Pour sa première visite officielle en Algérie, Emmanuel Macron n’a pas dérogé à la tradition du « bain de foule » algérois. Mais contrairement à ses prédécesseurs, c’est sans Abdelaziz Bouteflika qu’il s’est plié à l’exercice.
Le président français est à Alger pour une visite d’une journée pour échanger avec les dirigeants algériens sur le renforcement de la coopération économique et sécuritaire.
Dix mois après avoir qualifié la colonisation de « crime contre l’humanité », le président français effectuera mercredi 6 décembre son premier déplacement présidentiel à Alger. Mais la question mémorielle n’a pas été placée au cœur de cette visite.
Ils sont nés dans les années 1990 et n’ont connu qu’un seul président. JA vous livre le témoignage de sept d’entre eux. Leur perception de la vie politique, leurs motifs de satisfaction, leurs déceptions et leurs rêves… Ils se confient sans fard.
Ziad Rabia, âgé de 27 ans, est chef d’entreprise. Comme les six autres jeunes dont Jeune Afrique vous livre le témoignage, il n’a connu qu’un seul président.
Slimane Bourdous, âgé de 25 ans, est étudiant. Comme les six autres jeunes dont Jeune Afrique vous livre le témoignage, il n’a connu qu’un seul président.
Massinissa Tiblali, âgé de 27 ans, est peintre et écrivain. Comme les six autres jeunes dont Jeune Afrique vous livre le témoignage, il n’a connu qu’un seul président.
Lynda Abbou, âgée de 27 ans, est journaliste. Comme les six autres jeunes dont Jeune Afrique vous livre le témoignage, elle n’a connu qu’un seul président.
Islem Houati, âgé de 25 ans, est architecte et photographe. Comme les six autres jeunes dont Jeune Afrique vous livre le témoignage, il n’a connu qu’un seul président.
Dalal Sahraoui, âgée de 20 ans, est étudiante. Comme les six autres jeunes dont Jeune Afrique vous livre le témoignage, elle n’a connu qu’un seul président.
Abdelghani Hidouche, âgé de 28 ans, est graphiste. Comme les six autres jeunes dont Jeune Afrique vous livre le témoignage, il n’a connu qu’un seul président.
Vraie volonté ou mauvaise communication ? Le 29 novembre dernier, un message publié sur les réseaux sociaux par la Fédération algérienne de Football (FAF) à l’issue d’un bureau fédéral a fait beaucoup de bruit. Il y est question des binationaux, d’engagement pour le pays et de supériorité technique. Depuis, les instances tentent de minimiser sa portée.
Lancée en juillet dernier par trois étudiants algériens en génie civil, Youchoz.com est une plateforme de mise en relation entre les particuliers et les professionnels spécialistes du bâtiment. Une première en Algérie.
Au Maroc, en Algérie ou en Tunisie, cela fait des années que les populations, toutes régions confondues, vivent un véritable enfer pour leur approvisionnement en eau : coupures soudaines durant plusieurs jours consécutifs, eau courante imbuvable, déficit cruel d’irrigation agricole… Et le Maghreb, qui vit au-dessus de ses moyens hydriques, risque de voir la crise s’aggraver dans les prochaines années si rien n’est fait. État des lieux.
Un projet de loi examiné actuellement par la commission de la Santé de l’Assemblée populaire nationale (APN) prévoit un assouplissement – restreint – de la législation algérienne sur l’interruption volontaire de grossesse. L’occasion de dresser l’état des lieux des législations sur cette question dans les pays du Maghreb.
Faut-il recourir aux hydrocarbures non conventionnels pour faire face à la crise financière née de l’effondrement des cours de l’or noir ? La question divise autant les hommes politiques que les experts.
À 28 ans, le styliste franco-algérien se dessine une carrière haute-couture. Après avoir participé à la version arabe de l’émission Fashion Star et à la deuxième Fashion Week d’Alger, il habille désormais de grands noms du monde arabe. Rencontre.
Le projet de loi de finances 2018, voté dimanche 26 novembre au Parlement, prévoit une augmentation des dépenses de l’État algérien. Une première depuis trois ans.
Rappelé par Rabat en protestation aux propos provocants prononcés par le chef de la diplomatie algérienne, l’ambassadeur Lahcen Abdelkhalek est rentré à Alger jeudi. Le Maroc veut maintenir un minimum de dialogue avec son voisin.
Deux semaines après que le Premier ministre a annoncé un non-lieu de la justice algérienne le concernant, l’ex-ministre de l’Énergie Chakib Khelil multiplie les interventions publiques.
Taux de participation faible et victoire sans surprise du FLN, le parti au pouvoir. Les élections locales du 23 mai auront été conformes à la tradition en Algérie. Près de 22 millions d’électeurs étaient appelés aux urnes pour élire leurs maires, conseillers municipaux et conseillers départementaux. Plus de 53 % se sont abstenus.
Revendeurs de drogue, groupes armés et passeurs de migrants se livrent à un intense trafic de passeports maliens, qu’ils utilisent pour entrer en Algérie.
Les Algériens étaient appelés aux urnes ce jeudi pour élire leurs représentants locaux. Comme pressenti à l’issue d’une campagne morose, la mobilisation a été faible.
Le 9 novembre, le Sénat français a entériné une nouvelle convention judiciaire entre Paris et Alger. Aux termes de son article 21, la partie algérienne devra être informée de toute plainte visant l’un de ses ressortissants qui serait poursuivi sur le territoire français pour des faits commis en Algérie.
En quelques jours, plusieurs milliers d’harragas – jeunes Algériens candidats à l’émigration – ont tenté de rejoindre l’Europe par bateau, via une route particulièrement risquée. A leur arrivée en Espagne, certains ont été mis en prison, faute de places suffisantes dans les centres de rétention bondés.
Les Algériens reprennent le chemin des urnes ce jeudi pour élire leurs responsables locaux. Enjeu principal de ce scrutin marqué par une campagne morose : (re)mobiliser les électeurs. Reportage.
À quelques jours des élections locales prévue ce jeudi 23 novembre, le youtubeur subversif algérois vient de publier une nouvelle vidéo dans laquelle il fustige une élite qui s’est accaparée les richesses du pays, laissant la population livrée à elle-même.
Hadda Hazem, directrice du quotidien algérien El Fadjr a suivi une grève de la faim d’une semaine contre un boycott publicitaire qu’elle estime être politique. Certains de ses confrères demandent la levée du monopole sur la distribution de publicité publique.