Qu’ils soient musicaux, écrits ou plastiques, les arts congolais sont, sinon en panne d’inspiration, en tout cas en perte de vitesse. Un recul qui souligne l’urgence de la mise en œuvre d’une véritable politique culturelle.
Blocs opératoires en panne chronique, patients transportés à dos d’homme : la seule évocation du CHU de Brazzaville fait frémir les Congolais. Pourtant, le plateau technique se modernise et la qualité des soins s’améliore. Alors pourquoi une si mauvaise image ?
À la fin de l’année, le complexe hydroélectrique d’Imboulou entrera en activité. Pour les Congolais, en particulier les habitants de la capitale, ce sera une bouée de sauvetage afin de parer aux délestages quotidiens.
L’État et les opérateurs économiques commencent enfin à vouloir transformer l’environnement des affaires. Et à tenter de faire naître une véritable culture d’entreprise.
Le pays a regagné la confiance des bailleurs internationaux et renoue avec la croissance. Alors que l’essentiel de ses revenus provient du pétrole, parviendra-t-il à relever le défi de la diversification et à réduire la pauvreté ?
La disparition du président gabonais Omar Bongo Ondimba, médiateur reconnu dans plusieurs conflits régionaux et « patriarche » des chefs d’État africains, laisse un vide que Denis Sassou Nguesso pourrait combler.
Vie chère, agriculture atrophiée, manque d’infrastructures, tissu économique peu diversifié… Les chantiers sont nombreux pour le chef de l’État, réélu le 12 juillet.
L’agence onusienne exprime officiellement sa « préoccupation face aux capacités nucléaires de l’État hébreu », dont elle dénonce, qui plus est, le caractère clandestin.
Ibrahim Ag Bahanga, isolé depuis qu’il s’est refusé à signer la paix avec Bamako en février 2009, annonce son arrivée au pays après plusieurs mois « d’exil » à Tripoli.