Le Libanais Jean Boustani, arrêté à New York dans le cadre de l’affaire de la « dette cachée » du Mozambique, a également collaboré avec l’Angola. Notamment dans le cadre de la visite du président João Lourenço en France, en mai dernier.
Mélange d’animation et de documentaire, le film « Another Day of Life » suit le reporter polonais Ryszard Kapuscinski et nous plonge dans les atrocités de la guerre civile.
Le nouveau président de la RDC a défendu mardi à Luanda la légalité de sa victoire contestée, tout en reconnaissant des « irrégularités » au cours du processus électoral. « J’attends toujours la preuve de celui qui conteste le verdict de la Cour constitutionnelle, je n’ai toujours rien vu », a notamment déclaré Félix Tshisekedi.
Après avoir levé 3,5 milliards de dollars en mai 2018, Luanda devrait à nouveau solliciter les marchés internationaux en 2019, a déclaré la secrétaire d’État au Trésor, Vera Daves.
L’Angola a décriminalisé l’homosexualité en retirant de son code pénal une clause sur les « vices contre nature », jusqu’à présent interprétée « comme une interdiction de tout comportement homosexuel », a annoncé l’organisation Human Rights Watch (HRW).
L’Angola a obtenu un prêt de 3,7 milliards de dollars sur trois ans de la part de l’institution de Bretton Woods. Une aide conditionnée à une politique macroéconomique plus restrictive et à des réformes structurelles.
Selon une revue spécialisée portugaise, la femme d’affaires et fille de l’ancien président angolais José Eduardo dos Santos rejette le processus lancé par l’actuel président, João Lourenço, visant à faire revenir en Angola les avoirs illégalement domiciliés à l’étranger.
L’ancien chef de l’État a répondu à son successeur qui l’a accusé, dans une interview, d’avoir laissé le pays avec des caisses vides. L’actuel président João Lourenço s’est de nouveau exprimé depuis le Portugal, où il a qualifié l’ancien clan dos Santos de « nid de guêpes ».
L’ancien président angolais José Eduardo dos Santos a réfuté mercredi les accusations de son successeur Joao Lourenço d’avoir « vidé les caisses de l’État », dans un nouveau bras de fer entre les deux hommes.
Daniel Ribant, consultant belge et spécialiste de l’Angola, publie « Força Angola : témoignages pour l’histoire ». En un peu plus de 300 pages, il interroge 17 personnalités de neuf nationalités, témoins ou acteurs directs des événements qui ont secoué cette ancienne colonie portugaise durant près de cinquante ans.
Lors de l’inauguration du projet Kaombo en Angola, le 10 novembre, Patrick Pouyanné a annoncé le forage de 13 puits complémentaires, dont la mise en production, en 2020 et 2021, ajoutera 70 000 barils de pétrole à la production quotidienne du groupe dans le pays.
L’arrivée au pouvoir de João Lourenço a permis à la major française de renforcer ses positions et de multiplier les projets dans le deuxième État pétrolier du continent.
Le Brésil, ancien partenaire commercial et politique de plusieurs pays africains, pourrait décider d’abandonner définitivement le continent avec l’élection du nouveau président d’extrême droite. Ses déclarations choc et ouvertement racistes continuent à faire polémique, au Brésil comme en Afrique.
Alors que le système bancaire angolais s’illustre par un taux de prêts non performants particulièrement élevé, le gouverneur de la banque centrale a donné jusqu’à la fin de l’année aux établissements financiers pour respecter les exigences de fonds propres.
Lors d’un point de presse tenu le 17 octobre à Kinshasa, Léonard She Okitundu, chef de la diplomatie de la RDC, a indiqué avoir officiellement transmis à Luanda « l’indignation et les vives protestations » de Kinshasa à la suite de la brusque expulsion de quelque 200 000 Congolais de l’Angola.
Le président angolais João Lourenço s’est exprimé le 15 octobre devant les députés à l’occasion de la rentrée parlementaire. Conjoncture économique, lutte contre la corruption, organisation des premières élections municipales… Retour sur ses principales annonces.
João Lourenço, devenu à son tour « camarade numéro un », ne risque-t-il pas de remplacer des voleurs avérés par des voleurs potentiels qu’il aura installés dans les mêmes fauteuils ?
En visite à Pékin, le président angolais João Lourenço a obtenu un prêt de 2 milliards de dollars de la Chine, destiné à financer des projets d’infrastructure et à réduire le poids de la dette publique, qui s’élève à 77,3 milliards de dollars.
En moins de quinze jours, quatre figures proches de l’ancien président José Eduardo dos Santos ont été placées en détention provisoire pour différentes enquêtes. De quoi rallonger la liste des personnalités déjà visées par la justice angolaise. Tour d’horizon.
Alors que Jean-Claude Bastos de Morais, accusé de détournement de fonds, est emprisonné depuis le 24 septembre, un communiqué de son entreprise dénonce une manœuvre politique.
Après Isabel dos Santos, c’est au tour du demi-frère de celle-ci, José Filomeno, de faire les frais de la croisade anticorruption du président angolais, João Lourenço.
José Filomeno dos Santos, ancien président du fonds souverain angolais et fils de l’ex-président angolais Jose Eduardo dos Santos, a été placé en détention provisoire lundi 24 septembre dans le cadre d’une affaire de détournement de fonds portant sur 1,5 milliard de dollars.
Particulièrement ciblé par l’opération mains propres du président João Lourenço, l’empire économique de la fille de l’ex-président tangue. Mais la « Princesse » est déterminée à le maintenir à flot.
Alors qu’on le disait fini, l’ancien vice-président Manuel Vincente a bien anticipé la fin de l’ère dos Santos, et a gagné la confiance du nouveau président João Lourenço.
D’ici la fin 2018, la Chambre de commerce internationale de Paris doit trancher un conflit qui oppose Isabel dos Santos au groupe brésilien Oi à propos de l’opérateur mobile angolais Unitel.
João Lourenço, le président angolais, et António Costa, Premier ministre portugais, ont tourné la page de plusieurs années de tensions politiques entre leurs deux États, mardi 18 septembre dans la capitale angolaise. Les deux pays ont promis de relancer leur coopération économique.
En neutralisant les anciens caciques du régime dos Santos, le président a réussi, en l’espace d’un an, à asseoir son autorité et son style. Mais peut-il vraiment incarner le changement ?
José Eduardo dos Santos serait bien resté jusqu’en 2022, avant de transmettre les rênes à son fils. Mais il a dû revoir ses plans et se tailler un statut d’ancien président sur mesure – statut inexistant jusque-là, Zedu étant le seul ancien président angolais encore en vie.