Contrairement aux affirmations de l’ambassadeur saoudien à Alger, le Premier ministre algérien s’est contenté de dire que la banderole anti-saoudienne n’engageait en rien son gouvernement et son pays. Le mot « excuse » n’a pas été prononcé.
Dans le recueil de ses Mémoires qui vient de paraître, l’ex-homme fort de l’armée algérienne, Khaled Nezzar, apporte un nouvel éclairage sur quelques épisodes marquants de l’histoire nationale et régionale algérienne.
Depuis quelques jours, l’Algérie est secouée par un fait divers : un homme s’est attaqué à la statue de la belle dame de Sétif, à l’aide d’un marteau et d’un burin. Une vidéo a été diffusée sur les réseaux sociaux, où l’on y aperçoit un homme barbu qui porte un qamis blanc. Précisions sur le profil de l’auteur, placé sous mandat de dépôt depuis ce mercredi.
Lors de son voyage à Alger, le 6 décembre dernier, le président français Emmanuel Macron a discuté du cas Iyad Ag Ghaly avec le vice-ministre de la Défense nationale, Ahmed Gaïd Salah. Les renseignements français accusent les services de sécurité algériens de protéger le jihadiste malien.
La statut de la Fontaine « Ain Foura » (« source jaillissante », en français) qui fait la gloire de la ville de Sétif, a été vandalisée lundi par un individu qui serait atteint de troubles psychiatriques. L’homme s’est attaqué au burin à l’oeuvre réalisée en 1898 par le sculpteur français Francis de Saint-Vidal.
Un rassemblement a été dispersé dimanche à Bouira, en Kabylie, tandis que le calme semblait revenu dans les autres localités berbérophones théâtres de récentes manifestations, selon des journalistes et habitants.
Secrets de famille, affaires de cœur et de destinées contrariées, belles rédemptions… Dans son dernier roman, l’un des écrivains maghrébins les plus lus dans le monde se livre davantage que de coutume. Entretien.
Avec « Ce que le mirage doit à l’oasis », Yasmina Khadra dévoile une autre palette de son talent protéiforme. Celui qui s’est fait connaître par ses polars algériens, avant de devenir l’un des écrivains francophones les plus lus et des plus traduits grâce à ses romans, nous livre un récit d’autofiction.
Avec son premier film, Les Bienheureux, la réalisatrice algérienne Sofia Djama frappe fort, radiographiant avec lucidité son pays, toutes générations confondues.
Depuis quelques jours, cette région historiquement frondeuse proteste contre le rejet par la majorité présidentielle d’une proposition de loi visant à promouvoir l’identité berbère. État des lieux.
Un jeu morbide sur les réseaux sociaux, le « Blue Whale Challenge », aurait causé le suicide de cinq jeunes. Les parents sont désemparés et le gouvernement enquête. Reportage.
Les autorités algériennes se sont fermement opposées à une hausse unilatérale de 30% du prix de la baguette, menée par un collectif d’une cinquantaine de boulangers.
Une étape de la visite du président français en Algérie, la semaine dernière, a été annulée in extremis. Selon le programme initial, Emmanuel Macron devait en effet se rendre à l’université.
Le cinquième satellite algérien, et le premier en matière de télécommunications, a été lancé dimanche depuis le Sichuan, en Chine. Sa mission : permettre la multiplication de chaînes de radio et de télévision, mais aussi optimiser la qualité du signal des satellites de géolocalisation.
A l’occasion de sa visite en Algérie mercredi, Emmanuel Macron s’est dit « prêt » à ce que Paris restitue les crânes de révoltés algériens tué au XIXème siècle conservés au Musée de l’Homme à Paris. En échange, il a réclamé des autorités algériennes de faciliter le retour au pays des harkis et fils de harkis qui le souhaitent.
La dernière décennie a été rude pour les armateurs maghrébins, qui, dans le passager mais surtout dans le conteneur, ont laissé l’essentiel du marché aux grands leaders européens.
Soumis à des impératifs de préservation de la chaîne du froid, le groupe familial marseillais est l’une des rares entreprises à disposer de ses propres navires. Une politique d’intégration qui a cependant un coût.
L’humoriste Nawell Madani raconte le parcours de Nawell Madani dans un film coréalisé et coscénarisé par Nawell Madani, « C’est tout pour moi ». Elle y incarne le premier rôle…
Pour sa première visite officielle en Algérie, Emmanuel Macron n’a pas dérogé à la tradition du « bain de foule » algérois. Mais contrairement à ses prédécesseurs, c’est sans Abdelaziz Bouteflika qu’il s’est plié à l’exercice.
Le président français est à Alger pour une visite d’une journée pour échanger avec les dirigeants algériens sur le renforcement de la coopération économique et sécuritaire.
Dix mois après avoir qualifié la colonisation de « crime contre l’humanité », le président français effectuera mercredi 6 décembre son premier déplacement présidentiel à Alger. Mais la question mémorielle n’a pas été placée au cœur de cette visite.
Ils sont nés dans les années 1990 et n’ont connu qu’un seul président. JA vous livre le témoignage de sept d’entre eux. Leur perception de la vie politique, leurs motifs de satisfaction, leurs déceptions et leurs rêves… Ils se confient sans fard.
Ziad Rabia, âgé de 27 ans, est chef d’entreprise. Comme les six autres jeunes dont Jeune Afrique vous livre le témoignage, il n’a connu qu’un seul président.
Slimane Bourdous, âgé de 25 ans, est étudiant. Comme les six autres jeunes dont Jeune Afrique vous livre le témoignage, il n’a connu qu’un seul président.
Massinissa Tiblali, âgé de 27 ans, est peintre et écrivain. Comme les six autres jeunes dont Jeune Afrique vous livre le témoignage, il n’a connu qu’un seul président.
Lynda Abbou, âgée de 27 ans, est journaliste. Comme les six autres jeunes dont Jeune Afrique vous livre le témoignage, elle n’a connu qu’un seul président.
Islem Houati, âgé de 25 ans, est architecte et photographe. Comme les six autres jeunes dont Jeune Afrique vous livre le témoignage, il n’a connu qu’un seul président.
Dalal Sahraoui, âgée de 20 ans, est étudiante. Comme les six autres jeunes dont Jeune Afrique vous livre le témoignage, elle n’a connu qu’un seul président.
Abdelghani Hidouche, âgé de 28 ans, est graphiste. Comme les six autres jeunes dont Jeune Afrique vous livre le témoignage, il n’a connu qu’un seul président.