« Notre peuple exige toujours une reconnaissance de ses souffrances de la part du colonisateur d’hier, la France », a déclaré ce mercredi 5 juillet le président algérien dans un message diffusé par l’agence de presse officielle APS. Une nouvelle demande d’Abdelaziz Bouteflika qui fait écho aux propos du candidat Emmanuel Macron, désormais président.
C’est le 23 juin, la veille de la présentation de son programme devant les députés de la nouvelle Assemblée, que le Premier ministre Abdelmadjid Tebboune a pris la décision, en accord avec l’entourage présidentiel, d’organiser une seconde session du baccalauréat pour les 8 000 élèves arrivés en retard aux examens.
En équipement de plongée ou en tenue de plage, mains protégées par des gants, hommes, femmes et enfants se sont mués samedi en « éboueurs de la mer » sur une plage de l’est d’Alger jonchée de déchets.
Le 30 juin 1998, cinq jours après l’assassinat du chanteur kabyle, Hassan Hattab, alias Abou Hamza, alors émir au GIA, revendiquait le crime en ces termes dans un communiqué remis au bureau de l’AFP à Londres : « Une unité de moudjahidines a pris pour cible l’ennemi de Dieu, Lounès Matoub, l’a tué et pris ses armes. »
Chut, ne dis rien, ferme les yeux, bouche-toi les oreilles, ne dénonce pas l’islamisme et ses avatars. Faut pas faire le jeu de l’extrême droite, ni celui des nostalgiques du colonialisme, encore moins celui du grand capital.
La rumeur prête régulièrement au frère et conseiller spécial du chef de l’État, Saïd Bouteflika, une influence considérable, ainsi que de grandes ambitions. Fantasme ou réalité ?
Au pouvoir depuis 1999, le chef de l’État algérien s’est constamment séparé des hommes sur lesquels il s’appuie pour gouverner. Le Premier ministre Abdelmalek Sellal et le président du FLN, Amar Saadani, n’ont pas dérogé à la règle.
A Tizi Ouzou, l’Association de promotion de l’apiculture de montagne abrite depuis plusieurs années des Ruchers-écoles. Grâce à cette initiative, des dizaines de jeunes femmes ont pu s’initier à cette pratique. Un article du quotidien algérien El Watan.
Depuis quelques années, les soirées du mois du Ramadan sont devenues des opportunités pour les jeunes sociétés événementiel en Algérie. Mais la crise économique qui secoue le pays jette un froid sur ce secteur en plein essor.
En cet hiver 1961, la guerre d’Algérie touche à sa fin. Mais dans l’ombre, la bataille pour le contrôle du pouvoir après l’indépendance du pays fait déjà rage entre l’état-major de l’Armée de libération nationale (ALN), dirigé par le colonel Houari Boumédiène, et les dirigeants du Gouvernement provisoire de la république algérienne (GPRA).
Le nouveau Premier ministre algérien, Abdelmadjid Tebboune, a présenté ce mardi le « plan d’action » de son gouvernement devant les députés de l’Assemblée générale. La mesure phare est la réforme du système de subventions publiques, conséquence de la crise économique.
Les autorités ont bloqué deux navires affrétés par le premier groupe privé algérien pour un projet de trituration de soja. Un épisode de plus dans le conflit qui oppose la société d’Issad Rebrab et le gouvernement.
Depuis avril, une dizaine de familles font les frais de tensions diplomatiques entre le Maroc et l’Algérie. Le Palais a ordonné mardi « le traitement immédiat » de leur situation.
De retour après une pause d’une année, « Achour el Acher » est le programme télé le plus populaire en Algérie en ce mois sacré. Une satire politique en phase avec son temps.
Le président algérien a pris cette décision dans une volonté d’apaisement après que le journal français lui a présenté ses excuses. L’affaire est désormais close.
Un Algérien a été condamné à deux ans de prison ferme par le tribunal de Dar El Beida, lundi 19 juin, pour avoir suspendu un nourrisson dans le vide et avoir publié les images sur Facebook. Il menaçait de jeter l’enfant s’il n’obtenait pas un millier de « like ».
Ahmed Zabana est le premier d’une longue liste de militants pour l’indépendance de l’Algérie à être exécuté. A la veille de sa mort, il adresse une dernière lettre à ses proches.
Entre deux tournages, le youtubeur algérien Anes Tina, 28 ans, se remémore les souvenirs de son premier Ramadan. À l’époque, il savait déjà jouer la comédie.
Le chef de l’État algérien Abdelaziz Bouteflika, dont l’état de santé fait l’objet de spéculations récurrentes, a présidé mercredi le premier Conseil des ministres de l’année 2017, a indiqué une source gouvernementale à l’AFP.
Encore traumatisée par plusieurs affaires et manquant d’une vision à long terme, l’Algérie peine à s’ouvrir et à se diversifier. Cet immobilisme est pourtant loin d’être une fatalité.
Avec la chute des cours du pétrole, l’État ne peut plus supporter le coût de son onéreux système de subventions. Et doit avoir le courage politique de le réformer en profondeur.
À rebours d’une religion des origines fantasmée, dépassant le cadre légaliste, la foi musulmane peut redevenir un vecteur de progrès et de libération, selon ce chercheur, partisan d’une lecture moderniste.
Lutte contre la pollution, traitement des déchets, passage aux énergies renouvelables… La transition écologique est devenue une urgence. De Sétif à la vallée du Mzab, des pionniers montrent la voie.
Ce mardi à Alger, les ministres des Affaires étrangères algérien et français ont réaffirmé leur volonté de renforcer la relation entre leurs pays , notamment dans la lutte antiterroriste, et d’unir leurs efforts pour une solution politique en Libye.
Pédagogue, auteur de « L’impossible éradication : l’enseignement du français en Algérie », Ahmed Tessa nous livre une tribune sur les écoles modernes en Algérie.
Modernisation, mécanisation, restructuration des terres cultivables… Le développement de l’agro-industrie doit être une priorité pour l’Algérie. Objectif : parvenir à la sécurité alimentaire.
Pour regagner la confiance des citoyens, dans un pays où 70 % de la population a moins de 30 ans, la classe dirigeante doit se renouveler et en finir avec les pratiques opaques.
Ce réalisateur et producteur dénonce l’ingérence de l’État dans le septième art et déplore la fermeture de nombreuses salles. Pour relancer le secteur, il prône sa refonte totale.