Les « preuves » laborieusement rassemblées contre l’Irak n’ont convaincu personne, mais qu’importe : rien n’empêchera plus les États-Unis d’imposer leur ordre au Moyen-Orient.
Le Comité consultatif de la Banque africaine de développement se réunit les 17 et 18 février prochain à Accra pour décider de la « relocalisation temporaire » de l’institution à Tunis.
Sur cette île britannique perdue dans l’océan Indien, les États-Unis ont installé, à partir de 1971, une immense base militaire, après en avoir chassé tous les habitants.
Quels que soient les partis qui composeront la nouvelle majorité issue des élections du 28 janvier, la réalité du pouvoir sera aux mains d’Ariel Sharon. Et des hommes qu’il a placés à la tête de l’armée et du renseignement.
Le premier sommet extraordinaire de l’institution panafricaine a été bouclé, le 3 février à Addis-Abeba, en un temps record. Pragmatisme et efficacité ? Rien n’est moins sûr.
Les rumeurs concernant les relations entre le président et le chef du gouvernement se multiplient. Certains, confondant peut-être leurs désirs avec la réalité, voient déjà le second se poser en rival du premier.
Accaparée par les crises irakienne et ivoirienne, la communauté internationale semble avoir oublié le conflit israélo-palestinien. Et son lot de victimes quotidiennes.
Les modifications génétiques végétales permettent d’espérer une amélioration sensible de la production et des rendements agricoles, notamment dans les régions déficitaires. Encore faut-il connaître le prix d’une telle révolution.
Sommé par la communauté internationale d’appliquer les accords signés en France, le chef de l’État affirme ne vouloir céder aucune de ses prérogatives constitutionnelles. Et prend le risque de laisser le pays glisser dans l’abîme.