Pour vous faire sourire, grincer des dents – ou réfléchir –, ici, chaque semaine, une sélection subjective, la mienne, de ce qui a été dit ou écrit au cours des siècles par des hommes et des femmes qui avaient des choses intéressantes ou drôles à nous dire.
Après cinq ans d’absence, la diva malienne Oumou Sangaré revient sur le devant de la scène avec Seya (« joie »). Un cinquième album intense et haut en couleur.
L’écrivain et sociologue marocain est mort, le 16 mars, à l’âge de 71 ans. À la fois romancier, philosophe et critique d’art, il laisse une œuvre inclassable.
Doyenne des eaux minérales algériennes, Saïda, qui avait presque disparu du marché depuis dix ans, est sur le point d’être relancée par le groupe privé Yaïci, qui l’a rachetée en mai 2008.
Professeur de philosophie, Mohamed Mahjoub, le directeur du Centre national de la traduction, n’est pas natif de Kairouan, mais il en est un défenseur zélé.
Poumon économique de l’Occident musulman pendant plusieurs siècles, la cité est connue pour son artisanat. Elle cultive aujourd’hui des compétences technologiques, qui commencent à attirer les industriels.
Quiconque découvre Kairouan est subjugué par la majesté de ses édifices – ses remparts, ses mosquées et mausolées –, mais aussi par sa lumière toute particulière.
Depuis des siècles, Kairouan a engendré nombre d’hommes de sciences et de lettres. Parmi eux, des écrivains et poètes qui la célèbrent dans leurs œuvres.
Kairouanais de naissance, ce docteur en archéologie islamique et histoire médiévale musulmane a reçu le prix Aga-Khan d’architecture en 1992 pour le projet de sauvegarde de la médina. Au sein de l’Institut national du patrimoine, il a piloté le dossier de classement des médinas de Kairouan et de Sousse au patrimoine mondial de l’Unesco, en 1988.