Une enquête sur de « possibles détournements » de fonds a été ouverte par la compagnie pétrolière angolaise Sonangol à l’encontre de son ancienne PDG, Isabel dos Santos, la fille de l’ancien président Jose Eduardo dos Santos.
Pour de nombreux observateurs, l’élection de João Lourenço à la tête de l’Angola n’était guère plus qu’une opération cosmétique visant à perpétuer la mainmise de José Eduardo dos Santos et de son clan sur le pays.
Pour la première fois, l’index Education First, qui classe les pays selon leur niveau d’anglais, s’intéresse à l’Afrique, même si tous les pays sont loin d’y avoir une place. L’Afrique du Sud et le Nigeria se distinguent sans surprise, tandis que l’Angola, le Cameroun et les pays du Maghreb sont en queue de classement.
Limogée le 15 novembre de la tête de la compagnie pétrolière nationale, la fille de l’ancien président José Eduardo dos Santos a publié un communiqué dans lequel elle fait le bilan de son année passée à la Sonangol.
La fille aînée de l’ex-président angolais José Eduardo dos Santos, présentée comme la « femme la plus riche d’Afrique », a été limogée de la présidence du conseil d’administration de la Sonangol, la compagnie pétrolière nationale, a annoncé mercredi le nouveau chef de l’État, Joao Lourenço.
Grace, Nkosazana, Ellen, Joyce, Isabel : elles sont cinq femmes puissantes nichées au cœur du pouvoir, de ses fortunes et de ses infortunes, dans le collimateur impitoyable des médias en cette fin d’année 2017.
La Banque africaine de développement (BAD) a décidé d’épauler la stratégie de développement de la jeune compagnie ivoirienne. Au total, la compagnie va bénéficier de 253 millions d’euros de capitaux qui doivent notamment permettre de générer 684 emplois directs et 5 000 emplois indirects.
L’élection de la République démocratique du Congo au Conseil des droits de l’Homme des Nations unies fait grincer des dents. Son régime est-il légitime pour donner des leçons en matière de droits humains ?
Le deal était clair : à João Manuel Gonçalves Lourenço la présidence du pays et à José Eduardo dos Santos, trente-huit ans de pouvoir au compteur, celle du Mouvement populaire de libération de l’Angola (MPLA). Mais le nouveau chef de l’État semble vouloir s’émanciper rapidement.
Le nouveau président angolais, João Lourenço, a nommé jeudi soir son premier gouvernement composé de trente ministres, dont neuf conservent les portefeuilles qu’ils détenaient déjà sous la présidence de son prédécesseur, Jose Eduardo dos Santos.
José Eduardo dos Santos quitte le devant de la scène après 38 ans de règne et la victoire sans appel, lors des législatives du 23 août, de son parti, le MPLA, au pouvoir depuis l’indépendance en 1975.
Pas très charismatique mais d’une loyauté absolue, en bref le dauphin idéal. À 63 ans, le général à la retraite Joao Lourenço va incarner le nouveau visage du pouvoir en Angola, personnalisé pendant trente-huit ans par Jose Eduardo dos Santos.
La large victoire du MPLA aux élections générales du 23 août a été confirmée mercredi soir par la Commission nationale électorale (CNE). Une annonce aussitôt contestée par l’opposition.
João Lourenço, le nouveau président angolais, sera investi le 21 septembre… si tout se passe comme prévu. Car, depuis la divulgation des résultats provisoires par la Commission nationale électorale (CNE), quelques jours après les élections générales du 23 août, les chiffres définitifs tardent à être publiés.
Le nouveau président angolais João Lourenço devra jouer serré pour mener à bien ses réformes économiques et institutionnelles. Avant de partir, son prédécesseur a verrouillé le système à son avantage.
Alors que les résultats provisoires des élections générales du 23 août, contestées par l’opposition, donnent vainqueur le MPLA et son nouveau leader João Lourenço, la chercheuse à l’Institut sud-africain des relations internationales Paula Cristina Roque annonce une nouvelle ère pour le pays même si, dit-elle, les proches de l’ancien président devraient continuer de tirer les ficelles en coulisses. Interview.
Les deux grands partis d’opposition refusent de reconnaître la victoire du MPLA aux élections générales mercredi dernier, malgré la validation unanime vendredi des observateurs internationaux.
Au pouvoir depuis quatre décennies en Angola, le Mouvement populaire pour la libération de l’Angola (MPLA) a remporté les élections générales disputées mercredi avec plus de 64 % des suffrages, a annoncé jeudi la Commission nationale électorale (CNE).
Avec la retraite programmée de José Eduardo dos Santos, arrivé au pouvoir comme lui en 1979, le président équato-guinéen reste seul au sommet du podium des chefs d’État africains ayant passé le plus d’années au pouvoir.
On connaît désormais les affiches des quarts de finale du championnat d’Afrique de basket féminin, qui se déroule au Mali. Derrière les tenantes du titre sénégalaises et les favorites nigérianes, l’Angola fait figure de principal trouble-fête, tandis que le Cameroun, le Mali, la Côte d’Ivoire et le Mozambique espèrent créer la surprise. Quelques statistiques avant d’aborder les quarts de finale, prévus vendredi 25 août.
Les Angolais ont voté dans le calme mercredi pour choisir un successeur au président José Eduardo dos Santos, qui a décidé de quitter le pouvoir au terme d’un règne de trente-huit ans à la tête de son pays. Le dépouillement a immédiatement débuté et devrait livrer ses premiers résultats d’ici vendredi.
À moins d’une semaine des élections générales, Isaías Henriques Ngola Samakuva, le candidat de l’Unita, espère convaincre les Angolais qu’il est une alternative crédible au MPLA – au pouvoir. Interview.
Candidat à l’élection présidentielle angolaise du 23 août, Isaías Samakuva président de l’Unita espère bénéficier de la contestation sociale et de la crise économique qui secouent le pays depuis deux ans.
En Angola, le prochain président, qui succédera à Jose Eduardo dos Santos, ne sera pas élu au suffrage universel. C’est le leader du parti qui remportera les législatives du 23 août prochain qui sera chef d’État.
Au pouvoir depuis 1979, le chef de l’État a désigné son dauphin. Mais le choix de João Lourenço, ministre de la Défense, pour mener la liste des législatives du MPLA en août inquiète. A-t-il été imposé par le parti au pouvoir ou par le président lui-même ?
La campagne des élections générales du 23 août a officiellement débuté samedi en Angola avec un grand meeting de l’Unita, le principal parti d’opposition, un scrutin qui doit marquer la fin du règne du président Jose Eduardo dos Santos, au pouvoir depuis 38 ans.
Un peu plus d’un mois avant les élections, le Parlement angolais a voté une loi réduisant les pouvoirs du futur président, qui prendra la succession de José Eduardo dos Santos, au pouvoir depuis 1979. Le successeur de Dos Santos aura notamment les mains liées en ce qui concerne la désignation des responsables des services de sécurité.
Si vous cherchez un roman dans le but de vous réconcilier avec la nature humaine, passez votre chemin. Vladimiro Caposso, le héros de Prédateurs, est l’archétype du self-made-man à qui tout réussit… grâce à son degré zéro de moralité. Le livre commence d’ailleurs par une scène de meurtre, ce qui pose d’emblée le décor.
La Libye et le Nigeria pourraient se voir imposer des quotas de production par l’Opep, d’après le « Wall Street Journal » qui cite des délégués du cartel. Ces deux pays membres de l’organisation avaient jusqu’ici été épargnés par de telles limitations, du fait des difficultés qu’ils traversaient.