Quelle que soit la sélection nationale qu’il choisira, le jeune Franco-Algérien fait partie des étoiles montantes du foot. Malgré une mauvaise saison à l’Olympique lyonnais et les interrogations sur sa future sélection, il reste concentré sur la finale de la Coupe de France, où l’OL affrontera le PSG, le 25 mai.
Militant séparatiste exilé, condamné par contumace à la prison à perpétuité par un tribunal d’Alger, Ferhat Mehenni a annoncé que son Mouvement pour l’autodétermination de la Kabylie déclarera l’indépendance de la Kabylie, ce 20 avril, jour du 44e anniversaire du Printemps berbère, devant le siège de l’ONU.
Fermé seulement 48 heures après son ouverture, le géant américain de la restauration rapide, accusé de soutenir Israël, a rouvert ses portes à Alger sans afficher sa célèbre enseigne.
Quatre jours après avoir renvoyé en France notre journaliste Farid Alilat, Alger justifie sa décision, arguant que Jeune Afrique aurait « adopté des positions éditoriales hostiles à l’égard de l’Algérie ».
La Cour constitutionnelle a rendu un avis positif aux demandes de levée de l’immunité parlementaire d’une sénatrice et de six députés, poursuivis pour divers délits de droit commun.
Un mois après avoir avancé la date du scrutin présidentiel, le chef de l’État algérien ne s’est toujours pas prononcé sur ses intentions. Mais elles ne font guère de doute.
Ce 13 avril, notre collaborateur Farid Alilat, de nationalité algérienne, a été expulsé de son propre pays, où il se rendait pour le compte de Jeune Afrique. Aucune explication n’a été fournie par les autorités d’Alger.
Élu président de la République après une traversée du désert de vingt ans, l’ancien ministre des Affaires étrangères va devoir composer avec l’armée et avec les islamistes, analysait à l’époque l’envoyé spécial de JA à Alger, Paul-Marie de la Gorce.
D’Alger à Tunis, le débat sur la hausse générale des prix se cristallise autour de la flambée du cours de la banane. Les autorités tardent pourtant à s’attaquer aux racines du mal.
Sacrée meilleure artiste 2023 sur TikTok France, Lyna Mahyem révèle le deuxième volet de « Mon âme ». Un quatrième album entre afro-pop et R&B, variétés française et arabe, qui abolit toutes les frontières.
Le ministre du Commerce et de la Promotion des exportations a bataillé pour éviter une flambée des prix des denrées alimentaires pendant le ramadan, conformément aux directives du président Tebboune. Une mission délicate mais cruciale en cette année électorale. Portrait.
Si le pétrolier français s’est retiré de la réalisation du complexe pétrochimique géant à Arzew, il convoite toujours le pétrole et le gaz naturel liquéfié algérien.
Depuis plusieurs années, Alger souhaite sortir de la dépendance en matière de médicaments et développer une industrie pharmaceutique forte potentiellement exportatrice. La production de vaccins s’inscrit dans cette politique.
Niamey avait convoqué mercredi l’ambassadeur d’Algérie pour protester contre « le caractère violent » des opérations de refoulement de milliers de migrants ouest-africains par l’Algérie vers le Niger.
Alors que le président algérien a confirmé le principe d’une visite d’État à Paris et à Amboise à l’automne 2024, la question de la restitution des objets ayant appartenu à l’émir et détenus par la France, point de crispation entre les deux capitales, bute encore sur plusieurs obstacles.
Première candidate déclarée à l’élection présidentielle, la patronne de l’UCP s’inquiète des conditions dans lesquelles le scrutin sera organisé. Et le fait qu’il ait été avancé de trois mois n’est pas de nature à la rassurer.
Alors que l’Union du Maghreb arabe (UMA) est paralysée depuis des années par les tensions entre ses membres, le président algérien travaille avec ses homologues libyen et tunisien à une nouvelle organisation régionale.
En cours d’élaboration, l’avant-projet de loi organique sur les partis politiques semble taillé sur mesure pour permettre à l’État de placer sous contrôle l’activité des partis, et ce à quelque mois de la présidentielle. Tollé au sein de l’opposition.
Le président algérien Abdelmadjid Tebboune a laissé planer le suspense ce samedi 30 mars au soir dans une interview télévisée sur sa candidature à un deuxième mandat lors de la présidentielle anticipée du 7 septembre.
Le ministre algérien des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, a déclaré que le dossier d’expropriation, venu envenimer une fois de plus les relations entre l’Algérie et le Maroc, était clos. Comment est-on passé de la crise à l’apaisement ? Éléments de réponse.
Si l’enquête de la police allemande sur la mort de Krim Belkacem a permis d’identifier des membres du commando, aucun n’a été arrêté. Et l’identité des commanditaires demeure à ce jour inconnue.
Premier établissement publique à rejoindre la place d’Alger, le Crédit populaire d’Algérie a, par son introduction en Bourse, multiplié par sept le niveau de la capitalisation boursière, à plus de 531 milliards de DA. Un record.
Alors que François Hollande avait reconnu la responsabilité de la France dans le massacre en 2012, et qu’Emmanuel Macron avait observé une minute de silence en 2021, l’événement pourrait bientôt faire l’objet d’une journée de commémoration officielle.
En octobre 1970, l’opposant algérien se rend à Francfort, en Allemagne, convaincu d’y retrouver des hauts gradés de l’armée décidés à renverser le président Boumédiène. Et tombe dans le piège qui entraînera sa mort.
En annonçant, le 21 mars, que l’élection présidentielle prévue en décembre était avancée à septembre, le pouvoir a pris tout le monde de court. Passée la sidération, la classe politique manifeste son étonnement et son mécontentement.
Après l’indépendance de l’Algérie, Krim Belkacem devient un opposant du président Ahmed Ben Bella, puis de son successeur, Houari Boumédiène. En avril 1969, il est condamné à mort par contumace par la cour révolutionnaire d’Oran pour « complot contre la sûreté de l’État ».
Grâce à des documents exclusifs obtenus auprès des archives allemandes, Jeune Afrique lève un coin du voile sur l’assassinat, en octobre 1970, à Francfort, de Krim Belkacem, l’un des neufs chefs historiques du FLN.
Ancien président du parti d’opposition RCD, Mohcine Belabbas a été condamné à 6 mois de prison dans le cadre d’une affaire liée au décès d’un ouvrier clandestin marocain.
Alors que le scrutin présidentiel était prévu en décembre 2024, le chef de l’État décide, contre toute attente, de l’organiser trois mois plus tôt. Si Tebboune se déclare candidat, l’affaire semble pliée d’avance. Mais il ne s’est toujours pas exprimé sur le sujet.
L’exécutif algérien vient d’annoncer que le scrutin présidentiel se tiendrait en septembre, et non en décembre comme prévu. Une surprise que les observateurs tentent de décrypter.