de la sécurité extérieure (DDSE).
Après avoir renoncé au poste d’émissaire des Nations unies pour la Libye, le diplomate algérien rebondit au prestigieux Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (Sipri).
Un document de la justice américaine met en cause l’ex-ministre algérien de l’Énergie, exilé aux États-Unis, dans une affaire de corruption internationale. Et pourrait permettre à la justice algérienne de finalement obtenir son extradition.
Il y a quarante ans, la Kabylie s’enflammait en raison de l’annulation par le pouvoir d’une conférence de l’anthropologue Mouloud Mammeri à l’université de Tizi-Ouzou. Retour sur les jours de révolte qui ont abouti, des années plus tard, à la consécration officielle de la culture et de l’identité berbères.
En Algérie, les tournages sont à l’arrêt en raison des mesures prises pour limiter la propagation du Covid-19. Pour reprendre leurs activités, les producteurs attendent le 19 avril, date de fin hypothétique de la quarantaine – ou une éventuelle dérogation.
La nomination de Larbi Ounoughi à la tête de l’Agence nationale d’édition et de publicité (Anep), dans un contexte tendu entre le pouvoir et une partie des médias algériens, est le prélude à une large réforme du secteur.
Avec 1 914 cas déclarés de coronavirus et 293 morts au 12 avril, l’Algérie est l’un des pays les plus touchés en Afrique. La task force dirigée par le ministre de la Santé, Abderrahmane Benbouzid, multiplie les efforts pour inverser la courbe.
Au Maghreb, si le confinement total a fini par être adopté comme mesure de protection la plus sûre contre la propagation du coronavirus, son respect par une population largement dépendante de l’économie informelle n’est pas chose aisée.
À Alger, l’épidémie due au coronavirus suscite des élans de solidarité chez les responsables politiques, qui ont fait don d’un mois de salaire. Alors que plusieurs chiffres erronés ont circulé, voici ce que perçoivent vraiment les hauts cadres de l’État.
L’ancien ministre algérien des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, devait être nommé en mars dernier envoyé spécial des Nations unies pour la Libye. Mais sa candidature a été bloquée par Washington, avec le soutien de deux capitales arabes. Explications.
Dès le début de la crise sanitaire, les autorités marocaines, tunisiennes et algériennes ont fait le choix de la fermeté pour contrer les fausses informations qui circulent autour de la pandémie de Covid-19.
Le nouveau ministre délégué chargé des start-up porte un projet de loi en faveur des jeunes pousses. Si l’épidémie de Covid-19 chamboule son calendrier, il promet de livrer un texte d’ici à la fin de cette année.
Depuis la détection des premiers cas de coronavirus lors d’un mariage, mi-février, la « ville des roses » est devenue le principal foyer de la pandémie en Algérie.
Les journaux papiers ont quasiment cessé d’être imprimés et de circuler au Maghreb en raison de l’épidémie de Covid-19 qui empêche leur distribution, déplorent de nombreux patrons de presse.
Il y a un an jour pour jour, le 2 avril 2019, Abdelaziz Bouteflika était contraint par l’état-major de l’armée de remettre sa démission. Dans son livre « Bouteflika. L’histoire secrète », notre collaborateur Farid Alilat a enquêté sur ces derniers jours historiques. Récit.