La grève générale décidée par l’Union nationale des travailleurs du Mali a été largement suivie dans la fonction publique. Un réveil du front syndical qui pèsera sans doute sur l’avenir du Premier ministre Ahmed Mohamed Ag Hamani.
Les anciens dirigeants du pays ont été invités à présenter leurs excuses pour les souffrances naguère infligées à leurs compatriotes. C’est le prix de la « réconciliation nationale » fixé par le nouveau chef de l’État.
