Alors que son procès en appel aura lieu dimanche 9 février au tribunal de Blida, l’état de santé du frère de l’ancien président Abdelaziz Bouteflika suscite l’inquiétude des autorités.
Lors du voyage officiel du président tunisien Kaïs Saïed à Alger, le chef de l’État algérien Abdelmadjid Tebboune a fait état d’une « totale convergence » de vues entre les deux pays, y compris sur les questions régionales et internationales.
En faisant un parallèle entre les « défis mémoriels » que constituent la guerre d’Algérie, pour lui, et la Shoah, pour Jacques Chirac en 1995, Emmanuel Macron a déclenché l’ire de ceux qui, en France, n’ont toujours pas fait le deuil de l’époque coloniale. Il a eu le courage, au moment où l’Algérie change et s’ouvre, de s’attaquer à un tabou.
Le président tunisien Kaïs Saïed est arrivé dimanche matin à Alger, son premier voyage officiel à l’étranger après trois mois au pouvoir. Il s’entretiendra notamment du conflit en Libye avec son homologue algérien, Abdelmadjid Tebboune.
Salaires non versés, chantiers à l’arrêt, contrats résiliés… La situation des entreprises détenues par Ali Haddad et les frères Kouninef, toujours en prison, est critique, malgré la mise en œuvre d’un plan de sauvetage en septembre dernier. Désemparés, des salariés protestent, en appelant directement au président Abdelmadjid Tebboune.
Avec « Algérie, la nouvelle indépendance », le chercheur français dissèque le mouvement de contestation actuel en le mettant en perspective. Et se montre, sur le long terme, résolument optimiste.
Depuis plus de dix mois, le Hirak a mis le pays en ébullition. Et la politique étrangère algérienne a autant besoin de renouveau que la politique intérieure. En particulier au Sahel, où les défis sécuritaires n’ont cessé de se multiplier avec la chute de Kadhafi, en 2011, le début de la crise malienne, en 2012, et les violences dans le Liptako Gourma.
L’Algérien Hocine Benhadid, dont la santé s’était dégradée en détention, a pu se rendre en France pour y être soigné quelques jours après sa remise en liberté.
Contesté par le Hirak, le nouveau président multiplie les consultations, les paroles d’apaisement et les promesses de changement pour incarner la rupture avec l’ancien système.
Le nouveau président algérien Abdelmadjid Tebboune souhaite tourner la page des années Bouteflika. La relation entre le palais présidentiel et les médias algériens se détend, même si les médias les plus critiques restent à l’écart de cette main tendue.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan est arrivé dimanche à Alger pour une visite de 48 heures afin d’évoquer la situation en Libye, où est menacée une trêve fragile. L’Algérie veut jouer un rôle de médiateur dans cette crise régionale.
Une alliance de partis et d’associations liés au « Hirak » s’est engagée samedi 25 janvier, à Alger, à rassembler les forces de ce mouvement de contestation populaire inédit face à un pouvoir qu’elle accuse d’ « autoritarisme ».
En grande difficulté financière, le leader algérien des boissons fruitées NCA Rouiba a officialisé la prise de contrôle du groupe français Castel, qui signe un retour en force sur le marché des jus.
Droite et extrême droite françaises ont dénoncé samedi des propos d’Emmanuel Macron établissant un parallèle entre la guerre d’Algérie et la reconnaissance par l’ancien président Jacques Chirac de la responsabilité de la France dans la déportation des juifs pendant la Seconde guerre mondiale.
La décision de Rabat d’organiser la CAN 2020 de futsal à Laâyoune, au Sahara occidental, a provoqué la colère d’Alger et le forfait de l’Afrique du Sud. Face à la polémique, le premier vice-président de la Confédération africaine de football (CAF), Constant Omari, a justifié la position de son organisation.
Le président Abdelmadjid Tebboune a accordé un entretien, retransmis à la télévision, à huit responsables de médias publics et privés. Une manière de se démarquer de son prédécesseur Abdelaziz Bouteflika – dont les relations avec les journalistes étaient exécrables -, même si les entraves à la liberté de la presse restent nombreuses en Algérie.
Peut-on filmer la guerre d’Algérie sans le moindre parti pris ? L’option retenue par Abdel Raouf Dafri pour sa première réalisation dépeint avant tout une « guerre sale », sans héros à qui s’identifier, ce qui s’avère être un choix périlleux.
La société Brasseries internationales Holdings, filiale du groupe Castel, a permis le déblocage d’un financement d’urgence de 945 millions de dinars en faveur de l’algérien NCA Rouiba, dont elle doit devenir l’actionnaire majoritaire.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan débutera prochainement une tournée en Afrique. Au programme : le Sénégal, la Gambie, l’Algérie et sans doute le Maroc.
Les ennuis judiciaires d’Ali Haddad, ancien patron des patrons algériens, font toujours peser d’importantes répercussions économiques sur le club de football de l’Union sportive de la médina d’Alger (USMA). L’arrivée d’un sponsor majeur, Serport, soulage la formation algéroise, mais tout n’est pas réglé.
Le décès inopiné d’Ahmed Gaïd Salah, chef d’état-major de l’armée et homme fort du régime depuis la chute de Bouteflika, change la donne pour le nouveau président. Qui a décidé de jouer la carte de l’apaisement.
Dans un rapport fourni, l’organisation Global Initiative against Transnational Organized Crime détaille les évolutions du crime organisé dans l’espace sahélo-saharien depuis 2011. Mercenariat, trafic d’armes, liens avec les groupes terroristes : le chercheur Raouf Farrah, l’un des auteurs de l’étude, revient sur les stratégies des groupes clandestins. Interview.
Dans un climat d’affaires crispé et suspicieux marqué par une série de méga-procès pour corruption, le monde de l’entreprise algérien attend beaucoup de la nouvelle équipe gouvernementale.
Les visites simultanées à Alger du chef du gouvernement d’union nationale libyen Fayez al-Sarraj et du ministre turc des Affaires étrangères, lundi 6 janvier, illustrent l’effort diplomatique de l’Algérie d’Abdelmadjid Tebboune dans la résolution du conflit en Libye, où Ankara vient d’annoncer le début du déploiement de ses troupes.
Dans un exécutif sans ministre de l’Économie, ce sont dix membres du gouvernement qui se partagent les principaux dossiers économiques. Quels sont les profils de cette nouvelle équipe, confrontée à une conjoncture financière alarmante ?
Signal d’apaisement ou manœuvre politique ? De nombreux militants du « Hirak » ont été remis en liberté, jeudi 2 janvier. Une mesure réclamée depuis plusieurs mois par les manifestants algériens, qui ont toutefois poursuivi leur mobilisation lors de ce 46e vendredi de contestation.
En pleine tournée avec son groupe Gnawa Diffusion, le fils de Kateb Yacine a échafaudé un projet de Constitution qui fédère aujourd’hui des milliers de ses compatriotes sur le web.