Notre collaborateur n’était pas retourné dans la capitale algérienne depuis 1981. Parmi ses bonnes surprises, l’amabilité des habitants de la Ville blanche.
Depuis avril 2004, quelque cinq mille personnes ont été enlevées et, parfois, sauvagement assassinées par des groupes dont les mobiles sont souvent plus crapuleux que politiques ou religieux.
La mobilisation des « robes noires » pour la libération de deux de leurs confrères a tourné au bras de fer avec le pouvoir. Cette fronde, nourrie par des revendications corporatistes, revêt aussi une dimension politique évidente.
Sans tourner le dos à ses partenaires historiques que sont la France et les États-Unis, Libreville mise sur le renforcement de ses liens avec les pays du Sud, en particulier la Chine et le Brésil.
Les principaux auteurs de la tentative de putsch de mars 2004 sont désormais connus. Mais les véritables commanditaires n’ont pas encore été inquiétés.
Bush a-t-il la volonté – et les moyens – de contraindre Sharon à respecter le processus de paix ? Mahmoud Abbas a-t-il l’étoffe d’un chef d’État capable d’influencer la diplomatie américaine ? On y verra plus clair après leur rencontre du 28 mai, à Washin
La capitale nigériane ne réussit décidément pas à l’institution. Comme en 1995, les soixante-dix-sept pays membres n’ont pu s’entendre sur le nom du futur président. Dernier round à Tunis, les 21 et 22 juillet.