Largement controversée en Algérie, la session exceptionnelle créée spécialement pour les retardataires et absents à la session principale du baccalauréat qui s’est déroulé du 13 au 18 juillet s’est soldée par 75% d’absents. Un chiffre record, selon le syndicaliste Meziane Meriane.
Écologie, culture, économie solidaire… À l’heure où le modèle de l’État providence bat de l’aile, une région tout entière, la Kabylie a pris son destin en main en multipliant les initiatives citoyennes. Reportage.
«Ces étrangers en séjour irrégulier amènent le crime, la drogue et plusieurs autres fléaux. » L’auteur de cette nauséabonde saillie ? Jean-Marie ou Marine Le Pen ? Donald Trump ? Geert Wilders ? Que nenni… Il s’agit d’Ahmed Ouyahia, ministre d’État et directeur de cabinet du chef de l’État algérien, Abdelaziz Bouteflika.
Une centaine d’incendies ont ravagé plus de 1.000 hectares de forêts ces dernières 48 heures dans le nord de l’Algérie, a annoncé samedi la Direction générale de la protection civile.
Condamné en juillet 2016 à trois ans de prison ferme pour « atteinte à la religion musulmane » après un message publié sur Facebook, Slimane Bouhafs, ancien policier converti au christianisme, sera finalement libéré avant d’avoir purgé la totalité de sa peine. Il a obtenu la grâce présidentielle.
Le président algérien a nommé ce mercredi Hassan Mermouri ministre du Tourisme et de l’Artisanat, indique un communiqué de la présidence de la République.
Un internaute qui avait créé un faux profil du Premier ministre algérien Abdelmadjid Tebboune a été arrêté par les services de sécurité. Les services du Premier ministre ont par ailleurs apporté un démenti formel aux informations qui avaient été publiées sur ce compte.
La Libye et le Nigeria pourraient se voir imposer des quotas de production par l’Opep, d’après le « Wall Street Journal » qui cite des délégués du cartel. Ces deux pays membres de l’organisation avaient jusqu’ici été épargnés par de telles limitations, du fait des difficultés qu’ils traversaient.
« Scandaleux » et « dignes de l’extrême droite ». Les défenseurs des droits de l’Homme en Algérie n’ont pas mâché leurs mots dimanche après les propos tenus la veille à l’égard des migrants par Ahmed Ouyahia, le directeur de cabinet du Président algérien.
Plus de trois mois après le début de l’affaire opposant Cevital, premier groupe privé d’Algérie, à l’Entreprise Portuaire de Béjaïa, le comité de soutien des travailleurs de Cevital reste mobilisé pour trouver une issue à la crise.
« Notre peuple exige toujours une reconnaissance de ses souffrances de la part du colonisateur d’hier, la France », a déclaré ce mercredi 5 juillet le président algérien dans un message diffusé par l’agence de presse officielle APS. Une nouvelle demande d’Abdelaziz Bouteflika qui fait écho aux propos du candidat Emmanuel Macron, désormais président.
C’est le 23 juin, la veille de la présentation de son programme devant les députés de la nouvelle Assemblée, que le Premier ministre Abdelmadjid Tebboune a pris la décision, en accord avec l’entourage présidentiel, d’organiser une seconde session du baccalauréat pour les 8 000 élèves arrivés en retard aux examens.
En équipement de plongée ou en tenue de plage, mains protégées par des gants, hommes, femmes et enfants se sont mués samedi en « éboueurs de la mer » sur une plage de l’est d’Alger jonchée de déchets.
Le 30 juin 1998, cinq jours après l’assassinat du chanteur kabyle, Hassan Hattab, alias Abou Hamza, alors émir au GIA, revendiquait le crime en ces termes dans un communiqué remis au bureau de l’AFP à Londres : « Une unité de moudjahidines a pris pour cible l’ennemi de Dieu, Lounès Matoub, l’a tué et pris ses armes. »
Chut, ne dis rien, ferme les yeux, bouche-toi les oreilles, ne dénonce pas l’islamisme et ses avatars. Faut pas faire le jeu de l’extrême droite, ni celui des nostalgiques du colonialisme, encore moins celui du grand capital.
La rumeur prête régulièrement au frère et conseiller spécial du chef de l’État, Saïd Bouteflika, une influence considérable, ainsi que de grandes ambitions. Fantasme ou réalité ?
Au pouvoir depuis 1999, le chef de l’État algérien s’est constamment séparé des hommes sur lesquels il s’appuie pour gouverner. Le Premier ministre Abdelmalek Sellal et le président du FLN, Amar Saadani, n’ont pas dérogé à la règle.
A Tizi Ouzou, l’Association de promotion de l’apiculture de montagne abrite depuis plusieurs années des Ruchers-écoles. Grâce à cette initiative, des dizaines de jeunes femmes ont pu s’initier à cette pratique. Un article du quotidien algérien El Watan.
Depuis quelques années, les soirées du mois du Ramadan sont devenues des opportunités pour les jeunes sociétés événementiel en Algérie. Mais la crise économique qui secoue le pays jette un froid sur ce secteur en plein essor.
En cet hiver 1961, la guerre d’Algérie touche à sa fin. Mais dans l’ombre, la bataille pour le contrôle du pouvoir après l’indépendance du pays fait déjà rage entre l’état-major de l’Armée de libération nationale (ALN), dirigé par le colonel Houari Boumédiène, et les dirigeants du Gouvernement provisoire de la république algérienne (GPRA).
Le nouveau Premier ministre algérien, Abdelmadjid Tebboune, a présenté ce mardi le « plan d’action » de son gouvernement devant les députés de l’Assemblée générale. La mesure phare est la réforme du système de subventions publiques, conséquence de la crise économique.
Les autorités ont bloqué deux navires affrétés par le premier groupe privé algérien pour un projet de trituration de soja. Un épisode de plus dans le conflit qui oppose la société d’Issad Rebrab et le gouvernement.
Depuis avril, une dizaine de familles font les frais de tensions diplomatiques entre le Maroc et l’Algérie. Le Palais a ordonné mardi « le traitement immédiat » de leur situation.
De retour après une pause d’une année, « Achour el Acher » est le programme télé le plus populaire en Algérie en ce mois sacré. Une satire politique en phase avec son temps.
Le président algérien a pris cette décision dans une volonté d’apaisement après que le journal français lui a présenté ses excuses. L’affaire est désormais close.
Un Algérien a été condamné à deux ans de prison ferme par le tribunal de Dar El Beida, lundi 19 juin, pour avoir suspendu un nourrisson dans le vide et avoir publié les images sur Facebook. Il menaçait de jeter l’enfant s’il n’obtenait pas un millier de « like ».
Ahmed Zabana est le premier d’une longue liste de militants pour l’indépendance de l’Algérie à être exécuté. A la veille de sa mort, il adresse une dernière lettre à ses proches.