Le président algérien « annonce sa candidature à la présidentielle d’avril 2019 », a fait savoir l’Agence de presse officielle ce dimanche. Abdelaziz Bouteflika doit adresser un « message à la nation » dans la journée.
Le Front de Libération national (FLN) a choisi, samedi, le président Abdelaziz Bouteflika comme candidat pour la présidentielle d’avril. Le chef de l’État, souffrant et âgé, a attendu ce dimanche pour annoncer sa candidature à un cinquième mandat. Reportage au meeting de la Coupole-du-5-juillet, à la veille de cette annonce officielle.
Le Front de libération nationale « présente comme candidat à la prochaine élection présidentielle Abdelaziz Bouteflika », a annoncé Moad Bouchareb lors d’un meeting à Alger. Âgé de 81 ans, le chef de l’Etat algérien n’a pour le moment pas officialisé sa candidature à un cinquième mandat.
Le président du Front de la justice et du développement (FJD), Abdallah Djaballah, a entamé lundi 4 février une série de consultations en vue de présenter une candidature commune au prochain scrutin présidentiel. Objectif : rallier à l’idée Ali Benflis, le général Ali Ghediri et l’islamiste Abderrazak Makri. Un défi qui ne s’annonce pas du tout gagné.
Il y a 61 ans, jour pour jour, la France bombardait Sakiet Sidi Youssef, dans une Tunisie indépendante depuis deux ans. La raison invoquée par la France ? Le village était une base arrière de l’Armée de libération nationale algérienne (ALN). Retour sur la montée des tensions diplomatiques entre la France et la Tunisie.
Au sud comme au nord du Sahara, la proposition constructive n’est plus dans l’air du temps, supplantée par la critique tous azimuts. En Algérie, cette dernière est même devenue un sport national qui se pratique au café du commerce.
Le président algérien Abdelaziz Bouteflika, 81 ans, que son camp appelle à se présenter à l’élection présidentielle du 18 avril, n’est pas en mesure d’effectuer un 5e mandat « en raison de sa maladie », a estimé mercredi le principal parti islamiste du pays.
Josette Audin, veuve de Maurice Audin, jeune militant communiste torturé et tué par l’armée française en 1957 en Algérie, est décédée samedi à l’âge de 87 ans. Les présidents algérien et français ont tous les deux salué sa mémoire.
La liste des candidats probables à la présidentielle d’avril souligne de manière criante le non-renouvellement de la classe politique. Enquête sur une absence de relève qui a exacerbé le divorce entre l’élite dirigeante et la population.
Les quatre partis de la coalition au pouvoir en Algérie ont apporté leur soutien officiel samedi à une candidature du président Abdelaziz Bouteflika à un cinquième mandat à l’occasion du scrutin d’avril, une démarche qui pourrait précéder une candidature personnelle du chef de l’État.
Abandonnée mi-janvier quand le corps électoral a été convoqué pour le 18 avril prochain, l’idée d’un report de l’élection présidentielle avait pourtant été acceptée un mois plus tôt lors d’une réunion à laquelle assistaient notamment le Premier ministre et Saïd Bouteflika, le frère de l’actuel président.
Le gouvernement algérien a fait marche arrière fin janvier en soumettant les marchandises suspendues à l’importation en 2018 à une surtaxe, pour « encourager la production locale », mais aussi pour respecter des engagements internationaux, notamment avec l’UE.
Contrairement à sa précédente candidature, qu’il avait déclaré à la veille de l’expiration du délai réglementaire, plusieurs sources ont certifié à Jeune Afrique que l’annonce officielle d’un cinquième mandat de l’actuel chef de l’État algérien, Abdelaziz Bouteflika, est imminente. Sauf imprévu lié à son état de santé.
L’instance dirigeante du Front de libération nationale (FLN) a décidé de fixer la date de la tenue du prochain congrès extraordinaire du parti après l’élection présidentielle, prévue le 18 avril prochain.
