Chef d’entreprise devenu chef d’État, il fêtera son arrivée au pouvoir le 6 mai prochain. Malgré un parcours honorable, il lui reste à réconcilier ses concitoyens et à amadouer les bailleurs de fonds.
L’intervention militaire américano-britannique n’illustre pas la faillite des Nations unies, mais bien plutôt une conception de la sécurité collective imposée par la force et la coercition.
La proximité de l’élection présidentielle, dans un an, attise la rivalité entre le chef de l’État et son Premier ministre. Après de premières escarmouches, une trêve a été décrétée. Pour combien de temps ?
Le président a été reconduit dans ses fonctions dès le premier tour, à l’issue d’un scrutin contesté. Mais le plus dur est sans doute à venir. Notamment sur le front social.
L’expansion de la téléphonie cellulaire a considérablement modifié le paysage des lélécommunications en Afrique. En ouvrant de nouveaux marchés, elle a suscité de nouveaux usages.
Résultat d’une politique d’aménagement de longue haleine, Tunis se transforme peu à peu en une métropole moderne. Sans perdre son caractère arabo-méditerranéen.
Chargé de sortir le pays de la crise qui le déchire depuis plus de sept mois, le Premier ministre, nommé le 25 janvier, tarde à trouver ses marques. Et à contenir l’impatience de ses compatriotes.
Seule force autochtone à pouvoir s’opposer à la présence militaire américaine, cette communauté affiche déjà sa détermination à prendre en main sa destinée, voire à s’emparer du pouvoir politique
Le quotidien français Le Monde envisageait d’imprimer à Casablanca les exemplaires qu’il destine au marché maghrébin. Les autorités avaient donné leur « autorisation de principe ». Avant de se raviser.
En deux jours, au vu et au su des marines, plusieurs dizaines de milliers de pièces et de documents, témoins de cinq mille ans d’histoire, ont été dérobés ou saccagés par les pillards