L’adoption à l’unanimité de la résolution 1754, qui appelle le Maroc et le Polisario à négocier « de bonne foi » et « sans conditions préalables », a été précédée d’une intense lutte d’influence à l’échelle planétaire.
Au-delà des législatives de juillet, l’hypothèse d’une candidature du chef de l’État à l’élection présidentielle de 2011 n’est plus tout à fait un sujet tabou. Enquête.