L’époque est à l’africanisation. Les groupes nationaux et internationaux font de plus en plus appel aux talents locaux pour diriger leurs opérations. La chasse aux bons candidats est ouverte.
Insatisfait du résultat, le gouvernement vient d’annuler l’appel d’offres international pour la construction en plein désert d’une cité de 80 000 habitants.
Malgré un budget substantiel, le film du Marocain Nabil Ayouch déçoit, alors que celui de l’Algérien Tariq Teguia, sans moyens, crée la surprise. Et dévoile un nouveau talent.
À 85 ans passés, la directrice égyptienne du club parisien le New Morning, qui fête ses 27 ans d’existence le 16 avril, programme chaque mois les plus grands musiciens, parmi lesquels de plus en plus d’Africains.
Accompagnant les efforts de modernisation entrepris par un nombre grandissant d’établissements d’enseignement supérieur, Jeune Afrique dresse le portrait de business schools et d’écoles d’ingénieurs qui comptent.
Hier encore loin des critères d’excellence des écoles européennes ou américaines, elles relèvent le défi de l’internationalisation. Palmarès exclusif des meilleures d’entre elles.
Le constructeur français a choisi le Maroc pour le lancement de son nouveau 4×4. La cité impériale accueillera 1 000 journalistes du 1er mai au 6 juin.
Célèbre dans les années 1990 sous le nom de scène de Ménélik, le rappeur d’origine camerounaise a quitté les feux de la rampe pour se lancer dans les affaires. Il revient aujourd’hui à la musique sous un nouveau nom : MNLK.