Plusieurs avions n’ont pas pu décoller ce lundi matin de l’aéroport d’Alger, en raison d’un mouvement du personnel. Ils demandent la révision de leur grille des salaires.
À défaut de dialoguer directement, le Maroc et l’Algérie s’envoient des piques verbales par ministres interposés. Un nouvel échange de piques peu amènes a eu lieu dimanche.
Le Premier ministre algérien Ahmed Ouyahia a pointé du doigt samedi le Maroc pour les flux de haschisch qui arrivent en Algérie où des quintaux de résine de cannabis sont saisis chaque semaine.
Le 17 janvier, à Casablanca, le sélectionneur guinéen Lappé Bangoura a été démis de ses fonctions après la défaite de son équipe face au Maroc lors de la 2e journée du Championnat d’Afrique des nations (CHAN). Un cas plutôt rare mais pas exceptionnel. En Afrique, certains entraîneurs ont déjà fait leurs valises dans des conditions rocambolesques…
Alors que l’enquête sur le meurtre du militant franco-égyptien, tué à Paris le 4 mai 1978, a été rouverte en France. Ses proches continuent de considérer que c’est au soutien du FLN algérien que le commando d’assassins s’en est pris.
Le projet de privatisation du secteur économique public a valu à son initiateur une sévère mise en garde présidentielle. Il ne contient cependant pas de mesures spectaculaires.
En 2017, les ventes de véhicules Renault en Algérie et au Maroc ont progressé bien plus vite que le marché de l’automobile dans ces pays, augmentant considérablement la part de marché du constructeur français.
Le chef de l’État a fait savoir à son Premier ministre Ahmed Ouyahia, que tout projet de privatisation devrait désormais d’abord recevoir son aval. Cafouillage au sommet.
Au Qatar, en Amérique ou en Asie, les anciens cadres de la première entreprise algérienne peuvent espérer multiplier leur salaire par cinq. Ils sont nombreux à ne pas avoir hésité.
«J’ai un CV lourd », aime à plaisanter Ould Kaddour. Alors qu’il présente un parcours sans tache, sa vie bascule dans l’étrange, l’absurde et le glauque un certain lundi 26 novembre 2007, au tribunal militaire de Blida.
À la tête de la première entreprise du continent, Ould Kaddour fait face à un défi sans équivalent : redonner du souffle au groupe, moteur de l’économie nationale.
Dans sa fresque « L’Art de perdre », prix Goncourt des lycéens, Alice Zeniter raconte l’histoire d’une famille hantée par son passé. Et livre la version des vaincus algériens de la guerre d’indépendance.
Bombes artisanales, lance-roquettes, Kalachnikov ou encore plaques photovoltaïques… Les biens saisis par l’armée algérienne cette année prouvent que les maquis algériens sont encore bien équipés.
Ils demandent une réforme du service civil, avec une dispense du service militaire, à l’instar des autres Algériens. Le gouvernement s’engage à améliorer leurs conditions de travail.
L’économie algérienne est en plein crise. Les réserves du pays fondent et la stratégie du gouvernement algérien est risquée. Il doit absolument diversifier son économie afin de retrouver l’équilibre.
Une application pour faciliter les paiements en ligne, une banque virtuelle, une cryptomonnaie… Tout était prêt ou presque pour lancer KodePay en Algérie. Mais l’État se raidissant devant les monnaies virtuelles, c’est à Nairobi que la start-up démarrera finalement ses activités.
Un nouveau rassemblement a été réprimé à Alger ce mercredi. En Algérie, manifester dans la capitale est proscrit depuis 2001. Les opposants n’attendent plus d’autorisations avant de descendre dans les rues et sont souvent dispersés par les forces de l’ordre.
D’ici la fin de janvier, une nouvelle très attendue pourrait être annoncée. Le décret de béatification de 19 « martyrs » catholiques tués en Algérie dans les années 1990 lors de la décennie noire – dont les moines de Tibhirine et l’ancien l’évêque d’Oran Pierre Claverie – pourrait être signé.
Alors que son dernier concert en Algérie date de 1979, le chanteur kabyle Idir, résident en France, fait son grand retour dans le pays pour une tournée nationale à partir de jeudi.
Les forces de l’ordre ont violemment dispersé un rassemblement de médecins ce mercredi. Résultat : une vingtaine de blessés, dont un grave, ainsi que plusieurs arrestations, selon leur syndicat.
Ce n’est pas la première fois qu’un pays africain confie la présidence à un footballeur professionnel. Le premier président de l’Algérie, Ahmed Ben Bella, a évolué à l’Olympique de Marseille, tout comme George Weah, le nouveau président libérien.
Pour freiner la baisse des réserves de change, le gouvernement algérien a serré les boulons du secteur automobile, restreignant à dix le nombre d’opérateurs autorisés à exercer l’activité de montage. Mais la viabilité de son modèle pose problème, selon le directeur du cabinet Compétences Finances.
Alger répond à une exigence historique du mouvement amazigh. Pourtant, sur le terrain, l’annonce soulève plus de méfiance qu’autre chose chez de nombreux berbéristes.
Après « Paris, on t’aime aussi ! », Léo Bigiaoui revient avec un nouveau court-métrage, « Je suis une blessure », sorti ce mercredi. Lui qui avait déclaré « Paris, c’est aussi Barbès, La Chapelle et le métro », nous emmène à nouveau dans le Paris sous-terrain, cette fois-ci pour exposer la psychose de la décennie.