Le 6 novembre 1982, Paul Biya devenait président de la République camerounaise. Le résultat de la démission de son prédécesseur Ahmadou Ahidjo, deux jours plus tôt, qui résonnait pour beaucoup comme un coup de tonnerre.
Maintenu à la tête de l’État mais affaibli, il est loin d’avoir dit son dernier mot. Pour lui comme pour son pays, 2006 sera l’année de tous les dangers.
Pour vous faire sourire, grincer des dents ou réfléchir , ici, chaque semaine, une sélection subjective, la mienne, de ce qui a été dit ou écrit au cours des siècles par des hommes et des femmes qui avaient des choses intéressantes ou drôles à nous dir