Dénonçant un « hold-up électoral à visage découvert », les partis d’opposition, pour une fois unanimes, appellent au « boycottage actif » de la présidentielle du 21 décembre.
Fonctionnaires onusiens, services occidentaux et populations locales l’attestent : les Rwandais sont encore militairement présents chez leur voisin, deux mois après l’annonce de leur retrait.
Du succès ou de l’échec du proconsul à Bagdad dépend, en partie, la réélection du président américain, dans un an. Lourde responsabilité pour un simple haut fonctionnaire spécialiste de la lutte antiterroriste !