Elle vient d’être nommée directrice générale d’African Venture Capital Association. Elle dispose d’une expérience de vingt ans dans la banque d’affaires auprès de Merrill Lynch, Goldman Sachs, JP Morgan, Lehman Brothers et Nomura.
Il est chargé de superviser les équipes de ventes et de développement du numéro un mondial de la distribution au Canada, en Europe et en Afrique. Le groupe a réalisé ses premiers pas sur le continent en rachetant le sud-africain Massmart en 2011.
Le salon Africa Telecom People, qui s’est tenu les 5 et 6 octobre derniers à Abidjan, a fêté les 25 ans de la téléphonie mobile sur le continent. L’occasion de débattre de l’avenir du secteur tout en jetant un œil critique sur le chemin parcouru depuis la création du premier réseau africain en 1986.
Soumis à des contraintes d’espace, les groupes asiatiques multiplient les accords en Afrique. Si le pari est parfois risqué, les perspectives de la demande mondiale en huile de palme leur laissent entrevoir un fort retour sur investissement.
De nombreux plans nationaux ont été annoncés pour relancer le secteur rural en Afrique, redynamiser les campagnes et lutter contre la famine. L’heure de la dérégulation libérale semble bel et bien révolue.
Milliardaires américains ou saoudiens, aristocrates portugais et britanniques, ex-ambassadeurs occidentaux… Derrière certains contrats signés en Afrique se cachent des personnalités du monde des affaires et, parfois, de la politique. Enquête sur ces nouveaux spéculateurs.
Portée par des prix élevés, la production africaine de coton retrouve des couleurs, après cinq ans de crise. Restructuration, libéralisation et modernisation de la filière… Autant de défis qui restent à relever.
Après avoir réussi dans l’industrie informatique, le jeune fondateur de DataPlus, Mohammed Chakib Rifi, se lance dans la fabrication de téléphones portables. Avec l’appui du fonds Investima, nouvel actionnaire.
Après trois ans à Singapour, au département des acquisitions minières du géant australien, il prend la tête de la direction Afrique des activités commerciales de la branche exploration.
La société de capital-investissement ouest-africaine renforce son équipe dirigeante avec l’arrivée du financier togolais, jusqu’alors directeur du portefeuille Afrique à l’agence de développement britannique CDC.
Dissimulations, dépréciation massive d’actifs, cessions inexpliquées de terrains… Un audit a été commandé par la Banque centrale populaire, créancier et actionnaire de la PME familiale Charaf. Coup dur pour le numéro un marocain des engrais, lourdement endetté.
La dynamique est lancée. Excepté l’Afrique du Sud, principal marché régional, le continent apparaît désormais clairement comme un gisement inexploré pour les groupes du secteur.
La reprise fut de courte durée. Après un cru 2009 bien terne, 2010 aura été une année positive. Mais les poids lourds du continent restent attirés par les marchés occidentaux.
De plus en plus de Maliens prennent conscience de la nécessité de se prémunir contre les coups durs. Une bonne nouvelle pour les compagnies d’assurances.
Des organismes français lancent un Institut de l’Afrique à Ouagadougou dont l’objectif est de former une main-d’oeuvre africaine qualifiée dans des secteurs clés pour le continent.
Le numéro un du continent abandonne des implantations internationales au profit de pays africains stratégiques. L’objectif : dégager enfin des bénéfices à la hauteur de ses investissements.
Excepté l’Afrique du Sud, principal marché régional, le continent apparaît désormais clairement comme un gisement inexploré pour les groupes du secteur.
Forts d’avoir échappé aux conséquences les plus ravageuses de la crise financière mondiale, les établissements africains ont vu leurs revenus et leurs bénéfices repartir à la hausse en 2010. Toutefois, comme le montre le début de l’année 2011, les risques restent élevés.
Certes, aucun groupe du continent ne pointe encore son nez dans le top 500 mondial. Mais cela ne saurait tarder, tant les progrès des leaders locaux sont spectaculaires. Analyse de notre palmarès 2011.
Dissimulations, dépréciation massive d’actifs, cessions inexpliquées de terrain… Le numéro un de l’engrais marocain, Charaf, fait actuellement l’objet d’un audit pour plusieurs opérations douteuses, comme le révèle Jeune Afrique n° 2647. Explications.