À partir du 1er juillet, il sera l’un des deux directeurs adjoints de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO). Cet Indien était depuis 2008 sous-directeur général de la FAO.
Le conseil d’administration de la Société tunisienne d’assurances et de réassurances s’est entendu pour coopter l’ex-PDG de la Caisse nationale d’assurance maladie en tant que nouvel administrateur représentant l’Etat et nouveau PDG.
Le cabinet d’avocats d’affaires renforce son équipe africaine de deux nouveaux associés, Bayo Odubeko et Poupak Bahamin. La Canadienne s’occupera des secteurs mines, pétrole, gaz et environnement.
Introductions en Bourse, fusions-acquisitions, emprunts obligataires… Les banques d’investissement internationales sont incontournables pour les grandes opérations transfrontalières. Mais les acteurs spécialistes de l’Afrique commencent à compter sur ce marché très fermé.
Cet ancien d’Amundi Private Equity (ex-SGAM) rejoint Emerging Capital Partners en tant que directeur des investissements, un poste nouvellement créé pour superviser les six fonds actifs d’ECP.
Le PDG du laboratoire pharmaceutique marocain créé en 1949 a annoncé qu’il quittait ses fonctions. Il aurait jeté l’éponge à la suite d’un différend entre les actionnaires, selon le site InfoMédiaire.
D’origine espagnole, Adolfo Hernandez est arrivé chez Alcatel-Lucent en 2008. En marge du World Economic Forum au Cap, le président pour la région Europe, Afrique et Moyen Orient de l’équipementier télécoms a révélé à Jeune Afrique que le continent est l’un des marchés les plus porteurs de la planète.
Le ministère tunisien du Commerce et du Tourisme a annoncé la nomination de Mohamed Laouini à la tête de la Société Tunisienne des Marchés de Gros (Sotumag). Cotée à la Bourse de Tunis et comptant l’État comme actionnaire (37,5 % du capital), la Sotumag gère le marché d’intérêt national de Bir el-Kassaâ, le plus important marché de gros de produits agricoles du pays.
Le Marocain Saad Aouad quitte Kingdom Zephyr Africa Management, où il supervisait l’Afrique francophone, pour Duet Group (2,4 milliards de dollars sous gestion). Il s’occupera des investissements dans le non-coté en Afrique.
Selon un rapport de l’Institut statistique de l’Unesco (ISU), les sommes investies ces dix dernières années dans l’éducation en Afrique subsaharienne portent leurs fruits et permettent une scolarisation sans précédent. Mais cette situation, très fragile, demeure en outre très variable d’un pays à l’autre.
En Afrique, les banques recrutent surtout des commerciaux. Mais elles offrent aussi quelques postes très convoités dans la finance spécialisée, rémunérés plusieurs dizaines de milliers d’euros par an.
Les grandes entreprises recherchent des cadres opérationnels dans les matières premières ou encore le BTP. Mais le secteur tertiaire reste le premier employeur et celui qui attire le plus les jeunes.
L’ancien patron de l’AFD est partout : annoncé aux conseils d’administration de France Télécom et de Danone, il prendra le 1er mai la tête de la société de gestion I&P, qui investit dans des institutions africaines de microfinance.
A 48 ans, cette Sud-Africaine, actuellement directrice financière de Primedia, a été nommée au même poste au sein du groupe alimentaire coté à Johannesburg. Elle prendra ses fonctions le 1er juin.
Affecté par l’envolée du yen et du dollar et par les incertitudes politiques au Maghreb et en Côte d’Ivoire, le cours du distributeur spécialisé fait le yoyo. Le groupe panafricain s’affiche néanmoins comme un titre fiable.
Ajustements tarifaires, conquête de nouveaux abonnés, gestion des effectifs… Un an après le rachat des filiales africaines de Zain, beaucoup de travail reste à faire pour que l’Afrique devienne le relais de croissance attendu par l’opérateur indien Bharti.
L’État reproche au premier exportateur mondial de fer de négliger les gisements du pays. Et souhaite aligner le géant brésilien sur sa stratégie industrielle.
Affectées par le « printemps arabe », les places du continent accusent de fortes chutes, et les gérants sont partagés entre attentisme et prise de risque. Le point sur les valeurs qui ont la cote.
À l’étroit dans leurs frontières et dopés par l’essor des classes moyennes, les géants sud-africains poussent leurs pions sur le continent. Une offensive qui comporte son lot de bonnes surprises et d’échecs.
Nommé à la tête du pôle banque d’investissement d’Ecobank Transnational Incorporated, ce Nigérian de 47 ans vient de présenter son plan d’action au conseil d’administration du groupe panafricain, le 25 mars à Paris.