Plusieurs gouvernements renouvellent leur parc de véhicules haut de gamme à l’occasion de la célébration des indépendances. Une opportunité dont Mercedes compte bien profiter pour devancer son rival BMW.
Leurs ardoises effacées, les États subsahariens ont reconstitué leurs marges de manœuvre budgétaires. L’investissement public, essentiel au rattrapage économique, s’en trouve conforté.
Fondé en 1850 par un Anglais, le prestataire d’assurances maritimes est implanté dans 21 pays du continent. Son credo : privilégier le recrutement de cadres locaux.
Alors que le groupe gabonais vient de coordonner un prêt bancaire historique accordé à l’État, son patron, 53 ans, négocie un nouveau virage stratégique, notamment à travers une augmentation de capital de 30 milliards de F CFA. Objectif : devenir l’une des deux premières banques de la zone franc.
Malgré la crise, le distributeur Tractafric Motors a tiré son épingle du jeu en récupérant les réseaux Mercedes et Chrysler en Afrique de l’Ouest. Cette année, son dirigeant vise un nouveau marché : celui de l’entrée de gamme.
Malgré une baisse des ventes l’an dernier, les constructeurs restent optimistes. Porté par l’offre low cost et le secteur du luxe, le renouvellement du parc automobile africain laisse augurer de belles perspectives.
Le groupe bancaire marocain cherche à s’implanter au Burkina, au Togo, au Niger et compte prochainement partir à l’assaut de la Guinée équatoriale et de l’Afrique anglophone.
Le groupe de télécommunications sud-africain MTN a annoncé publiquement son intention de racheter l’Égyptien Orascom Telecom – dont sa juteuse filiale algérienne OTA. Une opération qui n’est pas du goût d’Alger.
Malgré le manque de compétences constaté dans de nombreuses entreprises africaines, la formation continue est encore trop souvent réservée aux cadres supérieurs.
Le groupe français lance un véhicule 4×4 conçu et produit sur le modèle low cost qui a fait le succès de la Logan. Il sera disponible dans certains pays d’Afrique à partir de juin.
Après une série d’acquisitions coûteuses, le groupe bancaire s’attache désormais à rentabiliser ses investissements africains. L’occasion de faire un bilan sur sa stratégie d’expansion.
Le premier opérateur de téléphonie mobile du continent, le sud-africain MTN, est en discussions pour racheter quatre filiales à l’égyptien Orascom, ont révélé le 22 avril plusieurs agences de presse économique citant des sources proches du dossier.
Patron de la branche assurance de NSIA, le numéro deux du groupe ivoirien évalue l’impact de la réforme du secteur, prévue pour le 1er avril, et détaille la stratégie 2010 du bancassureur face à une concurrence accrue.
Les trois filières, privatisées à la fin des années 1990 en Côte d’Ivoire, constituent un énorme potentiel pour le développement agro-industriel ouest-africain. À condition d’améliorer les rendements, la disponibilité foncière et l’intégration régionale.
Le Secrétaire général français du cinquantenaire des indépendances africaines Jacques Toubon a présenté jeudi 1er avril le programme des célébrations communes entre la France et ses quatorze anciennes colonies subsahariennes qui fêtent cette année le cinquantenaire de leur libération.
L’opérateur panafricain demeure le leader incontesté du continent. Pour conserver cette place, il doit se doter d’une nouvelle stratégie. En a-t-il les moyens ?
Phuthuma Nhleko, PDG du groupe sud-africain MTN (présent dans 21 pays dont 16 africains), l’a annoncé le 1er mars : il quittera ses fonctions en mars 2011.