On disait le royaume affaibli, en proie au doute. En se faisant entendre sur la scène internationale, en prônant la morale en politique intérieure comme en diplomatie, le gouvernement a su gagner les faveurs des Belges.
Figure respectée de la vie politique chérifienne, l’ancien Premier ministre socialiste de Hassan II et de Mohammed VI a décidé de quitter la tête de son parti. Et de se désengager « de toutes les tâches s’y rapportant ».
Voici, dans son intégralité, l’allocution prononcée par le doyen politique de l’Asie du Sud-Est lors du Xe sommet de l’Organisation de la conférence islamique (OCI).
Au-delà des accusations d’antisémitisme dont il est l’objet, le Premier ministre malaisien aura donné, vingt-deux ans durant, une leçon de fierté, d’audace et de bonne gouvernance au monde arabo-islamique.
Nationalisme et tolérance, tradition et modernité, anti-impérialisme et pragmatisme… Le secret du mahathirisme réside dans l’art de combiner les contraires.
L’ancien président des États-Unis est à l’origine d’une initiative novatrice : aider les gouvernements en leur proposant les médicaments les moins chers sur le marché et une expertise technique pour les distribuer.
Au cours de son périple au Sahel, le chef de l’Etat français a évité d’aborder les questions qui fâchent. Il a juste donné un coup de pouce à ses hôtes.