À l’occasion du 50e anniversaire des indépendances, le Cameroun organise, du 17 au 19 mai, une conférence internationale sur « les nouveaux défis de l’Afrique ». Parmi les participants, l’ancien Premier ministre de François Mitterrand.
L’Union fait la nation (Un) a désigné l’ex-candidat de 2006 pour affronter le président sortant lors du scrutin de 2011. Une menace sérieuse pour Boni Yayi.
Jean Bosco Barayagwiza, un ancien dirigeant condamné par le Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR) pour son implication dans le génocide, est mort dimanche 25 avril. Il purgeait sa peine dans un hôpital de Porto-Novo, au Bénin.
Le plus grand rendez-vous musical africain s’est tenu au Burkina, le 4 avril. Presque sans fausse note. Grâce à la ténacité du Béninois Ernest Coovi Adjovi. Interview.
Le secrétaire d’État français aux Anciens Combattants, Hubert Falco, a annoncé que les troupes africaines seraient particulièrement mises à l’honneur lors du défilé militaire du 14 Juillet à Paris. Des détachements de quatorze pays francophones du continent, qui fêtent cette année le cinquantenaire de leur indépendance, sont invités à ouvrir la marche sur les Champs-Éysées. Seule la présence de l’armée ivoirienne demeure très hypothétique.
L’opposition, rassemblée au sein de l’Union fait la nation (Un), a désigné son candidat unique pour la présidentielle de 2011. Adrien Houngbedji a été préféré à Léhady Soglo.
L’abolition de la peine de mort progresse sur le continent africain. Le Togo et le Burundi ont supprimé la peine capitale l’année dernière et ils pourraient être suivis par plusieurs autres pays d’Afrique.
Onze chefs d’Etat ont signé l’appel de Cotonou contre les faux médicaments depuis son lancement en 2009 par l’ancien président français Jacques Chirac, selon des représentants de la Fondation Chirac en visite au Cameroun, où ils espèrent obtenir la signature du président Biya.
Un moment envisagé, le retour de Robert Nouzaret à la tête de la sélection nationale de football n’aura pas lieu. Sékouba Konaté, l’homme fort de Conakry, s’y est opposé…
Depuis son indépendance, le Bénin a été une sorte de terrain d’expérimentations où, tels des alchimistes, les hommes politiques ont essayé toutes les formules, des plus saugrenues aux plus traumatisantes, pour gérer un pays miné par le régionalisme et une instabilité permanente. Finalement, dans les années 1990, il a été le premier à tester la Conférence nationale, qui ouvrira la voie à la démocratie, et fera figure d’exemple. Malgré ces tâtonnements, le pays n’a pas connu les déchirements de la guerre. Il n’a pas pour autant profité de cette nouvelle stabilité pour enclencher la deuxième étape, celle de la victoire sur la pauvreté.
Anjorin Moucharafou, le président de la Fédération Béninoise de Football (FBF), explique à jeuneafrique.com pourquoi il a prononcé la dissolution de l’équipe nationale après la CAN en Angola, et quel avenir il envisage pour les Ecureuils.
Les adversaires de Boni Yayi, rassemblés dans l’Union fait la nation (Un), se cherchent un candidat unique pour la présidentielle de 2011. La course est lancée. Elle se gagnera en avril, par consensus.
La Fédération béninoise de football (FBF) vient de dissoudre son équipe nationale. L’organisation motive sa décision notamment par le « mauvais comportement » des joueurs.
Le sélectionneur Rabah Saâdane et plusieurs joueurs algériens ont ouvertement critiqué l’arbitrage du Béninois Koffi Codjia. Le président de la commission arbitrage de la CAF reconnait « des erreurs ».
La presse algérienne fulmine après l’élimination du Onze national de la CAN. Certains titres soulignent cependant que les Fennecs doivent se concentrer sur le Mondial, qui se déroulera en Afrique du Sud.