Dans l’immédiat, les objectifs du président élu le 9 janvier et ceux du Premier ministre israélien coïncident à peu près. À plus long terme, ils sont totalement contradictoires.
Proximité géographique et culturelle, complémentarité économique, croissance… Les entreprises tunisiennes gagneraient beaucoup à s’intéresser de plus près au marché de leur grand voisin de l’Ouest.