Les mauvais résultats de l’équipe d’Algérie sont dus à « un problème psychologique » estime Rabah Madjer. Nommé le 18 octobre, le nouveau sélectionneur des Fennecs veut « redonner confiance aux joueurs » après leur élimination du Mondial 2018.
L’ancien international algérien Rabah Madjer, qui a donné son nom à une célèbre talonnade, a été nommé sélectionneur de l’équipe d’Algérie. Il remplace l’Espagnol Lucas Alcaraz, limogé à la mi-octobre.
En petit comité, Abdelmoumen Ould Kaddour, le PDG de Sonatrach, s’est récemment laissé aller à des confidences plutôt inquiétantes sur la situation du groupe qu’il dirige depuis mars.
L’ex-international algérien Rabah Madjer succède à Lucas Alcaraz, le sélectionneur limogé mercredi 11 octobre. Considéré comme l’un des meilleurs joueurs algériens de tous les temps, Rabah Madjer fera ses débuts lors du match Algérie-Nigeria, le 10 novembre prochain à Constantine, lors de la dernière journée des qualifications pour la Coupe du monde 2018.
La Fédération algérienne de football (FAF) a limogé le 11 octobre le sélectionneur espagnol de l’équipe nationale, Lucas Alcaraz, nommé il y a six mois à peine.
La rencontre a finalement eu lieu hier, mardi 10 octobre. Le président français Emmanuel Macron et la chancelière allemande Angela Merkel sont, eux, toujours sur la liste d’attente.
L’Algérien, Slim Othmani, président du conseil d’administration de NCA Rouiba analyse la crise économique du pays ainsi que le traitement du nouveau premier ministre Ahmed Ouyahia pour l’enrayer.
Le pays de Poutine veut renforcer son influence régionale dans le Maghreb. Au menu : la signature de nouveaux partenariats économiques et la lutte contre le terrorisme.
Suite à la publication du livre de Rachid Boudjedra, « Les Contrebandiers de l’Histoire », paru aux éditions Frantz Fanon (Alger, octobre 2017), où Kamel Daoud est désigné comme ayant été « membre du GIA », celui-ci publie une mise au point.
Kamel Daoud, l’écrivain et journaliste auteur notamment de Meursault, contre-enquête, a déposé la semaine dernière une plainte pour diffamation auprès du tribunal d’Oran (sa ville d’origine, dans l’Ouest algérien), contre l’écrivain Rachid Boudjedra et son éditeur.
Pour « sauver l’État de la faillite », le Premier ministre algérien, Ahmed Ouyahia a opté pour la planche à billets. À cet effet, les députés ont adopté dimanche 8 octobre un texte autorisant le Trésor à emprunter directement à la Banque centrale. Au-delà de cette arme à double tranchant, quelles sont les mesures urgentes à prendre pour sortir du marasme ? L’avis des experts et des opérateurs privés.
Le Parlement algérien a adopté dimanche un texte autorisant le Trésor à emprunter directement à la Banque centrale, laissant craindre un recours à la « planche à billets » et un risque d’inflation dans un pays qui souffre de la chute des revenus pétroliers.
Deux anciens ministres et un général à la retraite estiment que les Algériens doivent faire front commun pour éviter le naufrage du pays. « Ça suffit ! », écrivent-ils dans un communiqué diffusé dans la presse algérienne.
Dans son essai « L’Algérie, sortir de la crise », paru en 2015, l’ex-ministre des Finances Abdellatif Benachenhou expliquait que la production d’hydrocarbures serait largement absorbée par la demande locale à l’horizon 2030.
Lutter plus efficacement contre le piratage, mieux rémunérer les artistes… De nombreuses organisations africaines se sont enfin réunies pour plancher sur l’épineux problème.
L’homme d’affaires et militant anti-corruption algérien Rachid Nakkaz a été agressé ce matin devant une résidence de l’ex-chef du Front de libération nationale Amar Saâdani, située dans la ville de Neuilly-sur-Seine, à l’ouest de Paris.
Héritage, mariage avec des non-musulmans, gare des enfants, violences… Malgré des avancées, les inégalités hommes-femmes persistent en Afrique du Nord.
Une petite maison d’édition française publie des textes de l’homme de théâtre et militant algérien Mohamed Boudia. Une lecture inspirante qui appelle à lier pratiques culturelles et politiques.
C’est en lisant un article de presse parlant d’un énième attentat islamiste que cette vieille question m’a rattrapé : « À qui le tour ? » Elle m’a verglacé le dos.
Alors que la Tunisie, le Nigeria et l’Égypte pourraient se qualifier avant la fin des éliminatoires, de nombreuses sélections vont jouer très gros à l’occasion de cette cinquième journée. Certaines confrontations directes seront lourdes de conséquences, notamment pour la Côte d’Ivoire, le Maroc, le Gabon, le Sénégal ou le Burkina Faso.
Le Premier ministre algérien Ahmed Ouyahia a demandé au groupe pétrolier public Sonatrach de reprendre l’exploration du gaz de schiste, suspendue après des manifestations d’habitants et de défenseurs de l’environnement, ont rapporté les médias algériens.
Pour marquer le 12ème anniversaire du référendum de septembre 2005 portant approbation de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale, la télévision algérienne a diffusé, jeudi 29 septembre, un « reportage » avec des images atroces, horribles et insoutenables de victimes du terrorisme barbare qui a endeuillé l’Algérie au cours des années 1990.
Depuis la deuxième moitié des années 1970, les orientations et les finalités imposées à l’école algérienne ont amené cette dernière à être prise en étau entre deux idéologies rétrogrades.
Le recours au financement non conventionnel est la seule issue possible pour sauver l’État de la faillite, a tonné le Premier ministre algérien, lundi matin, devant les sénateurs.
L’opérateur algérien veut passer de 133 points de vente actuellement à 300 dans les prochains mois, afin d’accompagner le développement de son réseau 4G. Objectif : reprendre la place de leader du marché qu’il a perdue en 2016.
Dans les pays du Maghreb, de plus en plus, des islamistes tentent d’imposer leurs signes et leurs normes dans l’espace scolaire. Pour se défendre, les écoles doivent se doter d’un règlement clair, estime Habib Kazdaghli, le doyen de l’université de la Manouba, en Tunisie.