Les députés angolais ont voté, à une large majorité, la suppression de l’effigie de l’ancien président José Eduardo dos Santos des billets qui seront mis en circulation en 2020. Sa famille dénonce une persécution.
Le collectionneur d’art congolais a saisi la Cour internationale d’arbitrage de Londres, s’estimant victime d’un préjudice de 120 millions de dollars en raison du comportement de son associé au sein de la marque de joaillerie De Grisogono, la société publique angolaise Sodiam.
Depuis une semaine, le fils de l’ancien président José Eduardo dos Santos comparaît devant la justice angolaise pour fraude, blanchiment d’argent et trafic d’influence. Illustration de la rupture initiée par le nouvel homme fort, João Lourenço.
Jugé depuis lundi par un tribunal de Luanda pour détournement de fonds publics et blanchiment, le fils de l’ancien président angolais José Eduardo dos Santos a dénoncé un règlement de comptes politique.
Le fils de l’ancien président angolais José Eduardo dos Santos comparaît depuis lundi devant un tribunal de Luanda pour des faits de corruption, le tout premier procès visant un membre de la famille de l’ex-maître absolu du pays.
Le consultant belge et spécialiste de l’Angola Daniel Ribant publie une nouvelle édition de son ouvrage « L’Angola de A à Z », qui intègre les réformes engagées par João Lourenço depuis son élection en 2017. Sur le plan diplomatique, il retient notamment la volonté de renforcer les liens entre Paris et Luanda.
Le président angolais João Lourenço, qui entretient des relations très tendues avec son prédécesseur et ancien mentor José Eduardo dos Santos, a accusé jeudi des membres de son propre parti, le Mouvement populaire de libération de l’Angola (MPLA), de financer une « campagne de déstabilisation » du pays.
José Eduardo, Isabel, José Filomeno… Dans « La dos Santos company. Mainmise sur l’Angola », qui sortira le mercredi 2 octobre, notre collaboratrice Estelle Maussion raconte l’extraordinaire histoire d’une famille devenue intouchable, jusqu’à l’élection de João Lourenço. Jeune Afrique vous propose le premier chapitre en accès libre.
Passée de 0 à 600 millions de dollars de chiffre d’affaires en six ans, Aenergy SA, la compagnie créée par l’entrepreneur portugais, suscite davantage d’interrogations que d’admiration.
Les autorités angolaises lancent une vague de privatisations sans précédent, avec l’objectif d’améliorer l’efficacité et la productivité des entreprises concernées, tout en équilibrant la balance commerciale d’un pays fortement endetté.
La vie après le pouvoir (5/6). Attaqué de toutes parts par son successeur, l’ancien chef de l’État angolais vit mal la chute de son empire familial. Mais ses héritiers ne s’avouent pas vaincus.
L’hommes d’affaires et collectionneur congolais a co-réalisé l’exposition IncarNations, à Bruxelles. Au coeur du dispositif : une salle « projet Dundo » qui présente quelques une des œuvres qui avaient été pillées dans ce musée angolais.
Le mariage de raison entre l’Angola et la Chine a fait son temps, et un nouveau partenariat doit nécessairement le remplacer. L’Angola ne rompra pas cette union, tant sa dette envers l’empire du Milieu s’élève à plus de 23 milliards de dollars.
Sous la pression de l’exécutif, la compagnie pétrolière nationale angolaise Sonangol doit se réformer et relancer sa production. Une situation qui génère des tensions.
Vieille de soixante-deux ans, la Coupe d’Afrique des nations (CAN) a été le théâtre de matchs qui sont restés dans les mémoires. Jeune Afrique en a sélectionnés cinq parmi les plus marquants de la compétition.
Le chef rebelle angolais Jonas Savimbi, mort en 2002 au combat, doit être enterré samedi dans son village familial lors de funérailles publiques, un « signe important pour la réconciliation » nationale dix-sept ans après la fin d’une guerre civile sanglante.
L’appel d’offres pour la privatisation des aéroports angolais, qui doit être lancé d’ici la fin de l’année, fait partie d’un ensemble de mesures prises par l’exécutif pour dynamiser le secteur aérien.
Funérailles de Jonas Savimbi, réformes du président João Lourenço, lutte contre la corruption… Le ministre angolais des Affaires étrangères, Manuel Domingos Augusto, revient sur les actualités qui devraient selon lui permettre « d’impulser le changement » en Angola.
Le PIB du deuxième producteur d’or noir d’Afrique pourrait croître très modestement de 0,3 % en 2019. Moins que prévu en fin d’année dernière, mais mieux que jamais depuis trois ans.
Jonas Savimbi, chef historique de la rébellion angolaise Unita tué au combat en 2002, sera enterré dans son village natal le 1er juin, après l’authentification par ADN de sa dépouille, ont annoncé lundi les autorités angolaises et son parti.
Depuis qu’il dirige l’Angola en 2017, João Lourenço s’est bâti une image de président relativement ouvert et modéré. Mais dans la province du Cabinda (nord), les indépendantistes l’accusent de poursuivre la politique de répression de son prédécesseur José Eduardo dos Santos.
Porté par des personnages insolites, le nouveau roman de José Eduardo Agualusa, « La Société des rêveurs involontaires », est un récit sur les utopies collectives qui fait directement écho à l’actualité politique angolaise.
L’une des filles de l’ancien président angolais José Eduardo dos Santos, Welwitschia, députée du parti au pouvoir MPLA, a déclaré à la presse angolaise avoir « fui » son pays après avoir reçu des intimidations, selon elles, des services secrets.
Le président João Lourenço a renvoyé le patron de la compagnie nationale pétrolière qu’il avait nommé pour réformer la société alors que le pays, deuxième producteur d’or noir du continent, est confronté à une pénurie de carburants.
Pour se rendre en Espagne à la mi-avril, l’ancien dirigeant angolais José Eduardo dos Santos a préféré voyager avec TAP Air Portugal plutôt qu’avec la compagnie nationale aérienne de son pays.
La Commission européenne a retiré mardi la compagnie nationale angolaise de sa liste noire des compagnies aériennes. Conséquence : elle sera de nouveau autorisée à exploiter ses appareils dans le ciel de l’Union européenne.
Le fils de l’ancien président angolais José Eduardo dos Santos, incarcéré depuis septembre dans une affaire de détournement de fonds et de trafic d’influence, a été libéré dimanche. Les charges qui pesaient contre lui n’ont pas été retenues.
Un appui de plus d’un milliard de dollars (900 millions d’euros) de la Banque mondiale vise à appuyer les efforts de réformes économiques de l’Angola, touché de plein fouet par la chute des cours du pétrole en 2014.
Eni vient d’annoncer la découverte d’un gisement de pétrole à 180 kilomètres des côtes angolaises. Le consortium composé du groupe italien, de la compagnie publique Sonangol et de SSI Fifteen Ltd y envisage une production conjointe de 20 000 barils par jour.
Le président portugais Marcelo Rebelo de Sousa, en visite officielle en Angola, et son homologue angolais Joao Lourenço ont salué mercredi l’« excellence » des relations entre leurs deux pays après plusieurs années de crispation.