Le pouvoir angolais s’est lancé sur la piste des quelque 100 milliards de dollars disparus durant les années dos Santos. Au centre de cette campagne, un homme, Rafael Marques, ancien opposant aujourd’hui incontournable.
Le pouvoir angolais s’est lancé sur la piste des quelque 100 milliards de dollars disparus durant les années dos Santos. Un scandale qui implique de nombreuses entreprises, tant en Angola qu’à l’étranger.
Le pouvoir angolais s’est lancé sur la piste des quelque 100 milliards de dollars disparus durant les années dos Santos. Au Portugal, le scandale éclabousse entreprises et élite politique.
Le pouvoir angolais s’est lancé sur la piste des quelque 100 milliards de dollars disparus durant les années dos Santos. Au risque de cristalliser de nouvelles divisions au sein de la population.
Le pouvoir angolais s’est lancé sur la piste des quelque 100 milliards de dollars disparus durant les années dos Santos. Une recherche qui croise souvent la route de la fille de l’ex-chef d’État, Isabel dos Santos.
Visée par des enquêtes pour détournement de fonds publics en Angola et au Portugal, la fille aînée de l’ex-président José Eduardo dos Santos organise sa riposte depuis Londres et Paris.
Ébranlée en début d’année par les « Luanda Leaks », la femme d’affaires et fille aînée de l’ancien président angolais José Eduardo dos Santos accuse la justice angolaise de s’être appuyée sur de faux documents pour geler ses avoirs en Angola et au Portugal.
La compagnie pétrolière publique angolaise annonce l’ouverture d’un appel d’offres pour vendre une partie de ses actifs dans plusieurs sociétés actives dans les secteurs du transport maritime et parapétrolier. Objectif : se recentrer sur son cœur de métier.
Présent en Angola depuis les années 1980, le conglomérat privé israélien a récemment décroché un contrat de près de 150 millions d’euros en Côte d’Ivoire. Peu disert sur son business model, il nourrit de fortes ambitions en Afrique de l’Ouest.
Plus que l’épidémie de Covid-19, les cours du pétrole au plus bas ébranlent les économies des deux premiers producteurs d’or noir du continent. Bien moins endetté et disposant d’un secteur privé plus développé, le Nigeria semble en meilleure posture que l’Angola pour résister.
Cours du pétrole au plus bas, chute de la demande chinoise, épidémie de Covid-19… L’économie de l’Angola est aujourd’hui très mal en point. Mais, pour la ministre des Finances, Vera Daves, la tempête ne doit pas empêcher le pays de se réformer.
Le président congolais Félix Tshisekedi s’agace de la lenteur des négociations avec son homologue angolais João Lourenço à propos du partage de l’exploitation pétrolière au large de ses côtes.
Le Tchad et l’Angola se sont mis d’accord sur un règlement de la dette tchadienne avec des têtes de bétail. La première livraison de 1 500 têtes est arrivé cette semaine en Angola, mais ce sont 75 000 bovins qui devront être livrés pour rembourser les 88 millions d’euros dûs.
Portugaise native de Luanda, Pongo s’est imposée en un temps record comme la nouvelle reine du kuduro. Elle revient avec un mini-album, une tournée mondiale et le désir intact de briser tous les carcans.
La décision a été prise à la demande de la justice angolaise dans le cadre d’une enquête pour mauvaise gestion et détournement de fonds durant le mandat d’Isabel dos Santos à la tête de la société pétrolière publique Sonangol.
En 2018, le président João Lourenço a modifié les règles de commercialisation des gemmes. Objectif : améliorer la transparence et les recettes de l’État.
L’affaire Isabel dos Santos constitue un test majeur pour la volonté affichée du président angolais Joao Lourenço de lutter contre la corruption, dans un pays producteur de pétrole mais où un tiers de la population vit sous le seuil de pauvreté.
Janvier 2017 : Isabel dos Santos, déjà à la tête d’un empire, dirige Sonangol, la machine à cash de l’Angola. Son père, José Eduardo dos Santos, qui l’a nommée à ce poste, préside le pays depuis trente-huit ans. La famille dos Santos est intouchable. Janvier 2020 : Isabel dos Santos, exposée par les « Luanda Leaks », est mise en examen pour détournement de fonds en Angola. Le père, qui a passé la main à João Lourenço, vit en exil en Espagne.
Isabel dos Santos, la fille de l’ex-président angolais José Eduardo dos Santos, s’est déclarée jeudi 23 janvier « prête à se battre » contre les accusations portées à son encontre par la justice de son pays parmi lesquelles, fraude, détournement de fonds et blanchiment d’argent.
Le gestionnaire des comptes d’Isabel dos Santos a été retrouvé mort mercredi 22 janvier, trois jours après la publication des Luanda Leaks, qui accusent la femme la plus riche d’Afrique d’avoir « siphonné les caisses du pays » et citent le nom du banquier.
Les « Luanda Leaks » signent probablement la fin de la saga dos Santos. L’ancien président angolais n’est pas à l’abri de poursuites internationales, d’autant qu’il n’est pas protégé par l’immunité en dehors de l’Angola.
L’étau se resserre autour de la fille de l’ancien président angolais José Éduardo dos Santos. Alors que les « Luanda Leaks » viennent d’éclater, la justice angolaise décide de poursuivre Isabel dos Santos dans le cadre d’une enquête lancée en mars 2018 sur sa gestion lorsqu’elle dirigeait la compagnie pétrolière nationale, Sonangol.
Une enquête du Consortium international des journalistes d’investigation intitulée « Luanda Leaks » expose les zones d’ombre de l’empire financier d’Isabel dos Santos, la fille de l’ancien président angolais, et de son mari, le collectionneur d’art Sindika Dokolo. Ces derniers dénoncent un règlement de comptes politique orchestré par le pouvoir angolais sur fond d’emballement médiatique.
La milliardaire est accusée par une enquête journalistique de s’être accaparé des richesses publiques. Fille de l’ancien président angolais, elle évoquait il y a peu l’hypothèse d’une candidature à la présidence de son pays.
La milliardaire Isabel dos Santos, accusée par la justice angolaise de détournements de fonds publics, a évoqué l’hypothèse d’une candidature à la présidence de son pays dans un entretien accordé à un média portugais.
Le gel préventif de ses avoirs et l’ouverture d’une enquête au Portugal écornent un peu plus l’image de businesswoman à succès que s’était forgée Isabel dos Santos, la fille de l’ex-président angolais. Laquelle a déjà lancé la riposte.
La fille de l’ancien président angolais José Eduardo dos Santos, la milliardaire Isabel dos Santos, a catégoriquement nié les détournements de fonds que lui reproche la justice de son pays, qui a ordonné le gel préventif de ses comptes bancaires et actifs ainsi que de ceux de son époux Sindika Dokolo.
La justice angolaise a ordonné le gel préventif des comptes bancaires et des actifs d’Isabel dos Santos, la fille de l’ancien président José Eduardo dos Santos, et de son époux Sindika Dokolo dans plusieurs sociétés, dans le cadre d’une enquête pour corruption, a-t-on appris de source officielle mardi.
Les députés angolais ont voté, à une large majorité, la suppression de l’effigie de l’ancien président José Eduardo dos Santos des billets qui seront mis en circulation en 2020. Sa famille dénonce une persécution.