Sous-représentées parmi l’élite et le personnel politique, oubliées dans les opérations de développement, les populations sahariennes bénéficient, enfin, d’un programme d’investissements conséquent.
Pour la première fois, des rescapés du génocide de 1994, qui ont porté plainte contre le détachement français de l’époque, témoignent à visage découvert. Des parts de vérité qui méritent d’être entendues au même titre que celles de généraux et autres ex-responsables politiques.