En 2030, 62 % de la population mondiale vivra en ville. Cette expansion s’accompagne d’une extension des zones d’habitat précaire, en Afrique subsaharienne et en Asie notamment. Difficiles à contrôler, elles sont un obstacle au développement.
Contrairement à l’idée reçue, l’ambiance, dans la capitale de l’Azerbaïdjan, n’est ni islamiste ni même islamique. L’empreinte russe reste très forte et la ville s’inscrit clairement dans une dynamique européenne.
Pour l’historien tunisien Hichem Djaït, la question n’est plus de savoir si le monde islamique va oui ou non emprunter le chemin de la modernité. Mais quand.