Ali Benflis n’est plus aux commandes. Dissidents et légitimistes se disputent le droit d’organiser un nouveau congrès. Et l’ex-parti unique s’interroge sur son rôle et son avenir.
Longtemps indésirable à la télévision algérienne, l’héroïne de Viva Laldjérie, le dernier film de Nadir Moknèche, fait son grand retour, cet été, sur le petit écran.
Sa victoire sur le terrorisme, fût-elle fragile, aurait dû inciter le président Hosni Moubarak à autoriser l’expression d’une opposition islamiste non violente. Ce n’est manifestement pas la voie qu’il a choisie.
Exacerbées par la politique agressive des États-Unis et d’Israël, la colère et les frustrations du monde arabo-musulman laissent craindre, à court terme, une réaction extrêmement violente.