Au contraire du Maroc et de la Tunisie, l’Algérie reste isolée sur le continent africain. Pour l’analyste économique Alexandre Kateb, il manque une vision stratégique, associant les pouvoirs publics et les entreprises, et une feuille de route pour réaliser cette vision.
Considérées comme « hérétiques », 26 personnes appartenant au courant musulman ahmadi risquent six mois de prison ferme. Leur défense dénonce un « procès politique ». Le verdict sera prononcé le 12 juin.
Les tarifs des documents biométriques sont au cœur d’une polémique en Algérie. Certains prix dépassent le salaire minimum. Mais le gouvernement affirme qu’ils restent moins chers que chez les pays voisins. Jeune Afrique a voulu vérifier : c’est faux.
Le 16 juin 1982 à Gijon, en Espagne, la RFA, championne d’Europe en titre, est persuadée de battre largement l’Algérie, dont c’est la première participation à une phase finale de Coupe du monde. Mais les Verts du capitaine Ali Fergani s’imposent 2-1 et réalisent un des plus grands exploits de l’histoire du tournoi.
En attendant l’examen de la loi de finances complémentaire 2018 devant le Conseil des ministres, le Premier ministre a d’ores et déjà défendu ses mesures. L’économiste Alexandre Kateb, directeur du cabinet Compétence Finance, y voit un retour à la normale, en accord avec la politique de croissance du pays.
Candidat à la présidentielle algérienne de 2019, Fethi Ghares rêve de dynamiser l’opposition et d’introduire de nouvelles thématiques dans le débat public. Rencontre avec un ovni de la scène politique nationale.
Un blogueur algérien, condamné jeudi en Algérie à 10 ans de prison ferme pour intelligence avec une puissance étrangère après avoir publié un entretien avec un diplomate israélien, a fait appel du verdict, a annoncé dimanche à l’AFP l’un de ses avocats.
Des figures politiques et intellectuelles algériennes ont adressé samedi une lettre à Abdelaziz Bouteflika l’appelant à « renoncer au 5e mandat » et à ne pas se représenter à l’élection présidentielle prévue en 2019.
Le blogueur algérien Merzoug Touati, poursuivi pour « intelligence avec une puissance étrangère », suite à la diffusion sur Internet d’un entretien avec un diplomate israélien, a été condamné jeudi à dix ans de prison ferme.
Suite à une décision unilatérale du gouvernement algérien, notre magazine « Jeune Afrique » est absent des kiosques algériens depuis le 23 avril dernier. JA interdit ? Indésirable ? Censuré ? Nous vous dévoilons les dessous d’une situation totalement indépendante de notre volonté.
Merzoug Touati a été arrêté en janvier 2017 pour « intelligence » avec l’État d’Israël et « incitation à la rébellion ». Amnesty International déplore une atteinte à la liberté d’expression et demande sa libération.
Le texte, présenté le 21 mai en plénière, est critiqué par les partis de l’opposition algérienne. Ces derniers dénoncent une tentative de vouloir « verrouiller la parole du Parlement » contre un éventuel cinquième mandat de Abdelaziz Bouteflika.
En refusant le libéralisme au profit d’un budget en expansion, l’Algérie se rapproche de la stratégie adoptée par le Premier ministre malaisien Mahathir Mohamad, qui s’était opposé aux préconisations du FMI. Mais l’Algérie de Bouteflika n’a rien à voir avec la Malaisie de Mahathir…
Promise en décembre dernier par Emmanuel Macron à l’occasion de sa visite à Alger, la restitution des crânes algériens conservés au Muséum national d’histoire naturelle de Paris devra attendre encore pour être effective.
À la tête de l’un des plus importants groupes algériens de BTP, l’homme d’affaires proche du cercle présidentiel a étendu son influence à la sphère politique. Et suscite bien des fantasmes.
La nouvelle loi sur la protection du consommateur et la répression des fraudes, adoptée le 13 mai par le Conseil de la Nation, introduit le droit de rétractation réclamé de longue date par la Fédération algérienne des consommateurs. Un enthousiasme qui n’est pas entièrement partagé par toutes les associations algériennes de protection du consommateur.
Incontournable dans le gouvernement d’Ahmed Ouyahia et chouchou des médias algériens, le ministre de l’Intérieur a été nommé lundi 11 mars Premier ministre.
Le Conseil constitutionnel accordait début février aux civils algériens ayant subi des dommages physiques lors de la guerre d’Algérie le droit de pouvoir prétendre à des pensions versées par la France. Selon nos sources, cette hypothèse affole les autorités françaises, qui se questionnent sur l’enveloppe budgétaire à débloquer.
Abdelaziz Bouteflika s’est rendu mardi 15 mai dans une école de Zaouïas à Texeraïne et à la Grande mosquée d’Alger. C’est la quatrième apparition publique du chef de l’État en un peu plus d’un mois, après plusieurs années d’invisibilité. Des visites qui signent l’entrée en pré-campagne électorale, selon le politologue algérien Nacer Djabi.
La presse algérienne se déchaîne suite aux déclarations dans Jeune Afrique du ministre marocain des Affaires étrangères, impliquant Alger et Téhéran dans le soutien au Polisario. Des « propos irresponsables » selon Alger.
Abderrazak Makri, l’actuel patron du MSP, et Bouguerra Soltani, son prédécesseur, se livrent un duel pour la tête du parti. Un affrontement de taille sur l’échiquier politique algérien dans la perspective de la présidentielle de 2019.
Le gouvernement algérien prévoit le rallongement des budgets de plusieurs départements ministériels, ainsi que des augmentations tarifaires à l’importation de biens. L’information, révélée par TSA Algérie, risque de ne pas plaire aux institutions internationales adeptes de l’orthodoxie budgétaire.