Limogeages, disgrâces, incarcérations… Depuis six mois, les hauts cadres sécuritaires sont dans la tourmente. Opération « mains propres » ou lutte de clans autour de la succession ?
Les activités de certains fils de hauts gradés de l’armée font l’objet d’enquêtes de la part de la gendarmerie et de l’armée. Le nom de certains d’entre eux apparaît par exemple sur les écrans radars des enquêteurs qui s’intéressent au business de Kamel Chikhi.
Trois ans après son lancement, le « Nouveau Modèle de développement des provinces du Sud » prend forme. Un programme sur lequel Rabat entend s’appuyer pour faire prévaloir son approche de la question sahraouie.
Le procès des deux journalistes poursuivis pour diffamation et atteinte à la vie privée suite à des plaintes du patron de la chaîne Ennahar TV et du préfet d’Alger, s’est tenu sous haute sécurité le 8 novembre au tribunal d’Alger. Ils ont été remis en liberté en attendant un complément d’enquête.
Si l’Algérie n’a pas officiellement réagi à la main tendue mardi soir par Mohammed VI, le discours du roi du Maroc interroge, fait douter ou au contraire enthousiasme les observateurs, dont certains se prennent à rêver d’un Maghreb à nouveau unifié.
Le procès des quatre journalistes algériens inculpés pour « diffamation », « insultes » et « atteinte à la vie privée » s’ouvre jeudi 8 novembre à Alger. En détention depuis le 22 octobre, ils encourent jusqu’à cinq ans d’emprisonnement. Le point sur une affaire qui inquiète au-delà des frontières algériennes.
Issad Rebrab, le PDG du conglomérat algérien Cevital, a annoncé le 7 novembre l’installation prochaine de trois unités industrielles dans la ville de Charleville-Mézières, dans le nord-est de la France.
Dans son discours commémorant le 43e anniversaire de la Marche verte, le roi Mohammed VI a proposé « la création d’un mécanisme politique conjoint de dialogue et de concertation » avec l’Algérie. Un geste fort, qui survient à quelques semaines de la reprise de pourparlers inclusifs sur le Sahara occidental.
Petites escarmouches sans conséquences entre membres du même gouvernement ou guerre à coups tirés ? Lundi 5 novembre, en déplacement à Oran où il a fait les éloges du bilan du président Bouteflika, le ministre de la Justice a critiqué avec virulence son Premier ministre.
L’Algérie, le Maroc puis la Tunisie se sont relayés à Nouakchott ces derniers jours, avec pour objectif de renforcer leurs liens avec leur voisin méridional. Échanges commerciaux, diplomatie, relations bilatérales… retour sur les motivations de chacun.
Le statut des Subsahariens – travailleurs, étudiants ou réfugiés – obéit à une politique migratoire lacunaire en Algérie. Une porte ouverte à certaines dérives.
Les cinq généraux-major qui avaient été placés sous mandats de dépôt le 14 octobre dernier notamment pour « corruption », « biens mal acquis » ont été remis en liberté lundi 5 novembre.
Le président du Conseil italien, Giuseppe Conte, s’est entretenu avec le Premier ministre algérien Ahmed Ouyahia, lundi à Alger, où il effectue une visite d’une journée.
À l’occasion de la foire d’art contemporain Also Known as Africa, l’artiste d’origine algérienne Dalila Dalléas Bouzar prépare plusieurs grands formats et une performance.
Abdou Semmar et Merouane Boudiab, deux journalistes algériens accusés de diffamation et d’atteinte à la vie privée seront jugés le 8 novembre à Alger. Selon Me Abdelghani Badi, leur avocat, ils risquent jusqu’à cinq ans de prison.
Près de 25 ans après son expulsion vers le Burkina Faso, l’Algérien Ahmed Simozrag, l’un des 20 exilés de Folembray, a obtenu un visa pour la France, où il compte se rendre le 1er novembre.
Le secrétaire général du Front de libération nationale (FLN), Djamel Ould Abbès, a annoncé le 28 octobre que le président algérien Abdelaziz Bouteflika sera bien le candidat du FLN à la présidentielle prévue en avril 2019.
Le Front des forces socialistes (FFS, opposition) a annoncé samedi avoir décidé de suspendre ses activités au sein du Parlement algérien, dénonçant « la mainmise du pouvoir sur le législatif », après l’élection controversée d’un nouveau président de l’Assemblée.
Partis dimanche 14 octobre du lycée de Beni Zmenzer, une petite commune au sud de Tizi-Ouzou, les appels au boycott des cours d’arabe se multiplient chez les lycéens de Kabylie. Un mouvement de ras-le-bol déclenché par plusieurs déclarations publiques hostiles à la langue amazigh.
Quand aura lieu le Next Economy Summit d’Alger ? Annoncé pour les 3 et 4 décembre, ce sommet international sur le thème de l’économie de l’après-pétrole devrait être reporté en raison de retards dans ses préparatifs.
Régulièrement victime d’actes de vandalisme, la statue d’Ain El Fouara, représentant une femme aux seins nus, peut compter sur la surveillance de certains habitants de Sétif, bien décidés à ne pas voir ce « patrimoine collectif », sacré pour certains, réduit en poussière.
Adlène Meddi, journaliste algérien, signe un roman crépusculaire sur la dérive d’une génération, mêlant la violence d’un genre littéraire et celle de la guerre civile.
En l’absence de l’ensemble des représentants de l’opposition, les députés de l’Assemblée populaire nationale (APN) ont élu, mercredi 24 octobre en fin de matinée, le remplaçant du président Saïd Bouhadja, destitué après plusieurs semaines d’imbroglio politique.
Deux semaines après avoir démissionné de son poste de sélectionneur de la Libye, l’Algérien Adel Amrouche (50 ans) a été nommé, lundi 22 octobre, entraîneur du prestigieux Mouloudia club d’Alger (MCA), où il succède à Bernard Casoni.
Une édition enrichie de l’ouvrage référence de Sid Ahmed Semiane sur les événements d’octobre 1988 paraît à la fin du mois. En voici, en exclusivité, les bonnes feuilles.
Dans l’édition enrichie de l’ouvrage de Sid Ahmed Semiane, le général-major Larbi Belkheir, chef de cabinet de la présidence, revient sur le contexte politique dans lequel se trouvait le pays, lors des émeutes d’octobre 1988.
Chef du commandement terrestre, le général-major Khaled Nezzar était chargé de maintenir l’ordre pendant l’état de siège, lors des révoltes d’octobre 1988. Extrait de son témoignage qui apparaît dans l’édition enrichie de l’ouvrage de Sid Ahmed Semiane.
Dans l’édition enrichie de l’ouvrage de Sid Ahmed Semiane, le général-major Lakehal Ayat, patron du renseignement (DGPS), affirme que le FLN n’était pas en mesure de s’opposer au chef de l’État, lors des révoltes d’octobre 1988 en Algérie.