Le principal parti islamiste algérien, le Mouvement de la société pour la paix (MSP), a décidé de participer à l’élection présidentielle du 18 avril, a déclaré le 26 janvier son responsable de la communication.
Sans attendre le 4 mars, date limite du dépôt des candidatures, pour être fixé sur la décision de l’actuel président de la République de briguer ou non un cinquième mandat, le front du boycott du scrutin présidentiel du 18 avril s’élargit considérablement.
Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, était en visite jeudi 24 janvier à Alger, dans le cadre d’un déplacement plus large au Maghreb. Les questions du développement des relations bilatérales et de la coopération économique et commerciale entre les deux pays ont été au cœur des discussions.
La Cour suprême algérienne a cassé la condamnation à sept ans de prison prononcée contre cet Algérien, qui avait diffusé sur son blog un entretien avec un responsable israélien. Pas forcément une bonne nouvelle, selon son avocat.
Outre les déclarations d’intention de sérieux prétendants, comme l’ex-chef de gouvernement Ali Benflis ou le général Ali Ghediri, l’opération de retrait des formulaires de candidature à l’élection présidentielle du 18 avril tourne depuis quelques jours au grand cirque, avec des déclarations toutes plus farfelues les unes que les autres.
Khaled Nezzar publie le tome II de ses Mémoires, où il revient avec force détails sur les épisodes marquants de la vie politique de 1978 à 1998. JA en a sélectionné quelques-uns en les contextualisant.
Le développement du rugby en Algérie passe aussi par la pratique féminine. Avec dix clubs de rugby à sept créés spécifiquement en moins de trois ans, la Fédération mise sur les femmes pour faire gagner du terrain à ce sport, et une sélection nationale est en cours de formation pour représenter le pays durant les grands tournois. Reportage.
Déjà en lice en 2004 et en 2014, Ali Benflis n’exclut pas de se présenter à l’élection présidentielle du 18 avril. L’ancien chef de gouvernement a fait savoir dimanche 20 janvier qu’il constituerait bel et bien « un dossier de candidature à la présidence de la République ».
Le général à la retraite Ali Ghediri a indiqué samedi qu’il comptait se présenter à l’élection présidentielle en Algérie prévue le 18 avril, devenant le premier prétendant à se déclarer depuis l’annonce officielle de la date du scrutin.
Deux mois après sa libération, Saïd Chitour, fixeur pour des médias étrangers, tente de se reconstruire après 16 mois de détention. Accusé d’« intelligence avec une puissance étrangère », l’homme continue de clamer son innocence. Il livre à Jeune Afrique sa première interview depuis sa sortie de prison.
Le président a convoqué le vendredi 18 janvier le corps électoral pour la tenue du scrutin présidentiel qui aura lieu le jeudi 18 avril prochain, a indiqué un communiqué de la présidence algérienne.
Le géant public algérien Sonatrach et le groupe français pétrolier Total ont entériné ce jeudi 17 janvier à Oran la création d’une société commune, Step, qui construira et exploitera le premier complexe de production de polypropylène en Algérie.
Alors que les spéculations autour d’un report de l’élection présidentielle algérienne se multiplient, la Constitution indique que le mandat du président sortant ne s’achève pas cinq ans jour pour jour après son élection, mais après sa prestation de serment. La présidentielle algérienne devrait donc se dérouler avant le 28 avril.
La première séance plénière du Conseil de la nation renouvelé de moitié aurait dû avoir lieu le 8 janvier, soit le dixième jour suivant la date du vote des grands électeurs, comme le prévoit le règlement intérieur de l’institution. Cela n’a pas été le cas, en raison de divers retards accumulés dans la désignation des nouveaux sénateurs.
Alors que le gouvernement tente de limiter la fonte des réserves de change, de nouvelles dispositions applicables depuis le début de l’année limitent les recours à des opérateurs étrangers. Ces mesures, censées permettre de lutter contre l’évasion fiscale et la fuite de devises, inquiètent les gérants de PME.